27- Entamer les procédures auprès du Ministère de l'Immigration et des Communautés Culturelles du Québec (MICC)


Nous avons reçu la lettre de Non-opposition du Secrétariat à l'Adoption Internationale (SAI), exigé par la loi et qui confirme aux autorités d'immigration (CIC et MICC) que le SAI ne connait pas de motifs pour s'opposer à l'adoption. Aussi, notre organisme nous avait envoyé la lettre de Non-Opposition et Engagement de parrainage du SAI et un message important qui divulgue les démarches à effectuer à la suite de l'arrivée de l'enfant au Québec. Tous ces documents ont été envoyés par notre organisme pour entamer nos procédures auprès du Ministère de l'Immigration et des Communautés Culturelles du Québec (MICC).

Par la suite, j'ai téléphoné au Ministère de l'Immigration et des Communautés Culturelles du Québec de notre région pour faire notre demande auprès d'immigration Québec.

Puis, mon conjoint a reçu par Dicom le Guide du parrain - Catégorie du regroupement familial, la demande de Certificat de Sélection (A-0520-BF), le formulaire Engagement - Catégorie du regroupement familial (A-0546-GF) et le formulaire Paiement par carte de crédit (A-0591-F) du Ministère de l'Immigration et des Communautés Culturelles du Québec. Une fois que j'ai rempli les documents et que nous les avons signés, j'ai envoyé par Xpresspost (avec signature à la réception de l'envoi) une copie d'un compte d'un service public pour prouver une adresse de domicile au Québec, la demande de Certificat de Sélection (A-0520-BF) signée par le parrain, puisque notre demande vise une personne mineure. Aussi, je leur ai envoyé le formulaire d'Engagement - Catégorie du regroupement familial (A-0546-GF), le formulaire Paiement par carte de crédit (A-0591-F) et la lettre de Non-opposition du Secrétariat à l'Adoption Internationale.

Finalement, mon conjoint a reçu par Dicom l'approbation de notre demande d'Engagement du Ministère de l'Immigration et des Communautés Culturelles du Québec. Dans cet envoi, il y avait notre formulaire d'Engagement - Catégorie du regroupement familial (copie jaune ''garant'' et copie jaune ''candidat''), notre Certificat de sélection, notre demande de Parrainage et Engagement de Citoyenneté et Immigration Canada, une copie du fax du Ministère de l'Immigration et des Communautés Culturelles du Québec envoyé au BVC de Manille et notre reçu du paiement par carte de crédit pour les frais exigé pour l'étude de notre demande d'Engagement.

Pour ce qui est de notre Certificat de sélection, le Ministère de l'immigration et des communautés culturelles du Québec a envoyé aux autorités fédérales de l'immigration, au BVC de Manille, une copie du celui-ci et à Citoyenneté et Immigration Canada. Donc, nous n'avons pas eu à leur envoyer ce document. Par contre, nous avons envoyé, à notre organisme par télécopieur, une copie de notre Certificat de Sélection du Québec.

26- S'inscrire sur une liste d'attente à un Centre de la Petite Enfance


J'ai téléphoné au Centre de la Petite Enfance de notre région, pour inscrire notre enfant (à son nom québécois) sur une liste d'attente. De plus, j'ai demandé qu'on nous envoie la liste des responsables de service de garde en milieu familial pour pouvoir les contacter et inscrire notre enfant sur des listes d'attente.

25- Recevoir une proposition d'enfant


J'ai reçu un téléphone de notre personne ressource (ce qui équivalait, pour moi, à une échographie), le 11 août 2008, pour nous avertir que notre organisme avait reçu une proposition d'un petit garçon en santé et âgé de 20 mois (ce que je croyais avoir entendu dans tout l'énervement). L'appel c'est fait vers 14h30, je dînais à la maison et je m'apprêtais à retourner travailler vers 16h00. Aussi, elle m'a avertis qu'elle était pour m'envoyer sa photo par courrier électronique, après notre conversation et son dossier complet par Xpresspost. Donc, une fois la conversation finie, j'ai appelé mon conjoint à son travail pour lui annoncer la bonne nouvelle et je lui ai envoyé par Internet, la photo de notre fils, que j'ai, aussi, envoyé à mon travail. Alors, en retournant à mon travail, j'avais le gros sourire. Après les interrogations de mes collègues de travail, je me fis un plaisir de leur annoncer la bonne nouvelle dont ils me souhaitaient depuis quelques mois. Lorsque je leur ai montré la photo, ils m'ont tous dit qu'il le trouvait vraiment mignon et qu'il avait l'air espiègle. Pour ce qui est de mon conjoint, il mit la photo comme fond d'écran, ce qui permettait de le présenter, lui aussi, à ses collègues de travail. Le soir venu, je fis ma tournée de téléphones et de courriels pour les aviser de la bonne nouvelle.

