tag:blogger.com,1999:blog-65322806931945570132023-06-20T09:34:26.218-04:00Le petit voyageurCe blog est destiné à raconter mon expérience en adoption internationaleKarinehttp://www.blogger.com/profile/11641144327059348221noreply@blogger.comBlogger49125tag:blogger.com,1999:blog-6532280693194557013.post-32065091315647106872011-03-11T14:00:00.012-05:002011-03-11T19:30:15.208-05:0048- Obtenir les crédits fiscaux pour frais d'adoption du Gouvernement du Québec et du Gouvernement du Canada<div style="text-align: justify;"><br />Les<span style="font-weight: bold;"> crédits d'impôt provincial et fédéral</span> pour <span style="font-weight: bold;">frais d'adoption,</span> remboursable à l'adoptant, peuvent être demandés pour <span style="font-weight: bold;">l'année fiscale</span> durant laquelle nous avons obtenu le <span style="font-weight: bold;">jugement d'adoption</span>.<br /><br /><a href="http://www.revenu.gouv.qc.ca/fr/citoyen/credits/credits/credit_remb/adoption/"><span style="font-weight: bold;">Crédit d'impôt pour frais d'adoption au Québec</span></a><br /><br />Le <span style="font-weight: bold;">Québec</span> donne un <span style="font-weight: bold;">crédit d'impôt </span>de <span style="font-weight: bold;">50%</span> de toutes les dépenses d'adoption jusqu'à concurrence de <span style="font-weight: bold;">20 000 $ par enfant</span>, pour un <span style="font-weight: bold;">crédit d'impôt maximal de 10 000 $ par enfant</span>. Également, nous devions résider au Québec le <span style="font-weight: bold;">31 décembre</span> de l'année où nous avions reçu l'<span style="font-weight: bold;">un</span> des documents suivants :<br /><br /><ul><li>un <span style="font-weight: bold;">jugement d'adoption</span> qui établit un lien de filiation entre nous et un enfant et qui a été rendu par un tribunal exerçant sa juridiction au Québec;</li><li>une <span style="font-weight: bold;">décision d'adoption</span> rendue hors du Québec qui fait l'objet d'une reconnaissance judiciaire au Québec;</li><li>un <span style="font-weight: bold;">certificat de conformité</span> délivré selon la Convention sur la protection des enfants et la coopération en matière d'adoption internationale et notifié au Directeur de l'état civil par le ministre de la Santé et des Services sociaux ou par le greffier de la Cour du Québec.</li></ul><br />Pour ce qui est des <span style="font-weight: bold;">frais d'adoption</span> donnant droit à un <span style="font-weight: bold;">crédit d'impôt</span>, c'étaient ceux que nous avions payés <span style="font-weight: bold;">après l'ouverture du dossier d'adoption</span> par le <span style="font-weight: bold;">ministre de la Santé et des services sociaux</span> ou par un <span style="font-weight: bold;">organisme agréé</span> par ce dernier, si ces frais étaient raisonnables et n'avaient pas été utilisés pour demander un crédit d'impôt pour frais médicaux dans nos déclarations de revenus pour l'année en question ou une année antérieure. Ainsi, nous ne devions avoir obtenu ou ne devions pouvoir obtenir le remboursement de ces frais, sauf si ce remboursement avait été inclus dans l'un de nos revenus et qu'il ne pouvait pas être déduit ailleurs.<br /><br />Donc, pour avoir droit au <span style="font-weight: bold;">crédit d'impôt</span>, nous devions joindre à notre déclaration de revenus, une copie de l'<span style="font-weight: bold;">un</span> des <span style="font-weight: bold;">documents exigés</span> et le <span style="font-weight: bold;"><a href="http://www.revenu.gouv.qc.ca/documents/fr/formulaires/tp/tp-1029.8.63%282008-10%29.pdf">formulaire TP-1029.8.63(2008-10)</a> de Revenu Québec</span>.<br /><br /><a href="http://www.cra-arc.gc.ca/tx/ndvdls/tpcs/ncm-tx/rtrn/cmpltng/ddctns/lns300-350/313/menu-fra.html"><span style="font-weight: bold;">Crédit d'impôt pour frais d'adoption au Canada</span></a><br /><br />Le <span style="font-weight: bold;">Canada</span> donne un <a href="http://www.cra-arc.gc.ca/F/pbg/tf/5005-s1/5105-s1-10f.pdf"><span style="font-weight: bold;">crédit d'impôt</span></a> de <span style="font-weight: bold;">15%</span> ou <span style="font-weight: bold;">22%</span> ou <span style="font-weight: bold;">26%</span> ou <span style="font-weight: bold;">29%</span> (le pourcentage dépend du revenu imposable du parent adoptant) jusqu'à concurrence de <span style="font-weight: bold;">10 909 $ par enfant</span>, pour un <span style="font-weight: bold;">crédit maximal</span> de <span style="font-weight: bold;">1 636 $ par enfant</span>. Évidemment, les montants maximum peuvent changer selon l'année fisacale.<br /><br /><div> <p>Pour ce qui est des <span style="font-weight: bold;">frais d’adoption admissibles</span>, ceux-ci devaient débuter à la <span style="font-weight: bold;">première des dates suivantes</span> :<br /></p><br /><ul><li>au moment où le <span style="font-weight: bold;">dossier d'adoption de l'enfant</span> est ouvert auprès du <span style="font-weight: bold;">ministère provincial ou territorial</span> ou auprès d'un <span style="font-weight: bold;">organisme d'adoption agréé</span> par une administration provinciale ou territoriale;</li><li>au moment où un <span style="font-weight: bold;">tribunal canadien</span> est saisi de la <span style="font-weight: bold;">requête en adoption</span>.</li></ul><br /><p><span><span class="FCKarrowGreen">Aussi, les dépenses devaient se terminer </span></span><strong style="font-weight: normal;">à la <span style="font-weight: bold;">plus tardive des dates suivantes</span></strong> :</p><br /><ul><li>au moment où <span style="font-weight: bold;">l'ordonnance d'adoption</span> pour cet enfant est émise ou reconnue par une administration au Canada;</li><li>au moment où l'enfant commence à <span style="font-weight: bold;">demeurer en permanence</span> avec nous.</li></ul><p><br /></p><p><span><span class="FCKarrowGreen">En conséquence, les <span style="font-weight: bold;">dépenses d'adoption admissibles</span> étaient les suivants :<br /></span></span></p><ul><li><span><span class="FCKarrowGreen">les <span style="font-weight: bold;">sommes versées</span> à un <span style="font-weight: bold;">organisme d'adoption agréé</span> par une administration provinciale ou territoriale;</span></span><span><span class="FCKarrowGreen"></span></span></li><li><span><span class="FCKarrowGreen">les <span style="font-weight: bold;">frais de justice</span> et les <span style="font-weight: bold;">frais juridiques et administratifs</span> afférents à une <span style="font-weight: bold;">ordonnance d'adoption</span> à l'égard de l'enfant;</span></span><span><span class="FCKarrowGreen"></span></span></li><li><span><span class="FCKarrowGreen">les <span style="font-weight: bold;">frais de déplacement et de subsistance</span> raisonnables et nécessaires pour l'enfant et les parents adoptifs;</span></span><span class="FCKarrowGreen"></span></li><li><span class="FCKarrowGreen">les <span style="font-weight: bold;">frais de traduction de documents</span>;</span><span class="FCKarrowGreen"></span></li><li><span class="FCKarrowGreen">les<span style="font-weight: bold;"> frais obligatoires payés</span> à une<span style="font-weight: bold;"> institution étrangère</span>;</span><span><span class="FCKarrowGreen"></span></span></li><li><span><span class="FCKarrowGreen">les <span style="font-weight: bold;">sommes obligatoires payées</span> relativement à l'<span style="font-weight: bold;">immigration de l'enfant</span>;</span></span></li><li><span><span class="FCKarrowGreen"></span></span><span><span class="FCKarrowGreen">toute autre <span style="font-weight: bold;">somme raisonnable</span> relative à <span style="font-weight: bold;">l'adoption</span> et exigée par une <span style="font-weight: bold;">administration provinciale ou territoriale</span> ou par un <span style="font-weight: bold;">organisme d'adoption agréé</span> par une telle administration.</span></span></li></ul> </div><br />Par conséquent, nous pouvions demander seulement le montant pour la partie des frais admissibles qui ne nous avait pas été remboursée et dont nous ne prévoyions pas le remboursement.<br /><br />Donc, nous avions fait faire nos déclarations de revenus fédérale et du Québec par un comptable avec une photocopie du certificat de naissance de notre garçon, mais je trouvais que ceux-ci nous donnaient des remboursements importants. Après plusieurs jours de réflexion, j'ai décidé de vérifier le calcul du comptable et j'ai constaté qu'il y avait une <span style="font-weight: bold;">erreur de calcul dans les crédits fiscaux pour frais d'adoption </span>remboursable à l'adoptant. J'ai refait les calculs et j'ai appelé notre comptable pour l'avertir de cet erreur. Je lui ai montré mes calculs et il a fait les corrections nécessaires, c'est-à-dire de remplir le <span style="font-weight: bold;">formulaire Demande de redressement d'une déclaration de revenus </span>(provincial) et le f<span style="font-weight: bold;">ormulaire Demande de redressement d'une T1</span> (fédéral) pour demander un redressement à une déclaration de revenus des particuliers. Ce qui impliquait l'établissement de nouvelles cotisations pour les déclarations. Cependant, j'avais remarqué la faute avant la date limite pour la production des déclarations de revenus. Par conséquent, le comptable a fait une <span style="font-weight: bold;">déclaration de revenu Amendé</span> et vu que nous avions déjà reçu nos remboursements, nous avons dû faire un chèque pour régler le trop versé du crédit d'impôt du Québec. Toutefois, nous n'avions qu'à régler le provincial, car pour le fédéral nos frais d'adoption révisés étaient plus élevés que le montant maximum<br /><br />Aussi, j'avais entendu parler que les familles ayant adopté un enfant à l'internationale avait souvent des <span style="font-weight: bold;">vérifications sur l'exactitude de leur cotisations</span>. Ce fut notre cas, car l'<span style="font-weight: bold;">Agence du revenu du Canada</span> nous envoya une lettre, en août 2010, pour nous informer qu'il mettait régulièrement en oeuvre des programmes d'examens qui jouent un rôle important dans le cadre du régime fisacal d'autocotisation. Alors, pour appuyer notre demande de <span style="font-weight: bold;">Frais d'adoption</span>, nous devions fournir les renseignements dans les <span style="font-weight: bold;">30 jours</span> suivants cette lettre. Donc, nous avons envoyé, par Xpresspost et en exigeant une signature (preuve de la réception dans les 30 jours suivant la lettre), les <span style="font-weight: bold;">reçus pour les dépenses d'adoption admissibles</span>, une <span style="font-weight: bold;">copie</span> de <span style="font-weight: bold;">l'ordonnance d'adoption</span> et <span style="font-weight: bold;">l'échéancier de la période d'adoption</span>.