Pour ce qui est du dossier complet de notre enfant, celui-ci comprenait une lettre de Inter-Country Adoption Board, adressée à Société Formons Une Famille, informant d'une proposition d'enfant et de la description des frais suite à une acceptation de la proposition. Aussi, comme autres documents, il y avait un Placement proposal (proposition de l'enfant), un Social case study report (historique et histoire parentale), un Health and medical profile (bilan de santé), une photo de l'enfant et le formulaire ''Déclaration concernant l'état de santé''. Donc, en feuilletant le dossier, j'ai constaté que j'avais mal compris son âge et que finalement, il avait 22 mois. Ma première réaction a été que je le trouvais un peu vieux, car il avait déjà son caractère, il parlerait sa langue maternelle et il aurait déjà un bon bout de vie de fait. J'avais fais quelques statistiques et j'avais remarqué que les jeunes couples avait souvent de jeunes enfants. Vu que nous avions 29 ans et 32 ans, je m'attendais à avoir un enfant qui se rapprochait du un an. Mais, plus les semaines passaient et plus je regardais sa photo, plus je sentais que c'était le mien et son âge ne me dérangeait plus.

Finalement, nous devions signifier notre acceptation du jumelage avant la date limite (inscrite dans la lettre de notre organisme) par Xpresspost (avec signature) à notre organisme. Il fallait écrire une lettre, signée et datée, avec le nom de l'enfant et sa date de naissance. Il était important que cette lettre contienne une demande de tests sanguins pour le VIH et l'hépatite B et que la raison de notre demande soit expliquée (parce que cet enfant sera en contact avec d'autres enfants dans la famille... etc.). Aussi, il fallait envoyer les formulaire ''Déclaration concernant l'état de santé'' et ''Engagement sur les rapports d'évolution de l'enfant'' dument signés et datés. De plus, nous devions nous procurer deux traites bancaire pour les frais d'administration et les frais de préparation au voyage (qui proviennent obligatoirement de la Banque Toronto Dominion) au nom de Inter-Country Adoption Board et une autre traite bancaire ou un chèque US pour les frais de garde de l'enfant et le projet d'entraide au nom de Société Formons Une Famille. Pour ce qui est de la traite bancaire ou du chèque US à la Société Formons Une Famille, ceux-ci nous ont envoyé un reçu. En dernier-lieu, je leur ai envoyé des photographies récentes de nous, de la maison et des membres de nos familles qui seraient significatifs pour notre enfant, car elles serviraient à la préparation de son adoption. Ces photos, que j'ai placé dans un petit album-photo de ''Trouvez Némo'', étaient : une photo de nous deux prise dans notre maison, une photo des parents à mon conjoint (son papi et sa mami), une photo de l'extérieur de notre maison, des photos de sa chambre, une photo de la salle-à-dîner, une photo du bureau et une photo du salon. Une fois que l'Inter Country Adoption Board a reçu notre acceptation de jumelage, ils ont envoyé à notre organisme et qui nous l'a remis, les documents relatifs au dossier d'adoption, soit le Placement authority (autorisation de placement), le Deed of volountary commitment (consentement des parents) et le Certificate of live birth (certificat de naissance).

Aussi, quelques jours après que nous ayons reçu notre proposition d'enfant, j'avais un rendez-vous prévu chez mon médecin. Alors, j'en ai profité pour lui présenter le Dossier de notre enfant (informations d'identification, circonstances de placement, informations sur les antécédents de la mère et du père biologique, informations sur l'enfant, fonctionnement de l'enfant dans son quotidien, description de l'environnement de l'enfant, cessation des droits parentaux, évaluation et recommandation et profils de santé et médical). Elle remarqua qu'il avait eu un petit poids à la naissance, mais que tout était rentré dans l'ordre à partir de 6 mois. Sa septicémie, ne semblait pas trop la déranger vu que son développement physique c'était fait normalement. Elle remarqua, aussi, qu'il était développé au niveau mental. Alors, elle ne voyait pas de problèmes significatifs. J'ai apprécié qu'elle prenne de son temps pour regarder le dossier de notre garçon et ça m'a sécurisée de savoir qu'il semblait en bonne santé.

24- Attendre un jumelage


Après que notre Dossier ait été accepté aux Philippines, nos noms ont été placés sur la liste des familles en attente de jumelage. Il était possible qu'une mise à jour de l'évaluation psychosociale nous soit demandé par les autorités Philippines, un an après que le Dossier soit traité par l'ICAB, s'il n'y avait pas encore eu une proposition d'enfant. Dans notre cas, nous avons attendu 17 mois avant d'avoir une proposition d'enfant et ils nous ont jamais demandé une mise à jour de notre évaluation psychosociale. Durant notre attente, nous savions que le délai était d'environ 18-24 mois. Par contre, nous connaissions la façon dont les enfants étaient jumelés et savions que nous ne pourrions jamais savoir à l'avance que notre tour arriverait. Aux Philippines, les travailleurs sociaux qui ont des enfants à proposer en adoption internationale (après avoir tenté de les placer localement ou régionalement aux Philippines), et dont le Tribunal du pays a émis un jugement définitif rompant tout lien de filiation, se présentent au Bureau d'ICAB pour consulter les dossiers en attente de jumelage. Ensuite, ils sont tenus de choisir deux familles en fonction des caractéristiques de l'enfant et de présenter leurs premier et deuxième choix au Comité de Placement. Puis, ce comité appuie la recommandation du travailleur social et soumet cette recommandation au Board pour approbation finale. Donc, ce n'est pas une liste d'attente avec un rang précis.