<br /><br />Pour <span style="font-weight: bold;">l'échéancier de la période d'adoption</span>, j'avais fait un <span style="font-weight: bold;">tableau</span> avec une liste d'étapes et les dates les concernant. Aussi, j'avais envoyé des <span style="font-weight: bold;">lettres</span> et j'avais souligné les <span style="font-weight: bold;">dates</span> sur celles-ci pour prouver les informations de mon tableau.<br /><br />Pour les <span style="font-weight: bold;">reçus</span> des <span style="font-weight: bold;">dépenses d'adoption admissibles</span>, j'avais inscrit une description de frais sur les reçus et j'avais décrit mon calcul des <span style="font-weight: bold;">Frais d'adoption</span>.<br /><br />Pareillement, nous devions inscrire le <span style="font-weight: bold;">numéro de référence</span> de la lettre et notre <span style="font-weight: bold;">numéro d'assurance-sociale </span>sur nos documents. Aussi, il nous avertissait dans la lettre, que si nous ne répondions pas à leur demande, ils refuseraient le montant faisant l'objet de la revue, ce qui aurrait pu résulter en un solde dû.<br /><br />Finalement, nous avons reçu, en novembre 2010, la <span style="font-weight: bold;">réponse d'acceptation</span> de la demande faisant l'objet d'un examen, après que l'<span style="font-weight: bold;">Agence du Revenu du Canada</span> ait terminé la revue de la <span style="font-weight: bold;">déclaration de revenus et de prestations</span>. Aussi, ils nous ont retourné les documents que nous leur avions expédiés par courrier, pour nos dossiers. Dans la lettre, ils nous avisaient de conserver les documents pour consultation future, car ils ne conservent pas de copies.<br /></div>Karinehttp://www.blogger.com/profile/11641144327059348221noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6532280693194557013.post-8656370041892928302010-05-03T19:44:00.006-04:002010-06-28T19:57:55.707-04:0047- Obtenir la citoyenneté canadienne de notre enfant<div style="text-align: justify;"><br />J'ai fait une demande de <a href="http://www.cic.gc.ca/francais/index.asp"><span style="font-weight: bold;">citoyenneté canadienne</span></a> pour notre enfant au nom de mon conjoint et je l'ai faite en <span style="font-weight: bold;">2 étapes</span>. Cependant, sur un des forums où je suis membre, j'ai appris que pour les enfants philippins, vu que nous avons une demande de parrainage active, nous n'avons pas besoin de le faire en deux étapes comme pour la Chine et le Vietnam et que c'est un autre fourmulaure qu'il faut remplir. Par contre, vu que j'ai su ce détail après avoir débuté la 1ère étape, j'ai continué sur cette façon. De plus, d'autres comme moi, sur le forum, ne semblait pas être au courant et ont réussi à obtenir la citoyenneté canadienne de leur enfant.<br /><br />Tout d'abord, j'ai été sur le <a style="font-weight: bold;" href="http://www.cic.gc.ca/francais/information/demandes/cit-adoption.asp">site web de CIC</a> et j'ai réalisé la <span style="font-weight: bold;">Partie 1 Confirmation de la citoyenneté canadienne du ou des parents adoptifs</span> de la <span style="font-weight: bold;">Demande de citoyenneté canadienne pour une personne adoptée (le 1er janvier 1947 ou après)</span>. Donc, j'ai rempli le <a href="http://www.cic.gc.ca/francais/pdf/trousses/citoyen/CIT0010F.pdf"><span style="font-weight: bold;">formulaire CIT 0010</span></a> et je l'ai imprimé une fois complété. Par la suite, j'ai rempli et signé à <span style="font-weight: bold;">personne qui a aidé le requérant à remplir le présent formulaire</span>, vu que c'était moi qui l'avait rempli au nom de mon conjoint. J'avais décidé que le requérant serait mon conjoint, vu que toutes les démarches d'immigration avait été faites à son nom. Alors, mon conjoint a signé le formulaire en tant que <span style="font-weight: bold;">requérant</span>. Ensuite, en lisant, la <a href="http://www.cic.gc.ca/francais/pdf/trousses/citoyen/CIT0484F.pdf"><span style="font-weight: bold;">liste de contrôle des documents</span></a>, j'ai découvert que nous devions joindre à l'envoi les <a href="http://www.cic.gc.ca/francais/pdf/trousses/citoyen/0009F.pdf"><span style="font-weight: bold;">copies certifiées conformes</span></a> de <span style="font-weight: bold;">2 pièces d'identité</span> et d'une preuve de la <span style="font-weight: bold;">citoyenneté canadienne</span> du ou des parents adoptifs qui présentent la demande au nom de la personne adoptée. Pour finaliser cette première étape, j'ai payé les <a href="https://services3.cic.gc.ca/epayweb/SwitchLanguage.do?uri=/epayweb/welcome.jsp"><span style="font-weight: bold;">frais par internet</span></a> et j'ai imprimé le <span style="font-weight: bold;">reçu</span> indiquant le total des frais payés en ligne et je l'ai mis avec l'envoi. Ainsi, j'ai posté, au Centre de traitement des demandes de Sydney, en Nouvelle-Écosse, qui était aussi divulgué dans le <a href="http://www.cic.gc.ca/francais/pdf/trousses/citoyen/0009F.pdf"><span style="font-weight: bold;">Guide d'instruction</span></a>, le formulaire, les documents demandés sur la liste de contrôle et celle-ci plus le reçu. Puis, j'ai reçu, par <span style="font-weight: bold;">courriel</span> de Citoyenneté et Immigration Canada, une copie de notre reçu officiel pour l'acquittement des droits de citoyenneté. Cependant, ils m'ont avisé que le Centre de traitement des demandes n'accepte que l'imprimé de notre reçu officiel comme preuve de paiement. Par conséquent, l'imprimé de leur courriel ne fonctionnerait pas et risquerait de retarder notre demande. Leur courriel avait seulement le but de nous aviser que le paiement avait bien été enregistré.<br /><br />Par la suite, j'ai reçu l'<span style="font-weight: bold;">accusé</span> <span style="font-weight: bold;">de réception</span> de la demande de citoyenneté canadienne pour notre enfant adopté. Cet accusé confirmait que notre demande et les documents étaient pour être examinés et qu'ils communiqueraient avec nous s'ils avaient besoin de renseignements supplémentaires. C'est ce qu'ils ont fait, car mon conjoint a reçu un courriel pour savoir si le nom philippin de notre enfant et le nom québécois était la même personne. Aussi, dans l'accusé de réception, ils avaient créé un <span style="font-weight: bold;">numéro d'identification du client</span> et que nous pouvions utilisé dans toute correspondance (téléphone et Internet) avec eux. De plus, ce numéro permettait de vérifier, en ligne, le <a href="https://services3.cic.gc.ca/ecas/?app=ecas&lang=fr"><span style="font-weight: bold;">statut</span></a> de notre demande. Également, ils nous avisaient du délai, à partir de la date de cette lettre, pour terminer le traitement de la partie 1 de la demande. Ceci signifiait qu'ils s'efforçaient de traiter le plus rapidement possible les demandes d'enfants adoptés résidant au Canada ou à l'extérieur. Néanmoins, ils se protégeaient en affirmamt que plusieurs facteurs pouvaient avoir une incidence sur le délai de traitement et que le traitement de certaines demande pouvaient prendre davantage de temps. Par contre, dès que la décision relative à la partie 1 serait prise, nous serions avisés par écrit.<br /><br />Pour ce qui est de la <span style="font-weight: bold;">partie 2</span>, je devais attendre la décision rendue sur la partie 1 de la demande, visant à confirmer la citoyenneté canadienne d'au moins un des parents adoptifs, avant de soumettre la partie 2. Ceci étant très important, car pour que la citoyenneté soit attibuée à notre enfant, l'un des parents adoptifs devait être citoyen canadien au moment de l'adoption.<br /><br />En fin de compte, nous avons reçu la <span style="font-weight: bold;">décision</span> de la <span style="font-weight: bold;">Partie 1 Confirmation de la citoyenneté canadienne du ou des parents adoptifs</span> à notre <span style="font-weight: bold;">demande de citoyenneté canadienne pour une personne adoptée par un citoyen canadien (le ou après le 1er janvier 1947)</span>, que nous avions présenté au nom de notre enfant adopté. Donc, nous avions une confirmation qu'au moins <span style="font-weight: bold;">un des parents adoptifs avait obtenu au moment de la demande la citoyenneté canadienne ou possédait la citoyenneté canadienne au moment de l'adoption</span>. Cette décision avait été prise, en se fondant sur les renseignements et les documents fournis. Cependant, cette lettre ne pouvait être utilisé à titre de preuve de citoyenneté et ne constituait pas un titre de voyage. Aussi, ça ne signifiait pas que notre enfant avait obtenu la citoyenneté canadienne et ne garantissait pas qu'il l'obtiendrait. De même, il y avait, sur la lettre, un autocollant nous informant que nous devions <span style="font-weight: bold;">retourner la carte de résidente permanente de notre enfant ave la partie 2 de notre demande</span>. En plus, un <span style="font-weight: bold;">formulaire de préparation du certificat de citoyenneté canadienne</span> était joint. Il servait à préparer le certificat de citoyenneté de notre enfant, une fois que la citoyenneté lui serait attribué, si tel était le cas. Par conséquent, il ne me restait qu'à envoyer la <span style="font-weight: bold;">partie 2 de la demande</span> et je devais la présenter dans un <span style="font-weight: bold;">délai de 2 ans</span> suivant la date de la lettre informant la décision au sujet de la citoyenneté canadienne d'au moins un des parents adoptifs.<br /><br />En dernier lieu, je devais soumettre la <span style="font-weight: bold;">Partie 2 Demande de la personne adoptée </span>de la <span style="font-weight: bold;">Demande de citoyenneté canadienne pour une personne adoptée (le 1er janvier 1947 ou après)</span><span style="font-weight: bold;"><span style="font-weight: bold;"> </span></span>avant qu'ils rendent une décision concernant la demande de citoyenneté de notre enfant. Je l'ai faite par Internet à l'aide du <a href="http://www.cic.gc.ca/francais/pdf/trousses/citoyen/CIT0012F.pdf"><span style="font-weight: bold;">formulaire CIT 0012</span></a>. Notamment, je devais y inscrire la date qui figurait sur la lettre de décision confirmant qu'au moins un des parents était citoyen canadien. Une fois le formulaire complété, je l'ai imprimé. Par la suite, j'ai encore rempli et signé à <span style="font-weight: bold;">personne qui a aidé le requérant à remplir le présent formulaire</span>, vu que c'était moi qui l'avait une autre fois rempli au nom de mon conjoint. Alors, mon conjoint a signé le formulaire en tant que <span style="font-weight: bold;">demandeur</span>. Également, j'ai rempli le <span style="font-weight: bold;">formulaire de préparation du certificat de citoyenneté canadienne</span> envoyé avec la lettre de décision du Centre de traitement de Sydney, en y inscrivant le nom de notre enfant au complet. Évidemment, mon conjoint a dû signer ce formulaire. Ensuite, en lisant, la <a href="http://www.cic.gc.ca/francais/pdf/trousses/citoyen/CIT0485F.pdf"><span style="font-weight: bold;">liste de contrôle des documents</span></a>, j'ai découvert que nous devions joindre à l'envoi les <a href="http://www.cic.gc.ca/francais/pdf/trousses/citoyen/0014F.pdf"><span style="font-weight: bold;">copies certifiées conformes</span></a> de <span style="font-weight: bold;">2 pièces d'identité de la personne adoptée</span><span>, le <span style="font-weight: bold;">Jugement d'adoption</span> et l'<span style="font-weight: bold;">Acte de naissance</span> indiquant le nom des parents biologiques</span>. Pour finaliser cette deuxième étape, il ne restait qu'à effectuer <span style="font-weight: bold;">2</span><span style="font-weight: bold;"> </span><span style="font-weight: bold;">photographies de citoyenneté</span> de notre enfant. Ces photographies devait avoir été prises au cours des 12 derniers mois et être conformes aux indications du <a href="http://www.cic.gc.ca/francais/pdf/trousses/citoyen/CIT0021F.pdf"><span style="font-weight: bold;">formulaire CIT 0021</span></a>. Alors, la <span style="font-weight: bold;">première photographie</span> devait être envoyé dans une petite enveloppe avec la <span style="font-weight: bold;">partie 2 Demande de la personne adoptée</span>, sa <span style="font-weight: bold;">carte de résidente permanente</span> et les <span style="font-weight: bold;">copies certifiées conformes</span>. La <span style="font-weight: bold;">deuxième photographie</span>, devait être envoyé avec le <span style="font-weight: bold;">Formulaire Préparation du certificat de citoyenneté canadienne</span> que nous avions reçu avec la lettre de décision du Centre de traitement des demandes de Sydney. Pour terminer l'envoi, j'ai mis la <span style="font-weight: bold;">liste de contrôle</span> coché et j'ai utilisé l'<span style="font-weight: bold;">enveloppe de retour</span> fourni avec la lettre de décision de la partie 1, pour poster au <span style="font-weight: bold;">Centre de traitement des demandes de Sydney, en Nouvelle-Écosse</span>.<br /><br />Finalement, nous avons reçu le <span style="font-weight: bold;">certificat de citoyenneté canadienne</span> du gouvernement du Canada, qui atteste que notre garçon est citoyen canadien aux termes de la Loi sur la citoyenneté et, à ce titre, jouit de tous les droits et privilèges et est assujetti à tous les devoirs et responsabilités d'un citoyen canadien. Aussi, il y avait, dans l'envoi, une <span style="font-weight: bold;">lettre</span> de félicitations pour l'obtention de la citoyenneté canadienne et de bienvenue au sein de la grande famille canadienne du Ministre de la Citoyenneté, de l'Immigration et du Multiculturalisme. De plus, cette lettre informait que notre garçon bénéficiait dorénavant de tous les droits et privilèges que confère la citoyenneté et était assujetti à toutes les obligations et responsabilités qu'elle comporte. Également, il était inscrit qu'il lui revenait de défendre les principes de la démocratie, de la liberté humaine et de la compassion qui sont les fondations d'un Canada fort et uni. De même, il nous spécifiait que le présent document n'était pas une preuve de citoyenneté et que le certificat qui portait sa photo était sa preuve de citoyenneté. En plus, il y avait un <span style="font-weight: bold;">AVIS IMPORTANT</span>, qui nous spécifiait que notre garçon était un <span style="font-weight: bold;">citoyen canadien né ou adopté à l'extérieur de Canada de première génération</span>. Donc, qu'il avait obtenu la citoyenneté canadienne puisque, au moment de son adoption à l'extérieur du canada, il était enfant d'un citoyen canadien. Ensuite, il nous expliquait que la citoyenneté canadienne n'est accordée qu'à la première génération d'enfants nés ou adoptés à l'extérieur du Canada. Par conséquent, <span style="font-weight: bold;">aucun de ses enfants nés à l'extérieur du Canada ne sera citoyen de naissance</span>. De plus, <span style="font-weight: bold;">aucun de ses enfants adoptés à l'extérieur du Canada ne pourra obtenir la citoyenneté canadienne parce qu'il a été adopté par un parent canadien</span>. Cependant, il y a deux exceptions qui existent :<br /><br />1. Au moment de la naissance ou de l'adoption de ses enfants, son autre parent est citoyen canadien par naissance ou a obtenu la citoyenneté canadienne après avoir immigré au Canada.<br />2. Au moment de la naissance ou de l'adoption de ses enfants, il est au service, à l'étranger, de l'administration publique fédérale, provinciale ou territoriale, ou des Forces canadiennes.<br /><br />Alors, il nous expliquait que les enfants qui ne pourront obtenir la citoyenneté canadienne par naissance ou en raison de leur adoption par un Canadien pourront être parrainés à titre de résident permanent et ensuite présenter une demande de citoyenneté. Cependant, il était divulgué que les enfants nés au canada obtiennent automatiquement la citoyenneté canadienne, sauf les enfants de diplomates. Aussi, si nous voulions de plus amples renseignements, nous pouvions consulter le <a href="www.cic.gc.ca">site Web de CIC</a>.<br /><br />Évidemment, j'étais déçu de constater que mon garçon n'avait pas le même privilège que les autres citoyens canadiens. En plus, j'avais essayé de me battre pour ajouter une exception aux enfants issus de l'adoption internationale. Voyant que le gouvernement fédéral ne voulait pas octroyer notre demande, j'ai dû accepter cette injustice, mais j'ai espoir qu'un jour les politiciens au pouvoir changeront cette loi en y apportant une exception pour les enfants issus de l'adoption internationale.<br /></div>Karinehttp://www.blogger.com/profile/11641144327059348221noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6532280693194557013.post-26000397525560080402010-04-25T10:38:00.010-04:002010-04-25T21:18:28.658-04:0046- Obtenir le Certificat de naissance de notre enfant<div style="text-align: justify;"><br />J'ai fait une demande du <a href="http://www.etatcivil.gouv.qc.ca/fr/default.html">certificat de naissance</a> de notre fils par <span style="font-weight: bold;">Internet</span> et j'ai pu le faire directement <span style="font-weight: bold;">en ligne</span>. Les démarches pour l'obtention du certificat se réalisaient en <span style="font-weight: bold;">5 étapes</span>, soit: <span style="font-weight: bold;">Sélection du formulaire</span>, <span style="font-weight: bold;">Authentification à clicSÉQUR</span>, <span style="font-weight: bold;">Formulaire</span>, <span style="font-weight: bold;">Paiement</span> et <span style="font-weight: bold;">Confirmation</span>. Il était recommandé de le faire, le plus rapidement possible, car le certificat de naissance est demandé comme preuve pour la nouvelle carte d'assurance-maladie à son nom québécois, pour le changement de nom pour l'enfant à ma charge dans mes prestations familiales fédérales, ainsi que celle provinciale et pour sa carte de citoyenneté canadienne. Ensuite, j'ai reçu un <span style="font-weight: bold;">courriel</span> du Directeur de l'état civil qui m'informait que ma demande leur avait été transmise avec succès. Aussi, je pouvais vérifier le statut de notre demande en ligne en tout temps sur leur site <span style="font-weight: bold;">Internet</span> à la rubrique <a style="font-weight: bold;" href="http://www.etatcivil.gouv.qc.ca/fr/default.html">Vérification du statut d'une demande</a>. Pour ce faire, je devais avoir en main mon <span style="font-weight: bold;">identifiant clicSÉQUR</span> et le <span style="font-weight: bold;">numéro</span> de ma demande.<br /><br />Une fois le <span style="font-weight: bold;">certificat</span> reçu, j'ai vérifié s'il y avait une erreur. Si c'est le cas, il faut communiquer avec eux le plus rapidement possible afin qu'ils puissent effectuer les vérifications nécessaires. De plus, par mesure de sécurité, il me suggérait de conserver le talon et mon document séparément.