Au bout de 15 mois, notre personne ressource nous a rejoint pour avoir des coordonnées pour nous joindre le plus rapidement possible, au-cas où nous recevions une proposition d'enfant. Elle, nous demanda, aussi, d'ouvrir un compte US dans une banque Toronto Dominion, car les Philippines exigeraient seulement des traites dans ces banques, pour les frais accompagnant la proposition d'un enfant.

Durant cette longue attente, nous nous sommes occupés pour ne pas que le temps paraissent trop long. En réalité, ce n'est que moi qui s'est fait du soucis. Mon conjoint a des philosophies de vie, dont j'essayais, le plus possible, d'imiter. Une de ses philosophies était, qu'il ne faut pas perdre d'énergie sur quelque chose dont nous n'avons aucun pouvoir. Pour lui, ce qui a été difficile, ça n'a pas été l'attente du jumelage, mais plutôt le fait de se dévoiler lors du montage du Dossier et les frais qui s'y rattachaient.

Alors, pour remplir mes temps libres, j'ai forcé mon conjoint a assisté à 2 conférences (attachement et trouble du sommeil). J'ai bien dit forcé, car mon conjoint ne voyait pas l'utilité d'assister à ces conférences. Étant, lui-même, adopté, ainsi que ses 2 sœurs, un de ses oncles et un de ses cousins, il ne comprenait pas ce qu'il fallait absolument savoir sur l'attachement et le sommeil. Moi, je croyais qu'un enfant adopté à l'internationale était différent. Aussi, j'ai acheté deux livres sur l'adoption ''L'enfant adopté dans le monde (en quinze chapitres et demi)'' et ''L'enfant qui a mal, l'enfant qui fait mal'', dont j'ai été la seule à les lire, car encore mon conjoint ne voyait pas ce qu'il pouvait nous apporter comme informations. Lorsque nous sommes arrivés au pays avec notre enfant, je n'ai pu que constater que mon conjoint avait raison, car notre enfant a contredit certaines théories apprises, lors de ces conférences et dans les livres. Pour être sûre d'être bien comprise, je précise que je ne veux pas dire de ne pas assister à ces conférences ou de ne pas acheter ces livres, mais bien d'y assister et de les acheter si vous en sentez le besoin et de ne pas prendre tout ce qu'ils disent à la lettre. Je crois, que les erreurs faient par les professionnels de la santé sont: de mettre tous les enfants dans le même panier, car en réalité chaque enfant est unique et de trop transposer sur les enfants, les problèmes vus dans leurs bureaux. Selon moi, il est faux de croire que la majorité des enfants adoptés ont des problèmes. Pour dire cela, je me base sur les 5 histoires d'adoption que je connais dans la famille de mon conjoint et l'adoption de mon fils. Pour plus de précision sur mon point de vue, je vais décrire les réactions de mon fils dans la section du voyage aux Philippines et de l'arrivée au Canada. Finalement, je ne regrette pas d'avoir assisté à ces conférences et d'avoir acheté ces livres, car ça m'a fait prendre conscience, que c'est nous les parents qui connaissons le plus notre enfant et qu'il faut faire confiance à ses instincts. Si nous sentons que nous avons tout fait pour notre enfant et que nous ressentons qu'il n'est pas heureux, là c'est le temps de demander de l'aide et d'appliquer ce que les professionnels de la santé recommandent.

Comme deuxième activité pour faire passer le temps, je me suis inscrite sur 2 forums de discussion sur l'adoption aux Philippines (FUFPhilippines et Adoption Philippines). Je n'étais pas présente dans les discussions sur ces forums, je préférais prendre des informations pour moi-même. Par contre, je n'ai pas réussi à avoir toutes les informations que je recherchais. Je suis du genre curieuse, je voulais tout savoir en détail sur ce qui allait m'arriver. C'est pourquoi, je pense que ce blog va être utile pour les personnes qui, comme moi, recherchent tous les petits détails d'une adoption. Vers la fin de notre attente, je me suis présentée sur un des forums de discussion et après avoir eu notre proposition, j'ai posé des questions. Cependant, je trouvais les réponses vagues, j'aurais aimé avoir plus de détails. J'ai remarqué, que les gens sur ce Forum, ne sont pas très explicites, peut-être par pudeur. Par la suite, j'étais présente pour raconter mon expérience personnelle et pour divulguer mon opinion su certains sujets, lorsque je le jugeais nécessaire.

Aussi, nous avons commencé à acheter des accessoires pour enfants et à préparer la chambre de notre futur enfant. Tous les achats se faisaient en fonction que nous ne savions pas le sexe de l'enfant. D'ailleurs, tout au long des démarches pour l'adoption de notre enfant, je les comparais à une grossesse. La date d'acceptation équivalait à un test de grossesse positif. Le temps d'attente d'une proposition égalait à une grossesse, mais d'une gestation beaucoup plus longue. De plus, tout au long de cette attente (grossesse), je parlais à mon futur enfant, en touchant ma tête et non mon ventre. J'essayais de le visualiser dans ma tête et de lui parler, comme ferait une maman enceinte. Lorsque son lit est entré dans sa chambre et à chaque fois que je passais devant je me l'imaginais en train de dormir paisiblement. Aussi, à tous les 1er de chaque mois, nous fêtions notre x mois d'attente. Nous savions le nombre de mois exact que nous attendions et vers la fin, je le calculais, aussi, en jours. Donc, oui j'ai trouvé le temps péniblement long, mais je le vivais bien.

De même, nous avons pris rendez-vous pour des vaccins à la clinique du voyageur au CLSC de notre région. La clinique du voyageur nous a informé sur la vaccination, qui demeure le meilleur moyen de prévention de plusieurs maladies infectieuses. Tout dépendait de la saison et de la région où nous allions voyagé, certains vaccins nous ont été suggérés pour un voyage en sécurité aux Philippines. Donc au mois d'avril 2008, nous avons reçu le Boostrix contre la Diphtérie, le tétanos et la coqueluche, qui est un rappel du vaccin que nous avons eu durant notre jeunesse. Comme 2e injection, nous avons reçu Imovax Polio contre la poliomyélite, qui est, lui aussi, un rappel du vaccin que nous avons eu durant notre jeunesse. Ensuite, j'ai reçu le vaccin MMR-II contre la rougeole, la rubéole et les oreillons, car l'infirmière trouvait que je n'avais pas assez reçu de dose, lors de ma jeunesse. Comme autre vaccin, nous avons reçu le Vivaxim contre la fièvre typhoïde et l'hépatite A. Comme dernière injection, nous avons reçu l'Engerix B contre l'hépatite B. Alors, j'ai reçu 5 injections répartis sur mes 2 bras et 2 cuisses et mon conjoint 4. De plus, nous leur avons demandé des reçus pour les frais de vaccin/voyageurs, car notre assurance-collective ne les couvraient pas. Par la suite, au mois d'août 2008 (soit 4 mois plus tard), nous avons reçu un rappel de l'Engerix B. Finalement, au mois de septembre 2008, nous avons reçu une dernière injection du vaccin Twinrix contre l'hépatite A et l'hépatite B.

23- Attendre la Déclaration d'autorisation du garant ou de conjoint cosignataire


Le Ministère de l'Immigration et des Communautés culturelles du Québec a envoyé à mon conjoint, par la poste, la Déclaration d'autorisation du garant ou de conjoint cosignataire. Ce formulaire sert à vérifier si nous n'avons pas manqué à des obligations concernant le paiement d'une pension alimentaire au cours des dernières années. Nous avons rempli les 2 déclarations (un pour le garant et l'autre pour le cosignataire) en regardant lequel était souligné en jaune pour remplir la bonne déclaration d'autorisation. D'ailleurs, je leur ai retourné les Déclarations d'autorisations du garant ou du conjoint cosignataire dans les plus brefs délais.

22- Recevoir la trousse de parrainage de notre organisme


Nous avons reçu, par la poste de notre organisme, une trousse de parrainage contenant l'information nécessaire pour l'ouverture d'un dossier auprès d'Immigration Canada. De plus, nous avons attendu de recevoir, par courrier, une lettre du Secrétariat à l'adoption internationale (SAI) de demande d'approbation de parrainage nécessaire à l'ouverture du dossier à Immigration Canada. Pour ce qui est de la lettre du SAI, c'est notre organisme qui a fait la demande de parrainage.

Alors, j'ai complété la trousse dès sa réception. Je n'ai pas hésité à contacter notre personne ressource afin de bien compléter notre demande, car la trousse sert à tous les types de demande de parrainages pour les résidents de toutes les provinces canadiennes. Donc, il y a beaucoup d'information superflue pour les résidents du Québec. Le fait de vérifier avec notre personne ressource, a permis de ne pas inclure des documents inutiles à notre demande.

En conséquence, j'ai imprimé et complété le formulaire IMM 1344A et j'ai joint les documents suivants :

- Photocopies de nos certificats de naissance
- Photocopie de notre certificat de mariage
- Lettre du Secrétariat à l'adoption internationale (SAI) adressée au Centre d'Immigration Canada
- L'enregistrement du Reçu du paiement qui a été payé en ligne par Internet

Finalement, je leur ai fait parvenir les formulaires accompagnés du reçu et de tous les documents à l'appui. J'ai écrit ADOPTION juste au-dessus de CENTRE DE TRAITEMENT DES DEMANDES. Pour que la demande ne me soit pas retournée, je me suis rendus au bureau de poste et j'ai fait peser l'envoi avant de le poster. Aussi, j'ai exigé une signature à la réception de l'envoi.