<br /></div>Karinehttp://www.blogger.com/profile/11641144327059348221noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6532280693194557013.post-16410344861073720182010-03-21T19:36:00.012-04:002010-04-24T19:52:32.195-04:0045- Obtenir le jugement d'adoption<div style="text-align: justify;"><br />Tout d'abord, nous avons rencontré la <span style="font-weight: bold;">travailleuse sociale</span> responsable de notre dossier au <a href="http://www.acjq.qc.ca/?8EE54FDD-475E-4592-B399-82AF8CDCDDDC"><span style="font-weight: bold;"></span></a><span style="font-weight: bold;">Centre jeunesse</span> de notre région, deux semaines après l'arrivée de notre enfant au pays, afin de débuter les <span style="font-weight: bold;">procédures pour l'obtention du jugement d'adoption</span>. Cette rencontre d'informations c'est déroulé dans un centre jeunesse et la travailleuse sociale nous a expliqué les procédures pour l'obtention du jugement d'adoption, c'est-à-dire que nous devions présenter une requête à la Cour du Québec, chambre de la jeunesse, afin qu'elle accorde un statut légal à notre enfant au Québec et pour que nous puissions obtenir un certificat de naissance émis par le Directeur de l'état civil du Québec. Avant de quitter, nous avons remis les documents originaux, qui seraient remis au service secrétarial - contentieux avec ceux de notre travailleuse sociale. D'ailleurs, la travailleuse sociale nous a assuré qu'ils nous redonneraient nos documents originaux, une fois toutes les procédures terminées (obtention du jugement d'adoption). Voici la liste des documents que nous devions remettre à la travailleuse sociale:<br /></div><ul style="text-align: justify;"><li><span style="font-weight: bold;">Délégation spécifique de responsabilité en regard de l'adoption</span> <span style="font-weight: bold;">:</span> Ce document, adressé et remis à notre travailleuse sociale responsable de notre dossier, informe que le Directeur de la protectionde la jeunesse, délègue à notre travailleuse sociale, conformément à l<a href="http://www2.publicationsduquebec.gouv.qc.ca/dynamicSearch/telecharge.php?type=2&file=/P_34_1/P34_1.html">'article 32</a> de la loi sur la protection de la jeunesse, les responsabilités qui sont dévolues au Directeur de la protection de la jeunesse en matière d'adoption relativement à la situation de notre enfant.</li><li><span style="font-weight: bold;">Certificate of Live Birth</span> : le certificat de naissannce philippin de notre enfant.</li><li><span style="font-weight: bold;">Deed of volountary commitment</span> : le document de consentement des parents biologiques à abandonner leur enfant.<br /></li><li><span style="font-weight: bold;">Travel Authority</span> : le document qui nous autorise à voyager avec notre enfant.<br /></li><li><span style="font-weight: bold;">Rapport d'évaluation psychosociale</span> et <span style="font-weight: bold;">Rapport d'évaluation psychologique</span> : les évaluations réalisées lors du montage de notre dossier.<br /></li><li><span style="font-weight: bold;">Certificats de naissance</span> : nos certificats de naissance demandés lors de le montage de notre dossier (2e copie).<br /></li><li><span style="font-weight: bold;">Lettre de non-opposition du SAI</span> : lettre du Secrétarait à l'adoption internationale, qui informe que ceux-ci ne s'objecte pas à l'adoption de notre enfant.<br /></li><li><span style="font-weight: bold;">1er rapport-progrès</span> : copie du 1er rapport-progrès du centre jeunesse.<br /></li><li><span style="font-weight: bold;">Loi du pays</span> : document de loi certifiée du pays de notre enfant adopté.</li></ul><div style="text-align: justify;">Cependant, pour le document de la loi du pays, j'ai dû demander à mon organisme où me le procurer. Ceux-ci était surpris de cette demande et m'ont demandé de revérifier avec notre travailleuse sociale. Ce que j'ai fait et elle m'a dit que c'était une demande qui dépendait des juges et des régions.</div><br /><div style="text-align: justify;">Alors, j'ai dû faire, dans notre cas, une démarche d'obtention d'une <span style="font-weight: bold;">copie de loi certifiée des Philippines</span> au <span style="font-weight: bold;">Ministère des Transports<span style="font-style: italic;"><span style="font-weight: bold;"><span style="font-style: italic;"> </span></span></span></span>à la <span style="font-weight: bold;">direction des affaires juridiques</span>. En effet, c'est le Secrétariat à l'adoption internationale qui dépose, pour l'<span>Étude</span> du<span style="font-weight: bold;"> </span><span>Ministère de la Justice</span> à la <span>direction des affaires juridiques-Transport,</span> des copies mises à jour et certifiées par les autorités compétentes des pays, états, provinces. Ainsi, j'ai fait par écrit une sollicitation de ce document et ma lettre contenait les informations suivantes : le <span style="font-weight: bold;">nom de l'organisme</span> avec lequel nous faisions affaires, le <a href="http://www.justice.gouv.qc.ca/francais/recherche/district.asp"><span style="font-weight: bold;">district judiciaire</span></a> où nous allions présenté notre requête, le <span style="font-weight: bold;">nom</span> et l'<span style="font-weight: bold;">adresse</span> où la copie certifiée devait être envoyée et la <span style="font-weight: bold;">date d'arrivée</span> de notre enfant (vu que nous ne savions pas la date à laquelle il serait officiellement adopté). Après cela, j'ai reçu la <span style="font-weight: bold;">photocopie certifiée</span> (signé par un notaire) de la <span style="font-weight: bold;">copie</span> de la <span style="font-weight: bold;">Loi d'adoption des Philippines.</span> Puis, je l'ai envoyé au <span style="font-weight: bold;">service secrétarial-contentieux de notre Centre jeunesse</span> pour qu'il la dépose à la requête, qui sera remis à la Cour.<br /><br />Ensuite, nous avons attendu, que la <span style="font-weight: bold;">secrétaire de l'avocate</span> responsable à notre dossier d'adoption, nous téléphone pour prendre <span style="font-weight: bold;">rendez-vous</span> pour les démarches à la <span style="font-weight: bold;">requête en ordonnance de placement</span> à la Cour du Québec, chambre de la jeunesse, de notre district judiciaire.<br /><br />Alors, nous sommes allés au <span style="font-weight: bold;">Palais de Justice</span> de notre région pour rencontrer l'<span style="font-weight: bold;">avocate</span> et <span style="font-weight: bold;">signer les documents</span> nécessaires à l'obtention de notre <span style="font-weight: bold;">ordonnance de placement</span>. Puis, nous avons authentifié nos signatures devant le greffier en affirmant solennellement que tous les documents étaient conformes. Par contre, nous n'avons pas mis la main sur la bible, mais seulement, levé la main droite.<br /><br />Deux semaines plus tard, nous avons passé devant une <span style="font-weight: bold;">juge</span> au <span style="font-weight: bold;">Palais de Justice</span> de notre région, pour que celle-ci, nous rende une <span style="font-weight: bold;">ordonnance de placement</span> en vue d'une adoption. Cette ordonnance, nous conférait l'autorité parentale à moi et à mon conjoint à l'égard de notre enfant. Durant l'audience, il y avait aussi l'avocate responsable à notre dossier ainsi que, la travailleuse sociale autorisée par le Directeur de la protection de la jeunesse. De plus, j'ai dû répondre à la juge pour confirmer que pour les Philippines, le jugement d'adoption devait se faire au Québec. Avant de cautionner ce que l'avocate avait affirmé, j'ai dû m'identifier au greffier en levant la main droite.<br /><br />Puis, la juge, qui a présidé le tribunal, a rédigé, un mois plus tard, le <span style="font-weight: bold;">jugement sur requête conjointe pour ordonnance de placement en vue d'adoption d'un enfant né hors Québec</span>. Ensuite, la greffière adjointe de la Cour du Québec, chambre de la jeunesse, nous en a envoyé <span style="font-weight: bold;">3 copies certifiées</span>, un mois après la rédaction de l'ordonnance de placement. Une de ces copies devait être envoyée à notre société. Également, la greffière adjointe, nous a informé dans sa lettre, que le <span style="font-weight: bold;">délai</span> pour la présentation de la <span style="font-weight: bold;">requête en adoption</span> était d'au moins <span style="font-weight: bold;">6 mois</span> à partir de la date de l'ordonnance de placement. Alors, vu que la date de l'ordonnance de placement était la date de rédaction et non la date à laquelle nous avions passé devant la juge, nous retardions nos prédictions du jugement d'adoption d'un mois.<br /><br />Près du délai de 6 mois, j'ai contacté la <span style="font-weight: bold;">travailleuse sociale</span> responsable de notre dossier au <span style="font-weight: bold;">Centre jeunesse</span> de notre région, car elle m'avait dit qu'elle pourrait nous aider à préparer la <span style="font-weight: bold;">requête en adoption d'un enfant né hors du Québec</span>. Elle nous avait dit que c'était facile et que nous pouvions, ainsi, éviter les frais d'un avocat. Elle avait raison, car la travailleuse sociale m'a envoyé un courriel avec un exemple de requête et je n'avais qu'à entrer nos informations aux endroits où c'étaient surlignés. Alors, je me suis amusé à me faire appeler Maître vu que c'était moi, qui réalisait la requête. Par contre, elle m'avisa que nous ne pourrons pas passer devant le juge avant le délai exact de 6 mois. Cependant, nous pouvions déposer la requête avant le délai et aller en audition après un délai d'un mois qui ne devait pas devancer l'autre délai de 6 mois. Alors, j'ai entré les informations et je l'ai envoyé à la travailleuse sociale. Celle-ci m'a retourné ma requête par courriel avec quelques modifications dont je devais tenir compte. Une fois toutes les améliorations complétées, j'ai produit <span style="font-weight: bold;">5 originaux</span>, dont un premier que nous devions conservés et un 2e pour le Tribunal, lors du dépôt de la requête en adoption. Pour les trois autres originaux, je devais les poster à l'intervenante du Centre Jeunesse, dont un qu'elle déposerait dans notre dossier, un second qu'elle remettrait au Contentieux (avocats) et un dernier qu'elle retournerait estampillé par leur services à la Cour. Évidemment, nous ne devions pas signé les documents avant notre rendez-vous avec la greffière et laisser des espaces vides pour les dates des signatures et la date et l'heure de notre audition.<br /><br />Ensuite, j'ai contacté la <span style="font-weight: bold;">greffière</span> au <span style="font-weight: bold;">Palais de Justice</span> de notre district pour prendre un rendez-vous pour le dépôt de notre <span style="font-weight: bold;">requête en adoption</span>. Lors du rendez-vous, nous avons <span style="font-weight: bold;">signé</span> les <span style="font-weight: bold;">5 originaux</span> aux-endroits appropriés en déclarant solennellement que tous les faits allégué étaits vrais. Subséquemment, la greffière a signé les 5 originaux et a inscrit la date des signatures. De plus, elle nous informa de la date de l'audition et l'inscriva à l'emplacement prévu.<br />Finalement, nous avons laissé à la greffière un original pour qu'elle le remette au Tribunal, ainsi que les Rapports d'évolution qui n'avait pas été remis au Contentieux (avocats).<br /><br />Un mois plus tard, nous avons passé devant un <span style="font-weight: bold;">juge</span> au <span style="font-weight: bold;">Palais de Justice</span> de notre région, pour que celui-ci, nous prononce un <span style="font-weight: bold;">jugement d'adoption</span>. Durant l'audience, il y avait aussi l'avocat autorisé par le <span>Directeur de la protection de la jeunesse</span>, car la travailleuse sociale responsable à notre dossier avait un empêchement. Le juge regarda notre dossier et posa quelques questions à l'avocat pour s'assurer que tout était conforme. Aussi, le juge nous avisa qu'il regarderait tout notre dossier en détail dans son bureau et que par la suite, il émettrait un jugement prononçant l'adoption de notre fils par nous. L'audition fut assez vite, car nous avions passé plus tard que prévu et il y avait d'autres causes après nous. C'est pourquoi, nous n'avons pas demandé une prise de photo avec le Juge, qui est souvent fait par certains parents. De plus, nous trouvions qu'il y avait beaucoup de gens parmi l'audience et nous n'en sentions pas le besoin. Aussi, certains parents font une petite fête après le jugement, nous, nous préférions attendre la fin de toutes les démarches, soit l'obtention de la citoyenneté canadienne pour organiser une réception.<br /><br />Quelques semaines plus tard, nous recevions une confirmation de notre <span style="font-weight: bold;">Jugement d'adoption</span> (3 copies certifiées) de la greffière adjointe de la Cour du Québec, Chambre de la jeunesse. Pour finaliser les démarches avec notre <span style="font-weight: bold;">société</span>, je leur ai envoyé une <span style="font-weight: bold;">copie du Jugement d'adoption</span>. Paraillement, avec le <span style="font-weight: bold;">Secrétariat à l'adoption Internationale</span> pour compléter notre dossier d'adoption et procéder à sa fermeture. Aussi, dans son envoi, la greffière nous informa qu'il y avait un <span style="font-weight: bold;">délai d'appel de trente jours</span>. Dès que le jugement a été passé en force de chose, une copie de notre jugement a été transmis au <span style="font-weight: bold;">directeur de l'État civil</span>. Donc, par la suite, nous pouvions obtenir l'acte de naissance de notre enfant. Également dans l'envoi, il nous avait retourné les originaux des pièces nous concernant.<br /><br />Finalement, notre société nous a fourni les services de <span style="font-weight: bold;">traduction</span> moyennant des frais, car notre organisme doit certifier l'intégralité de la traduction et l'a envoyé aux autorités des Philippines. Puis, notre organisme, nous a envoyé, par la poste, une <span style="font-weight: bold;">copi</span><span style="font-weight: bold;">e</span> de la <span style="font-weight: bold;">traduction</span> avec la <span style="font-weight: bold;">facture</span>. Alors, nous leur avons envoyé un <span style="font-weight: bold;">chèque</span> avec notre numéro de dossier ainsi que le numéro de notre facture. Une fois le chèque passé, nous avons obtenu par la poste, notre <span style="font-weight: bold;">reçu</span> pour les frais de traduction du Jugement d'adoption.<br /></div>Karinehttp://www.blogger.com/profile/11641144327059348221noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6532280693194557013.post-90065738892250191612010-03-14T11:15:00.004-04:002010-03-14T14:20:40.135-04:0044- Recevoir la carte de résident permanent<div style="text-align: justify;"><br />Mon fils a reçu sa <span style="font-weight: bold;">carte de résident permanent</span> à son <span style="font-weight: bold;">nom philippin</span>, car les renseignements qui y étaient imprimés étaient les mêmes que ceux qui figuraient sur notre formulaire de confirmation de résidence permanente. Aussi, il nous conseillait de protéger sa carte en l'insérant dans l'enveloppe protectrice fourni dans l'envoi et il nous recommandait de conserver la page d'information comme aide-mémoire.<br /><br />Pour ce qui est de la <span style="font-weight: bold;">bande optique de la carte</span>, celle-ci contenait tous les renseignements qui figuraient sur notre formulaire de confirmation de résidence permanente, ainsi que les changements apportés à notre demande, le cas échéant. Une fois encodées sur la carte, les données ne pouvaient être modifiées. Alors, si les renseignements qui figuraient sur sa carte comportaient une <span style="font-weight: bold;">erreur</span> ou une <span style="font-weight: bold;">omission</span>, il fallait en informer le <span style="font-weight: bold;">Télécentre</span> et nous aurions obtenu une nouvelle carte. Cependant, il leur était impossible de produire une carte de résident permanent qui comportait un nom de famille de plus de 20 lettres ou un prénom de plus de 15 lettres. Telles sont les limites de la base de données de CIC. Donc, le prénom qui apparaîtssait sur sa carte de résident permanent a été automatiquement raccourci, car notre fils avait 2 prénoms philippin et en plus, le premier s'écrivait en deux mots. De plus, seules les personnes autorisées par <a style="font-weight: bold;" href="http://www.cic.gc.ca/">Citoyenneté et Immigration Canada</a> pouvaient avoir accès à l'information encodée sur sa carte, au moyen d'un lecteur de carte électronique et les autres n'avaient accès qu'aux renseignements qui y étaient imprimés. Aussi, si sa <span style="font-weight: bold;">carte</span> avait été <span style="font-weight: bold;">perdue ou volée au Canada</span>, nous en aurions informé le <span style="font-weight: bold;">Télécentre</span> et si elle avait été perdue ou volée à l'<span style="font-weight: bold;">extérieur du Canada</span>, nous en aurions informé le <span style="font-weight: bold;">bureau de CIC à l'étranger</span> le plus près.<br /><br />Pour les <span style="font-weight: bold;">voyages à l'étranger</span> avec notre fils, il aurait suffit de montrer sa <span style="font-weight: bold;">carte de résident permanent </span>pour pouvoir revenir au Canada à bord d'un véhicule d'un transporteur commercial (avion, train, autobus ou bateau). Aussi, il aurait fallu s'assurer que la carte n'était pas expirée (la date d'expiration apparaît au devant de la carte) et si la carte n'était plus valide, nous en aurions demandé une nouvelle avant de voyager. <span style=";font-family:";font-size:12pt;" ></span>Cependant, on ne nous conseillait pas de voyager aux État-Unis, tant et aussi longtemps, que nous n'avions pas en main son Certificat de naissance.<br /><br />Finalement, pour conserver son statut de résident permanent (carte valide pendant 5 ans), il devait se conformer aux dispositions de la <a style="font-weight: bold;" href="http://www.canlii.org/fr/ca/legis/lois/lc-2001-c-27/derniere/lc-2001-c-27.html">Loi sur l'immigration et la protection des réfugiés</a> et aux conditions qui sont imposées en vertu du règlement d'application.<br /><br /></div>Karinehttp://www.blogger.com/profile/11641144327059348221noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6532280693194557013.post-89227158079529316082010-02-05T10:13:00.007-05:002011-02-11T18:29:59.302-05:0043- Recevoir la visite de l'infirmière et les vaccins pour notre enfant<div style="TEXT-ALIGN: justify"><br />Nous avons reçu le <span style="FONT-WEIGHT: bold">téléphone</span> de l'<span style="FONT-WEIGHT: bold">infirmière du CLSC</span> de notre région, suite à la prescription envoyée par la pédiatre de notre enfant, pour le rendez-vous des vaccins ainsi que pour la prise de données. Deux semaines après son arrivée au pays, notre garçon a reçu ses premiers vaccins, pour être à jour, contre : <a href="http://www.cps.ca/soinsdenosenfants/immunisation/5Dans1.htm"><span style="FONT-WEIGHT: bold">DCat-Polio-Hib</span></a> (<span style="FONT-WEIGHT: bold">Diphtérie (D) </span>-<span style="FONT-WEIGHT: bold"> Coqueluche (Ca) </span>-<span style="FONT-WEIGHT: bold"> Tétanos (T)</span> - <span style="FONT-WEIGHT: bold">Poliomyélite (Polio) </span><span style="FONT-STYLE: italic">-</span><span style="FONT-WEIGHT: bold"><span style="FONT-STYLE: italic"> </span>Infections à Haemophilus influenzae de type b (Hib)</span>) qui a été son unique dose et qui est donné habituellement à 2,4,6 et 18 mois et <a href="http://www.cps.ca/soinsdenosenfants/immunisation/meningocoque.htm"><span style="FONT-WEIGHT: bold">Infections à Méningocoque</span></a> qui a été aussi son unique dose et qui est donné à 12 mois seulement. Par la suite, il a reçu <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Test_Mantoux"><span style="FONT-WEIGHT: bold">l'Épreuve diagnostique de Mantoux (PPD)</span></a> et il devait y avoir une lecture de résultat 2 jours plus tard. Le rendez-vous c'est déroulé en débutant avec la prise de données sur les informations de son développement et pendant ce temps, notre garçon jouait avec les jeux disponibles dans le local. Ensuite, les deux infirmières lui ont injecté les vaccins.<br /><br />Deux jours plus tard, nous sommes retournés pour la <span style="FONT-WEIGHT: bold">lecture du test</span> à <span style="FONT-WEIGHT: bold">l'Épreuve diagnostique de Mantoux (PPD)</span><span style="font-size:+0;">, c'est-à-dire mesur</span>er le diamètre de l'induration à l'aide d'une réglette et d'un stylo à bille, et il a reçu le vaccin contre les <a href="http://www.cps.ca/soinsdenosenfants/immunisation/pneumocoque.htm"><span style="FONT-WEIGHT: bold">Infections à Pneumocoque</span></a> qui a été sa seule dose et qui est donné à 2,4,6 et 12 à 15 mois.