Par conséquent, mon conjoint a reçu la réponse à notre Demande de parrainage de parents (Immigration Canada) avec notre numéro de client, de 2 à 4 semaines après l'envoi de notre formulaire. J'ai dû faxer une copie de la réponse au bureau de notre organisme. De plus, cette lettre a confirmé la réception des frais de traitement de notre demande. Aussi, notre demande a été transmise par Citoyenneté et Immigration Canada au Ministère de l'Immigration et des Communautés Culturelles du Québec pour l'examen de l'engagement et à l'ambassade du Canada aux Philippines pour l'ouverture de dossier. Puis, mon conjoint a reçu, dans les 2 semaines suivant la réponse de notre Demande de parrainage de parents (Immigration Canada), le Guide de l'immigrant qui inclut la Demande de résidence permanente du Canada. Vu que notre enfant n'était pas identifié, je n'ai pas soumis la demande au bureau des visas. Tout c'est fait automatiquement, je n'ai rien fait.

21- Envoi de notre dossier aux Philippines


Notre organisme a envoyé le dossier aux Philippines par les moyens qu'elle jugeait approprié (habituellement par courrier Xpress international à nos frais - inclus dans les frais de messagerie). Il peut y avoir eu 5 ou 6 envois. Ensuite, notre demande d'adoption (notre Dossier) a été reçu par le personnel du Bureau du Inter-Country Adoption Board (ICAB). Sous la responsabilité d'un professionnel, notre dossier a été présenté au Board pour approbation de la demande. Donc, nous avons eu un téléphone de notre personne ressource pour nous confirmer que, le 31 janvier 2007, notre Dossier était parti pour les Philippines. Nous avons reçu un deuxième téléphone de notre personne ressource pour certifier que les Philippines avaient bien reçu notre dossier et que d'ici 2 mois environ, nous devrions avoir une réponse à notre demande. Pendant ces 2 mois, les Philippines pouvaient appeler notre organisme pour demander des réponses à leurs questions ou d'autres lettres, qui nous seraient demandés par notre personne ressource. Ce qui, pour nous, n'est jamais arrivé. Alors, nous avons eu un téléphone de notre personne ressource pour nous avertir que nous avions été acceptés aux Philippines en date du 1er mars 2007. Ma personne ressource m'a fait remarqué que c'est plutôt rare une acceptation si rapide, soit seulement 1 mois.

20- Traduction de notre dossier


Lorsque arrivé au bureau de Société Formons Une Famille, notre dossier a été vérifié et traduit, ou la traduction présentée a été vérifiée et corrigée, le cas échéant. La direction de Société Formons une Famille détermine le notaire responsable de la certification afin d'assurer une uniformité de traitement des dossiers, car notre organisme doit certifier l'intégralité de la traduction. Si nos documents avaient été traduits, il aurait été possible que la vérification faite exige que les documents soient corrigés ou traduits à nouveau, ce qui auraient occasionné des frais supplémentaires de traduction. C'est pourquoi, nous avons exigé des documents originaux en anglais.

Durant ce processus de traduction, notre personne ressource nous a appelé pour faire quelques corrections au formulaire sur les enfants à besoins spéciaux. Nous étions, selon eux, un peu trop ouvert à certaines conditions, par rapport à ce que nous avions discuté lors de notre évaluation psychosociale. Une fois, toutes les corrections apportées, nous avons reçu un téléphone de notre personne ressource pour nous confirmer que la traduction de notre Dossier était terminée et que celui-ci était prêt à partir pour les Philippines. Finalement, notre organisme nous a envoyé une facture pour les frais de traitement de dossier et une copie de la traduction. Alors, nous leur avons envoyé un chèque avec notre numéro de dossier ainsi que le numéro de notre facture. Une fois le chèque passé, nous avons obtenu par la poste, notre reçu pour les frais de traitement de dossier.

19- Constituer le dossier final avec les documents requis


Pour ce qui est de constituer le dossier final, tous les documents ont été dactylographiés et montés selon un ordre détaillé. Durant tout le long du processus, notre personne ressource était là pour répondre à nos questions et nous aider dans le montage de notre dossier. En premier-lieu, j'ai fait une page de présentation avec comme titre ADOPTION Republic of the Philippines avec en dessous le drapeau du pays. Il y avait, aussi, sur cette page-titre nos noms avec en-dessous une petite photo de nous et finalement, en bas de la page notre adresse postale. Ensuite, j'ai fait une page décrivant ce que nous avions comme photos : 2 photos 8 x 10 des adoptants, 9 photos de la famille, 1 photo de la résidence. Finalement, j'ai mis tous les documents suivant une organisation précise:

- Formulaire d'application
- Certificats de naissance
- Certificat de mariage
- Évaluation psychosociale entérinée par le Centre jeunesse
- Évaluation psychologique
- Lettre de présentation des adoptants
- L'avis de cotisation de la dernière année d'imposition (fédéral ou provincial). Nous avons photocopié l'avis de cotisation fédérale de l'année 2005, car il fallait envoyer l'original dans le dossier.
- Certificats de bonne santé
- Certificats d'absence de dossier judiciaire
- Photocopies des passeports
- Lettres de référence (prêtre, employeur, ami) et lettre d'acceptation des tuteurs
- Photos des adoptants (8 x 10), de la famille et de la résidence (au-moins 8 à 10 photos)

2 photos (8 x 10) de nous deux, lors d'une séance photo
1 photo de nous deux, d'une sœur de mon conjoint avec son conjoint et notre filleule, lors du baptême de cette dernière
1 photo de nous deux avec notre filleule et notre neveu, lors d'un jour de l'an
1 photo de nous deux avec les cousins à mon conjoint, lors du 60e anniversaire de naissance du père à mon conjoint
1 photo de nous deux avec ma mère, ma sœur et son conjoint
1 photo de l'autre sœur de mon conjoint avec sa mère, lors de l'anniversaire de naissance de cette sœur
1 photo de mon père, lors d'un Noël
1 photo de mes beaux-parents et d'un couple d'ami, lors de mon anniversaire de naissance
1 photo avec les grands-parents de mon conjoint, lors d'un jour de l'an
1 photo de nos 3 chats
1 photo de l'extérieur de notre maison, lors d'un hiver

- Formulaire sur les enfants avec besoins spéciaux
- Questionnaire
- Information en résumé
- Une traite faite au nom de InterCountry Adoption Board of the Philippines, que nous nous sommes procurés dans une institution financière. Cette traite est exigée pour les frais d'ouverture de dossier aux Philippines.

Une fois le dossier terminée, nous avons fait trois photocopies complètes du dossier dont deux copies pour Formons une Famille et une copie pour nous. Puis, j'ai fait parvenir le dossier original et deux copies à Formons une Famille par Xpresspost et j'ai exigé une signature à la réception de mon envoi.

Pour notre cas, ça nous a pris 10 mois pour constituer le Dossier, ce qui est très long à comparer aux autres dossiers, qui sont faites par des couples du même organisme agréé. Nous avions eu quelques imprévus, comme des conflits dans la compagnie dont mon conjoint a des actions (3 mois de retard), des délais imprévus pour l'obtention du certificat médical (3 mois de retard) et des erreurs dans notre évaluation psychosociale et psychologique (1 mois 1/2 de retard). Donc, il aurait été pensable de réaliser notre dossier en 3 mois. Dans toute cette aventure, j'ai trouvé difficile de voir qu'il y avait des embûches sur notre chemin. J'avais peur que nous soyons mal jugés, mais en aucun cas c'est arrivé. En regardant mon garçon, je me dis que le destin a été pour nous et qu'on ne devrait jamais se préoccuper du délai pour monter le dossier, car au bout de cette longue attente un enfant est destiné à entrer dans nos vies.

18- Remplir le formulaire Information en résumé


J'ai complété le formulaire en anglais, reçu par courrier électronique (nouveau document demandé par les Philippines), pour réduire les frais de traduction.

17- Remplir le formulaire sur les enfants avec besoins spéciaux


Nous avons complété le formulaire en anglais, fourni dans le cartable d'information de notre organisme agréé, pour réduire les frais de traduction. Les autorités des Philippines utilisent ce formulaire pour les guider dans le choix d'une famille pour l'enfant proposé à l'adoption. Il était très important de paraître le plus ouvert possible envers les Philippines tout en étant confortable avec les choix que nous prenions. C'est pourquoi, si nous cochions Not Accept (refusons) pour un enfant avec une histoire inconnue (Parental background/ No known information), nous risquions d'attendre plus longtemps avant qu'un jumelage ne survienne. Surtout, que ce type d'information, dans d'autres pays, n'est tout simplement jamais connu. Aussi, il faut se demander s'il est justifié de priver un enfant d'une famille parce qu'il a été abandonné sans papiers. De plus, pour ce qui est de l'historique des parents, s'ils connaissent l'histoire des parents, ils regardaient les autres points de cette section et s'ils ne la connaissent pas et bien ils en n'avaient pas besoin.

Évidemment, certains points du questionnaire ne s'appliquaient pas vraiment à nous, vu que nous demandions un enfant de 0-24 mois et qu'à la base, le questionnaire a été fait pour les enfants de 0 à 8 ans et plus. Cependant, il fallait y répondre pareil. Pour ce qui est du bégaiement, c'est certain que pour un enfant de 18 mois, ils ne pourront savoir si c'est son cas. Ainsi, nous devions répondre Accept (acceptons). En ce qui concerne l'infection primaire sous médication, cela peut être par exemple, une otite ou une bronchite, donc, une infection qui se guérit avec un antibiotique. Or, il était préférable de répondre Accept (acceptons). En ce qui a trait à l'eczéma et à la dermatose, on ne peut savoir à l'avance si l'enfant en aura beaucoup. En conséquence, il était préférable de répondre Accept (acceptons).