<br /><br />Finalement, il a reçu le vaccin contre le <a href="http://www.cps.ca/soinsdenosenfants/immunisation/RRO.htm"><span style="FONT-WEIGHT: bold">RRO</span></a> (<span style="FONT-WEIGHT: bold">Rougeole (R) </span>-<span style="FONT-WEIGHT: bold"> Rubéole (R) </span>- <span style="FONT-WEIGHT: bold">Oreillons</span>) avec la <a href="http://www.cps.ca/soinsdenosenfants/immunisation/VaccinVaricelle.htm"><span style="FONT-WEIGHT: bold">Varicelle</span></a>, 1 mois après ses premiers vaccins. Pour ce qui est du vaccin contre la Varicelle, ça été sa seule dose et il est habituellement donné à 12 mois. Mais, pour le vaccin RRO, il a reçu un rappel 2 mois plus tard et il est donné usuellement à 12 et 18 mois.<br /><br />Habituellement, l'<span style="FONT-WEIGHT: bold">infirmière</span> fait une <span style="FONT-WEIGHT: bold">visite systématique au domicile,</span> pour voir si tout va bien, dans les 15 jours qui suivent l'arrivée de notre enfant au Québec et le suivi subséquent sera déterminé en fonction de nos besoins. Le même principe que pour une mère qui vient d'accoucher. En tant que postulants à l'adoption, inscrits au Centre jeunesse de notre région, nous pouvons donc bénéficier d'un suivi en pré et post adoption en CLSC. Un formulaire d'autorisation «Déclaration au CLSC d'un projet d'adoption internationale» a été complété en 2007 et retourné dans l'enveloppe pré-adressée afin que le Centre jeunesse de notre région nous réfère au CLSC de notre territoire. Mais, dans notre cas, l'infirmière a rempli les informations du développement (prise de poids et de taille, bonne croissance du périmètre cranien et progression des acquisitions motrices et intellectuelles) et de l'adaptation de notre enfant (bonheur ou difficultés familiales), lors des rendez-vous des vaccins. De toute façon, nous ne le jugions pas nécessaire vu que notre enfant se développait et s'adaptait très normalement. </div>Karinehttp://www.blogger.com/profile/11641144327059348221noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6532280693194557013.post-69563982456656215032010-01-31T17:01:00.011-05:002010-04-24T22:13:28.981-04:0042- Obtenir la prestation provinciale pour enfant<div style="text-align: justify;"><br />La prestation provinciale pour enfant comprend :<br /><ul><li>Le paiement de Soutien aux enfants est une aide financière versée à toutes les familles admissibles ayant un en fant à charge de moins de 18 ans qui réside avec elles. Le crédit d'ipôt remboursable pour le Soutien aux enfants est versé par le gouvernement du Québec pour venir en aide aux familles.</li></ul><br />Tout d'abord, je suis allé sur le site Internet de la <a href="http://www.rrq.gouv.qc.ca/fr/services/services_en_ligne/soutien_aux_enfants/Pages/demande_paiement_sae.aspx"><span style="font-weight: bold;">Régie des rentes du Québec</span></a> pour faire une demande en ligne. Ensuite, j'ai imprimé la <span style="font-weight: bold;">feuille de retour</span> et j'ai envoyé, par la poste, avec la <span style="font-weight: bold;">copie conforme</span>, par le <a href="http://www.mess.gouv.qc.ca/services-en-ligne/centres-locaux-emploi/localisateur/regions.asp"><span style="font-weight: bold;">CLE </span></a>(Centre Local d'Emploi) de notre région, du <span style="font-weight: bold;">Visa d'immigrant</span> (grand formulaire à l'intérieur du passeport philippin de notre enfant).<span style="font-weight: bold;"> </span>J'étais au courant que le <span style="font-weight: bold;">délai de traitement était de 8 semaines</span> et que la prestation débutait dès <span style="font-weight: bold;">1 </span><span style="font-weight: bold;">mois après l'arrivée </span><span style="font-weight: bold;">de notre enfant au</span><span style="font-weight: bold;"> Québec</span>, car j'avais téléphoné avant notre voyage pour avoir de l'information. Aussi, j'ai reçu une confirmation de la demande par courriel.<br /><br />Deux mois après que j'ai fait ma demande électronique de paiement de Soutien aux enfants, j'ai reçu une <span style="font-weight: bold;">lettre de la Régie des rentes</span> m'informant que ma demande était toujours à l'étude. Ils m'avisèrent qu'ils avaient besoin d'un document, preuve de naissance de mon fils, pour qu'ils puissent traiter ma demande. Ce document devait contenir les nom, prénom et date de naissance de notre enfant et pouvait être : un certificat d'inscription de l'adoption, un jugement d'adoption, une ordonnance de placement ou une reconnaissance du jugement d'adoption. De plus, ils m'informèrent que les renseignements personnels demandés dans cet avis étaient nécessaires à l'étude de mon dosssier et que l'omission de les fournir pouvait entraîner un retard ou un rejet de traitement. Donc, s'il n'avait pas reçu le document d'ici la date inscrite dans la lettre, ils suspendraient l'étude de mon dossier. Évidemment, je fus estomaquée de recevoir cette lettre et j'ai immédiatement téléphoné à la <a href="http://www.rrq.gouv.qc.ca/fr/services/nous_joindre/Pages/telephone.aspx">Régie</a> pour avoir plus de détails, car dans les documents d'information de mon organisme, il n'était jamais question de ce document et de plus, j'avais déjà commencé à recevoir mes prestations fédérales, dont j'avais remis le même document. Lorsque j'ai téléphoné à la Régie, je leur ai exprimé ma surprise à la réception de la lettre et leur expliquai que l'obtention de notre ordonnance de placement se ferait seulement au début du mois suivant et que, par conséquent, je dépasserais la date indiquée dans la lettre. Puis, je me suis astinée avec la téléphoniste, sur le fait, que selon moi, il n'était pas nécessaire de donner le document demandé, car je leur avais déjà envoyé le Visa d'immigrant. Selon la téléphoniste, le Visa d'immigrant n'était pas une preuve d'adoption. Alors, je lui ai répondu que si nous sommes allés aux Philippines et que nous y avons ramené un enfant, c'était pour qu'il devienne notre enfant. Finalement voyant que la téléphoniste ne voulait rien comprendre, j'ai dû plier à leurs exigences supposées. Alors, la téléphoniste me proposa de leur envoyer notre ordonnance de placement, lorsque nous l'aurions et l'inscriva au dossier pour ne pas que je sois pénalisée. Cependant, quelques jours plus tard, j'ai eu un téléphone de la Régie m'informant que j'étais acceptée et que j'étais pour recevoir mes prestations sous peu avec l'arrièrage. Alors, soit que quelqu'un a écouté la conversation téléphonique que j'avais eu avec la téléphoniste ou soit qu'il y a un superviseur qui a regardé mon dossier, pour constater<span> q</span><span>ue<span style="font-weight: bold;">,</span> finalement, ma demande était bel et bien conforme.</span><span style="font-weight: bold;"><br /><br /></span><span>Donc, j'ai reçu <span style="font-weight: bold;">l'avis sur le crédit d'impôt remboursable pour le soutien aux enfants</span> de la <span style="font-weight: bold;">Régie des rentes</span> qui m'informait que j'avais droit au paiement de Soutien aux enfants pour mon fils à partir de décembre 2008. De plus, ils m'avisèrent de la somme qui m'était dûe et que celle-ci serait déposée sous peu dans mon compte, si ce n'était pas déjà fait.</span><span style="font-weight: bold;"> </span><span>Évidemment, je devais vérifier les <a href="http://www.rrq.gouv.qc.ca/fr/services/formulaires/soutien_aux_enfants/Pages/soutien_enfants.aspx">renseignements</a> dans la section <span style="font-weight: bold;">«Renseignements utilisés pour calculer votre paiement de Soutien aux enfants»</span></span><span style="font-weight: bold;">.</span><span> Si je constatais qu'ils n'étaient pas exacts, je devais communiquer avec eux. De plus, ils m'avertissèrent qu'ils verseraient le paiement de Soutien aux enfants par <span style="font-weight: bold;">dépôt direct</span> et que celui-ci serait versé le <span style="font-weight: bold;">premier jour ouvrable</span> de chaque <span style="font-weight: bold;">trimestre</span>.</span><span style="font-weight: bold;"><span style="font-weight: bold;"> </span></span><span>Aussi, je pouvais demandé à la </span>Régie<span> de <span style="font-weight: bold;">réviser une décision</span> communiquée dans cet avis. J'avais <span style="font-weight: bold;">3 mois</span>, soit jusqu'à la date inscrite dans la lettre, pour faire ma demande. Pour cela, j'avais qu'à remplir le formulaire de demande de révision offert sur leur</span> site<span>.</span><span> Je pouvais aussi leur écrire pour expliquer les raisons de ma demande de révision et leur faire parvenir, ainsi que tout document que je jugeais utile, au <a href="http://www.rrq.gouv.qc.ca/fr/programmes/soutien_enfants/Pages/recours_insatisfaction.aspx">Service de la révision de la Régie</a>.</span><span style="font-weight: bold;"><span style="font-weight: bold;"> </span></span><span>Par contre, si je contestais le revenu familial, je devais m'adresser à <a href="http://www.revenu.gouv.qc.ca/fr/nous_joindre/">Revenu Québec</a>.</span><span style="font-weight: bold;"> </span><span>D'ailleurs, si la <span style="font-weight: bold;">régie</span> n'avait pas rendu de <span style="font-weight: bold;">décision</span> dans les <span style="font-weight: bold;">90 jours </span>suivant la réception de ma demande de révision, ou dans les <span style="font-weight: bold;">180 jours</span> dans le cas où elle avait dû demander des renseignements additionnels, je pouvais m'adresser au <span style="font-weight: bold;">Tribunal administratif du Québec (TAQ)</span> pour contester la décision initiale, sans attendre la réponse à ma demande de révision.</span><span style="font-weight: bold;"><br /><br /></span><span>Puis, j'ai fait un changement de <span style="font-weight: bold;">fréquence</span> des</span><span style="font-weight: bold;"> versements </span><span>du</span><span style="font-weight: bold;"> <a href="http://www.rrq.gouv.qc.ca/fr/services/services_en_ligne/soutien_aux_enfants/Pages/changement_frequence_sae.aspx">Soutien aux enfants</a>, </span><span>avant la date limite</span><span style="font-weight: bold;">, </span><span>p</span><span>our que mon versement devienne </span><span style="font-weight: bold;">mensuel</span><span>, soit le </span><span style="font-weight: bold;">premier jour ouvrable </span><span>de chaque </span><span style="font-weight: bold;">mois. </span><span>Alors, j'ai cliqué sur <span style="font-weight: bold;">Démarrer le service</span> et j'ai entré les <span style="font-weight: bold;">renseignements sur mon identité </span>(client), j'ai indiqué mon <span style="font-weight: bold;">adresse</span>, j'ai choisi ma <span style="font-weight: bold;">nouvelle fréquence des versements</span>, je leur ai informé que je faisais une demande pour moi-même</span><span></span><span style="font-weight: bold;">, </span><span>j'ai signalé<span style="font-weight: bold;"> </span></span><span>mon </span><span style="font-weight: bold;">adresse de courriel</span><span> p</span><span>our le suivi de ma demande</span><span style="font-weight: bold;"> </span><span>et j'ai tramsmis ma demande</span><span> en acceptant la condition et en déclarant que les renseignements fournis dans la demande étaient exacts.</span><span style="font-weight: bold;"> </span><span>F</span><span>inalement, j'ai imprimé l'<span style="font-weight: bold;">accusé de réception</span> de ma demande, qui était un résumé de ma demande, et je l'ai conservé pour m'y référer au besoin. Aussi, cet accusé m'informait que la Régie avait reçu ma demande de changement de fréquence des versements du Soutien aux enfants avec une date et une heure précise. Aussi, il y était inscrit qu'une fois le traitement de ma demande terminé, la nouvelle fréquence des versements du Soutien aux enfants s'appliquerait à partir du prochain trimestre, soit avril 2009. Également, ils m'avisèrent qu'il était inutile de leur retourner l'accusé de réception, mais de le conserver pour m'y référer au besoin.<br /><br /><span style="font-size:100%;">Ensuite, </span></span><span style="font-size:100%;">j'ai reçu un</span><span style="font-weight: bold;font-size:100%;" > courriel </span><span style="font-size:100%;">des</span><span style="font-weight: bold;font-size:100%;" > Services en ligne </span><span style="font-size:100%;">de la</span><span style="font-weight: bold;font-size:100%;" > Régie des rentes du Québec </span><span style="font-size:100%;">pour </span><span style="font-size:100%;">m'avertir, qu'ils avaient traité ma demande de changement de fréquence des versements du Soutien aux enfants, que j'avais faite faite par Internet avec la date et </span><span style="font-size:100%;">l'heure et ils m'ont signalé qu'ils ne me posteraient </span>pas d'avis pour confirmer le traitement de la demande.<br /><br />Finalement, lorsque nous avons eu le <span style="font-weight: bold;">Certificat de naissance</span> de notre fils, j'ai pu procéder au <span style="font-weight: bold;">changement de nom</span> (nom québécois) de l'enfant à ma charge pour ma prestation de<span style="font-weight: bold;"> Soutien aux enfants</span><span><span style="font-weight: bold;"></span>. J'ai téléphoné à la régie des rentes pour leur en informer et l'agent m'a répondu de leur écrire une lettre qui divulguerait cette demande avec mes coordonnées et de leur envoyer une copie certifiée conforme (dans un CLE) du certificat de naissance de notre fils. </span><br /></div>Karinehttp://www.blogger.com/profile/11641144327059348221noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6532280693194557013.post-27772438408604058912010-01-26T09:34:00.015-05:002010-04-24T22:08:56.711-04:0041- Obtenir les prestations fédérales pour enfant<div style="text-align: justify;"><br />Les prestations fédérales pour enfants comprennent :<br /><ul><li>La<span style="font-weight: bold;"> Prestation fiscale canadienne pour enfants (PFCE) </span>est un paiement mensuel non imposable versé aux familles admissibles pour les aider à subvenir aux besoins de leurs enfants de moins de 18 ans.</li><li>La <span style="font-weight: bold;">Prestation universelle pour la garde d'enfants (PUGE)</span> est un versement mensuel imposable versé aux familles admissibles visant à apporter une aide financière directe à l'égard de leurs besoins en matière de garde d'enfants pour les enfants âgés de moins de six ans. Cette Prestation fournit un soutien direct à toutes les familles avec de jeunes enfants, pour les aider à payer les frais de garde d'enfants, peu importe le type de garde qu'elles ont choisi. Cet avantage financier s'inscrit dans le cadre du Plan universel pour la garde d'enfants du Canada, un plan qui appuie également la création de places en garderie dans les collectivités partout au Canada.<br /></li></ul>Tout d'abord, je suis allé sur le site Internet de l'<a href="http://www.cra-arc.gc.ca/F/pbg/tf/rc66/LISEZ-MOI.html"><span style="font-weight: bold;">Agence du Revenu du Canada</span></a> pour remplir un formulaire d'inscription pour tous les programmes de prestations fédérales pour enfant au <span style="font-weight: bold;">nom philippin </span>de notre enfant. Je devais déterminer où je devais envoyer notre formulaire, qui devait être rempli par le <span style="font-weight: bold;">parent féminin</span>. Une fois terminée, j'ai imprimé le formulaire et nous l'avons signé tous les deux (mon conjoint et moi). Avant d'envoyer le formulaire, j'ai joint la <span style="font-weight: bold;">photocopie certifiée conforme</span>, par un notaire, du <span style="font-weight: bold;">Visa d'immigrant</span> (grand formulaire à l'intérieur du passeport philippin de notre enfant). J'étais au courant que le <span style="font-weight: bold;">délai de traitement était de 4 semaines</span> et que les prestations débutaient dès le <span style="font-weight: bold;">mois d'arrivée de notre enfant au Québec</span>, car j'avais téléphoné avant notre voyage pour avoir de l'information.<br /><br />Ensuite, je suis allé sur le site Internet de l'<a style="font-weight: bold;" href="http://www.blogger.com/www.arc.gc.ca"></a><a href="http://www.cra-arc.gc.ca/esrvc-srvce/tx/ndvdls/myccnt/menu-fra.html"><span style="font-weight: bold;">Agence du Revenu du Canada (ARC)</span></a> pour m'inscrire aux services électroniques et pour obtenir le <span style="font-weight: bold;">Epass Canada</span>. J'ai suivi les étapes suivantes :<br /><ul><li>Cliquer sur <span style="font-weight: bold;">S'enregistrer</span></li><li>Parcourir la page de <span style="font-weight: bold;">Renseignements d'epass Canada</span> et cliquer sur <span style="font-weight: bold;">Continuer</span></li><li>Entrer les <span style="font-weight: bold;">informations</span> pour l<span style="font-weight: bold;">'inscription</span> et cliquer sur <span style="font-weight: bold;">Continuer</span></li><li>Suivre les instructions en direct pour choisir un <span style="font-weight: bold;">ID utilisateur</span> et un <span style="font-weight: bold;">mot de passe</span></li></ul>Après, j'ai attendu de recevoir, par la poste, le <span style="font-weight: bold;">code de sécurité de l'ARC</span> pour pouvoir consulter et gérer mon dossier. Une fois que j'ai reçu mon <span style="font-weight: bold;">code de sécurité de l'ARC</span>, j'ai vérifié la <span style="font-weight: bold;">date d'expiration</span> du code de sécurité pour m'assurer de terminer mon inscription avant que le code de sécurité expire. Ensuite, je suis allé sur le site Internet de l'<span style="font-weight: bold;">Agence du revenu du Canada (ARC)</span> et j'ai procédé aux étapes suivantes :<br /><ul><li>Cliquer sur <span style="font-weight: bold;">Mon dossier des particuliers</span>.</li><li>Cliquer sur <span style="font-weight: bold;">Ouvrir une session</span>.</li><li>Parcourir la page de <span style="font-weight: bold;">Renseignements </span>d'epass Canada et cliquer sur <span style="font-weight: bold;">Continuer</span>.</li><li>À la page <span style="font-weight: bold;">Ouvrir une session ou s'enregistrer </span>de epass Canada, entrer mon <span style="font-weight: bold;">ID utilisateur</span> et mon <span style="font-weight: bold;">mot de passe</span>, puis cliquer sur <span style="font-weight: bold;">Ouvrir une session</span>.</li><li>parcourir la page d'<span style="font-weight: bold;">Accueil</span> d'epass Canada et cliquer sur <span style="font-weight: bold;">Continuer</span>.</li><li>À la page d'entrée du code de sécurité de l'ARC, entrer mon <span style="font-weight: bold;">code de sécurité</span> et cliquer sur <span style="font-weight: bold;">Continuer</span>.</li><li>Suivre les instructions en direct.</li></ul>Par la suite, pour accéder à ce service en tout temps, je n'avais qu'à ouvrir une session avec mon ID utilisateur et mon mot de passe d'epass Canada. Il restera valide indéfiniment si je l'utilise au moins une fois par année. De plus, <span style="font-weight: bold;">Mon Dossier</span>, me permettait d'accéder à mes renseignements personnels d'impôt et de prestations, <span style="font-weight: bold;">7 jours</span> par semaine, <span style="font-weight: bold;">21 heures</span> par jour. Le service me permettait de : voir où sont rendus mes <span style="font-weight: bold;">versements de prestations</span> pour enfants et familles, modifier mon <span style="font-weight: bold;">adresse</span> ou <span style="font-weight: bold;">numéro de téléphone</span>, prendre des dispositions pour le <span style="font-weight: bold;">dépôt direc</span>t et beaucoup plus encore.<br /><br />Après, je me suis inscrite au <span style="font-weight: bold;">dépôt direct</span>, pour la Prestation universelle pour la garde d'enfants (PUGE) et la Prestation fiscale canadienne pour enfants, pour que mes paiements soit déposés dans mon compte à mon institution financière le jour même de la date d'émission. Pour cela, je suis allé sur le site Internet de l'<a href="http://www.cra-arc.gc.ca/esrvc-srvce/tx/ndvdls/myccnt/menu-fra.html"><span style="font-weight: bold;">Agence du revenu du Canada (ARC)</span></a> et j'ai procédé aux étapes suivantes :<br /><ul><li>Cliquer sur <span style="font-weight: bold;">Ouvrir une session</span>.