Finalement, une fois le formulaire rempli, nous avons consulté notre personne ressource afin de bien comprendre les implications de nos choix qui ont été indiqués sur le formulaire.

16- Remplir le questionnaire


Nous avons complété le questionnaire en anglais, fourni dans le cartable d'information de notre organisme agréé, pour réduire les frais de traduction. Il fallait compléter un questionnaire pour moi et un autre pour mon conjoint.

15- Écrire une lettre des adoptants


J'ai composé une lettre en anglais pour réduire les frais de traduction. Cette lettre était adressée à l'autorité compétente des Philippines et faisait part de notre désir d'adopter un enfant philippin. J'ai suivi le modèle fourni dans notre cartable d'information de notre organisme agréé. Je me suis fait dire par notre personne ressource d'insérer beaucoup de valeurs religieuses et d'élaborer beaucoup sur nos pratiques religieuses. Aussi, elle nous avait conseillé de parler des valeurs qui nous attirait vers ce pays, de leur culture, de leur religion chrétienne et comme de quoi ils prenaient bien soin de leurs enfants. D'ailleurs, elle nous avait averti de ne pas parler du fait que c'est moins dispendieux, car ils pourraient être vexés. De plus, elle nous avait recommandé d'indiquer l'âge de l'enfant en mois, pour améliorer nos chances que l'enfant ne dépasse pas 2 ans. Cependant, cette astuce n'était pas une garantie.

14- Remplir le formulaire d'application


Nous avons complété le formulaire anglais, fourni dans le cartable d'information de notre organisme agréé, pour réduire les frais de traduction. Une fois terminée, nous sommes allés à notre institution financière pour avoir le sceau d'un commissaire à l'assermentation. Nous aurions pu, aussi, nous adresser à un notaire. Lorsque nous avons reçu notre évaluation psychosociale, nous avons revérifié nos réponses inscrites au formulaire pour éviter de se contredire.

13- Réaliser l'évaluation psychosociale et psychologique


Nous avons attendu que la personne mandatée à l'évaluation psychosociale entre en contact avec nous. Dans notre cas, c'était une psychologue qui a fait les deux types d'évaluation. Les Philippines acceptent que l'évaluation psychologique soit faite par la même personne qui a fait l'évaluation psychosociale. Toutefois, ils exigent que l'évaluation psychologique soit effectuée par un psychologue.

Notre évaluation psychosociale et psychologique s'est déroulé en plusieurs parties : il y a eu une première rencontre d'évaluations, où c'est nous qui nous sommes déplacés et une deuxième entrevue à notre domicile. Lors de la première rencontre d'évaluations, nous devions présenter à l'évaluatrice les documents suivants : certificat médical, certificat de bonne conduite, certificat de solvabilité (bilan financier), lettre du SAI, lettres de références et attestation d'emploi. De plus, l'évaluatrice, nous a demandé une preuve de notre mariage avant de compléter notre évaluation psychosociale. Nous avons eu, en premier-lieu, une évaluation (psychosociale) conjointe pour décrire la motivation de notre projet. Par la suite, les entrevues (évaluation psychosociale) ont été faites individuellement pour détailler nos histoires personnelles, notre relation conjugale et nous avons passé des tests projectifs de la personnalité Rorschach et T.A.T pour analyser notre stabilité psychologique (évaluation psychologique). Lors de l'entrevue à notre domicile, la psychologue nous a rencontré (évaluation psychosociale) ensemble pour exposer notre situation socio-économique et culturelle, nos aptitudes parentales pour l'adoption internationale et l'impact d'actualisation de notre projet d'adoption. Aussi, elle a visité notre domicile. Finalement, nous lui avions présenté 2 annexes (Éléments de l'évaluation psychosociale et Éléments de l'évaluation psychologique), que nous avions dans notre cartable d'information, fourni par notre organisme agréé, pour l'aider à monter ses évaluations.

Vu que mon conjoint a fait face à des délais imprévus et incontrôlables dans ses démarches pour obtenir son certificat médical, la rédaction du rapport a été retardée. Une fois son certificat médical envoyé, par la poste, à la psychologue, nous avons reçu un téléphone de celle-ci, nous informant que nous avions une recommandation favorable quant à la réalisation de notre projet d'adopter un enfant.

Par la suite, nous avons attendus que le Centre jeunesse de notre région, nous envoie 2 originaux (1 pour notre organisme agréé à leur envoyer le plus rapidement possible afin de confirmer notre approbation et 1 pour nous) de notre évaluation psychosociale et psychologique. Aussi, le Centre jeunesse a envoyé une copie de nos évaluations au Secrétariat à l'adoption internationale (SAI) et recommandé notre projet d'adoption pour les Philippines. D'ailleurs, le rapport de notre évaluation psychosociale devait être signé par le professionnel qui a fait l'évaluation et devait être entériné par la personne désignée par le Directeur de la protection de la jeunesse de notre Centre jeunesse. De plus, le Centre jeunesse, par sa lettre, nous confirma notre inscription à l'adoption internationale au Centre jeunesse de notre région.

Pour ce qui est de l'originale à envoyer à notre organisme agréé, il aurait fallu s'assurer qu'il y ait une évaluation psychosociale et une évaluation psychologique séparé, car le Secrétariat à l'adoption internationale (SAI) informa notre organisme agréé que la psychologue n'avait pas fait deux rapports distincts. Notre organisme agréé en avisa notre personne ressource et qui nous en a avertie. Donc, j'ai dû contacter la psychologue pour lui en informer. Après cette clarification, le Centre jeunesse a fait parvenir une copie de ces deux rapports au SAI ainsi qu'à notre organisme agréé. Lorsque nous avons reçus les deux exemplaires de chacun de ces rapports, j'ai constaté qu'il y avait une erreur dans le rapport d'évaluation psychologique, soit la date d'administration des tests projectifs de la personnalité Rorschach et T.A.T de mon conjoint. Alors, j'ai dû recontacter la psychologue pour qu'elle refasse la première page du rapport d'évaluation psychologique.


12- Obtenir une lettre des tuteurs de notre enfant


Nous avions demandé aux tuteurs de notre enfant, soit ma sœur cadette et son conjoint, de nous écrire une lettre en anglais pour réduire les frais de traduction. Dans cette lettre, ils ce sont présentés avec le nombre d'années de mariage. En réalité, ils ne sont pas mariés, mais notre personne ressource, nous a dit de ne pas faire de différence entre la fréquentation et le mariage. Aussi, ils devaient inscrire s'ils acceptaient ce rôle de tuteurs et divulguer leurs valeurs religieuses.

11- Obtenir une lettre de nos employeurs


Nous avions demandé, au département des Ressources humaines de chacun de nos employeurs, de nous écrire une lettre de référence. Cette lettre devait contenir une confirmation d'emploi avec le titre de celui-ci. Aussi, ils devaient déclarer notre salaire annuel et divulguer s'il y avait une possibilité de mise-à-pied.

10- Obtenir des lettres de référence


Il fallait obtenir une lettre de référence de quelqu'un de la communauté qui nous connaissait depuis 5 ans et qui n'était pas de la famille. Nous avions demandé à un couple d'ami avec un enfant et en attente de leur deuxième, dont cet enfant était pour être notre filleul, de nous en écrire une. Dans leur lettre, ils ont présenté leur famille et le nombre d'années de mariage. Aux Philippines la religion est très importante, donc notre personne ressource, nous a dit d'inscrire le nombre d'années de fréquentation en tant qu'années de mariage. Ils ont dû, aussi démontré notre amitié, nous décrire ainsi que notre relation amoureuse. De plus, ils ont divulgué nos valeurs religieuses, démontré notre intérêt d'avoir un enfant et nos capacités d'être parent. Par la suite, nous avons traduit leur lettre en anglais pour réduire les frais de traduction.

Aussi, l'évaluateur qui a effectué nos évaluations, nous avait demandé des lettres de référence, que nous lui avons remis à sa visite à notre domicile. Les lettres de référence ont été écrites par le père de mon conjoint, les tuteurs de notre enfant, une amie avec deux enfants et nous avons pris la lettre de notre couple d'ami que nous voulions mettre dans notre Dossier d'adoption.

9- Obtenir une lettre de référence à un curé ou à un pasteur


Nous avions demandé au prêtre, dans la famille de mon conjoint, de nous écrire une lettre de référence en anglais pour réduire les frais de traduction. Nous lui avions convié de certifier que nous avions été baptisé et que nous étions mariés religieusement. De plus, il a divulgué nos valeurs religieuses, démontré notre intérêt d'avoir un enfant et nos capacités d'être parent.

8- Photocopier les passeports


Nous n'avions jamais obtenu de passeports, donc nous avons dû les demander par Internet. Lors de la réception de nos passeports, nous avons vérifié que nos passeports étaient dûment signés. Pour ce qui est du Dossier d'adoption, nous avons photocopié les pages 2 et 3 de nos passeports pour les y insérer.

7- Obtenir un certificat de solvabilité


Nous avons rempli un bilan financier à notre institution financière, car ce document était demandé, lors de la rencontre des évaluations psychosociale et psychologique. Cependant, il n'était pas nécessaire d'insérer ce document dans le Dossier d'adoption. Par contre, nous avions, en premier-lieu, demandé une lettre de référence à notre institution financière. Mais, lors de notre rencontre des évaluations psychosociale et psychologique, l'évaluateur nous a averti que ce n'était pas ce genre de document qu'il désirait observer. Alors, lorsque l'évaluateur est venu à notre domicile, nous lui avons remis notre bilan financier.

6- Obtenir le certificat de bonne conduite


Nous sommes allés au poste de la Sureté du Québec de notre région pour obtenir les certificats de bonne conduite. Leur document s'appelle Vérifications d'antécédents criminels.