</li><li>Parcourir la page de <span style="font-weight: bold;">Renseignements</span> d'epass Canada et cliquer sur <span style="font-weight: bold;">Continuer</span>.</li><li>Entrer le <span style="font-weight: bold;">ID utilisateur</span> et le <span style="font-weight: bold;">mot de passe</span>.</li><li>Cliquer sur <span style="font-weight: bold;">Ouvrir une Session</span>.</li><li>Parcourir la page d'<span style="font-weight: bold;">Accueil</span> d'epass Canada et cliquer sur <span style="font-weight: bold;">Continuer</span>.</li><li>Entrer le mot de passe une seconde fois et cliquer sur Continuer.<br /></li><li>Cliquer sur <span style="font-weight: bold;">Organiser mon dépôt direct</span>.</li><li>Cliquer sur <span style="font-weight: bold;">Commencer</span> dans la case <span style="font-weight: bold;">Prestation Universelle pour la Garde d'Enfants</span> et dans la case <span style="font-weight: bold;">Prestation Fiscale Canadienne pour enfants</span>.</li><li>Entrer les informations ou utiliser les renseignements sur le dépôt direct existant et cliquer sur <span style="font-weight: bold;">Continuer</span>.<br /></li></ul>Finalement, j'ai reçu les <span style="font-weight: bold;">premiers versements</span> de mes<span style="font-weight: bold;"> prestations fédérales pour enfants </span>(PFCE et PUGE) le <span style="font-weight: bold;">mois suivant</span> ma demande de prestations et les premiers versements comprenaient aussi le <span style="font-weight: bold;">mois crédité</span>. Ces prestations m'ont été versées vers le <span style="font-weight: bold;">20 de chaque mois</span>. Cependant, je devais prendre note que la <span style="font-weight: bold;">Prestation universelle pour la garde d'enfants</span> était <span style="font-weight: bold;">imposable</span> et devait être incluse dans ma déclaration d'impôt sur le revenu. Toutefois, si j'étais marié ou vivait en union de fait, le conjoint ayant le revenu net le moins élevé devait inclure la prestation dans sa déclaration d'impôt sur le revenu, indépendamment de la personne qui a reçu les versements.<br /><br />Pour ce qui est de l'<span style="font-weight: bold;">avis</span> de la <span style="font-weight: bold;">Prestation universelle pour la garde d'enfants</span>, je devais aviser <a href="http://www.cra-arc.gc.ca/bnfts/uccb-puge/cntct-fra.html"><span>l'Agence du revenu du Canada</span></a> si les renseignements avaient changé ou étaient inexact. Également, je devais aviser <a href="http://www.cra-arc.gc.ca/bnfts/cctb/cctb_cntct-fra.html">l'Agence du revenu du Canada</a> pour la <span style="font-weight: bold;">Prestation fiscale canadienne pour enfants</span>,<span style="font-weight: bold;"> </span>s'il y avait des renseignements a changé ou incorrects. De plus, si je n'étais pas d'accord avec ces avis, je pouvais y faire <span style="font-weight: bold;">opposition</span>. Je devais présenter mon opposition au plus tard à la plus éloignée des dates suivantes : <span style="font-weight: bold;">un an</span> après la date à laquelle je devais produire ma déclaration pour l'année indiqué sur cet avis ou dans les <span style="font-weight: bold;">90 jours</span> suivant la date du présent avis. Cependant, mon opposition à la Prestation universelle pour la garde d'enfants serait traitée comme une objection à la Prestation fiscale canadienne pour enfants en vertu de la <a href="http://lois.justice.gc.ca/fra/I-3.3/index.html">Loi de l'impôt sur le revenu</a>, car la Prestation universelle pour la garde d'enfants est établie selon mon admissibilité à la Prestation fiscale canadienne pour enfants.<br /><br />Aussi, j'ai dû refaire une <span style="font-weight: bold;">demande</span> de <span style="font-weight: bold;">dépôt direct</span> pour la <span style="font-weight: bold;">Prestation universelle pour la garde d'enfants</span>, car j'avais reçu un chèque. Par la suite, j'ai reçu un avis de dépôt direct pour mes versements de la Prestation universelle pour la garde d'enfants.<br /><br />Finalement, lorsque nous avons eu le <span style="font-weight: bold;">Certificat de naissance</span> de notre fils, j'ai pu procéder au <span style="font-weight: bold;">changement de nom</span> (nom québécois) de l'enfant à ma charge pour ma <span><span style="font-weight: bold;">Prestation fiscale canadienne pour enfants (PFCE)</span> et ma </span><span><span style="font-weight: bold;">Prestation universelle pour la garde d'enfants (PUGE)</span>. J'ai téléphoné à l'Agence du revenu du Canada (ARC) pour leur en informer et l'agent m'a répondu de leur écrire une lettre qui divulguerait cette demande avec mes coordonnées et de leur envoyer une copie certifiée conforme (par un notaire) du certificat de naissance de notre fils.<br /></span></div>Karinehttp://www.blogger.com/profile/11641144327059348221noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6532280693194557013.post-69409288409988019042010-01-17T21:39:00.009-05:002010-04-24T21:40:03.968-04:0040- Obtenir la carte d'assurance-maladie de notre enfant<div style="text-align: justify;"><br />J'ai téléphoné à la <a href="http://www.ramq.gouv.qc.ca/fr/citoyens/assurancemaladie/parents/enfant_adopte.shtml"><span style="font-weight: bold;">Régie de l'assurance-maladie du Québec</span></a> pour obtenir la c<span style="font-weight: bold;">arte d'assurance-maladie</span> de notre enfant à son nom philippin. Durant l'appel, j'avais les <span style="font-weight: bold;">documents d'identité</span> de mon <span style="font-weight: bold;">enfant</span> (le formulaire de <span style="font-weight: bold;">Confirmation de résidence permanente</span> broché dans son passeport philippin et le <span style="font-weight: bold;">Certificat de Sélection du Québec</span>) à la portée de ma main. L'agent m'a confirmé, que si notre enfant devait recevoir des soins médicaux avant que nous ayons obtenu sa carte, nous devions conserver tous nos reçus en nous assurant que le nom qui y est inscrit, soit son nom d'origine. Aussi, nous devions demander au médecin traitant de remplir un formulaire de remboursement des frais médicaux que nous complèterions une fois la carte d'assurance-maladie en main. Finalement, l'agent m'a dit d'attendre de recevoir, par la poste, la demande remplie par lui.<br /><br />Quand j'ai reçu le <span style="font-weight: bold;">formulaire d'inscription rempli par l'agent</span>, j'ai <span style="font-weight: bold;">vérifié</span> que les <span style="font-weight: bold;">informations</span> étaient exactes. Ensuite, j'ai <span style="font-weight: bold;">signé</span> le <span style="font-weight: bold;">formulaire</span> et j'ai joint le <span style="font-weight: bold;">passeport philippin </span>avec le<span style="font-weight: bold;"> Visa d'immigrant </span>(grand formulaire à l'intérieur du passeport)<span style="font-weight: bold;"> </span>et le <span style="font-weight: bold;">Certificat de sélection du Québec</span>. Puis, j'ai envoyé les documents à la Régie avec l'enveloppe de retour. Vu que j'ai envoyé par la poste des documents originaux, j'ai exigé une signature à la réception de l'envoi et j'ai vérifié le numéro de repérage.<br /><br />Avant de recevoir la carte d'assurance maladie de mon fils, j'ai reçu de la Régie de l'assurance maladie du Québec, mes <span style="font-weight: bold;">documents originaux</span> que je leur avais fait parvenir pour le réglement de mon dossier. Aussi, un document d'information était joint pour m'aviser qu'ils avaient bien reçu ma demande et qu'elle était en cours de traitement.<br /><br />Finalement, notre fils a reçu la <span style="font-weight: bold;">réponse</span> à ma demande d'<span style="font-weight: bold;">inscription au régime d'assurance maladie du Québec</span>. Son <span style="font-weight: bold;">admissibilité</span> au régime, à titre de personne qui réside au Québec, était à partir de la <span style="font-weight: bold;">date de notre retour en sol québécois</span>. La lettre l'avisa qu'il recevrait une carte d'assurance maladie valide bientôt et s'il changeait d'adresse d'ici là, je devais leur en aviser. De plus, si je n'étais pas d'accord avec la décision rendue, j'avais <span style="font-weight: bold;">six mois</span> pour demander la <span style="font-weight: bold;">révision </span>de son <span style="font-weight: bold;">dossier</span>. Pour obtenir le <span style="font-weight: bold;">formulaire</span> me permettant de faire cette demande, je pouvais leur <span style="font-weight: bold;">téléphoner</span> ou, encore, le commander sur leur <span style="font-weight: bold;">site Internet</span>, en cliquant sur <span style="font-weight: bold;">Formualires</span> dans la barre de menus.<br /><br />Lorsque j'ai reçu sa <span style="font-weight: bold;">carte d'assurance-maladie</span>, je pouvais l'utiliser. Pour changer la carte et l'inscrire à son nouveau nom (nom québécois), il fallait que j'attende que le jugement d'adoption soit passé et que je reçoive son Certificat de naissance.<br /><br />Une fois le <span style="font-weight: bold;">Certificat de naissance</span> de notre fils en main, j'ai téléphoné à la Régie de l'assurance maladie du Québec et je leur ai dit que je voulais changer la <span style="font-weight: bold;">carte d'assurance maladie</span> de mon fils, car il portait maintenant son <span style="font-weight: bold;">nom québécois</span>. L'agent m'a posé des questions et a rempli le formulaire. Puis, l'agent m'a dit d'attendre de recevoir, par la poste, la demande remplie par lui. Une fois celle-ci reçue, j'ai <span style="font-weight: bold;">vérifié</span> que les <span style="font-weight: bold;">informations</span> étaient exactes. Ensuite, j'ai <span style="font-weight: bold;">signé</span> le <span style="font-weight: bold;">formulaire</span> et j'ai joint le Certificat de naissance de notre fils. Puis, j'ai envoyé les documents à la Régie avec l'enveloppe de retour.<br /><br />Quelques jours avant la réception de la carte d'assurance maladie de notre fils, j'ai reçu de la Régie de l'assurance maladie du Québec, mon <span style="font-weight: bold;">document original</span> que je leur avais fait parvenir pour le réglement de mon dossier. Aussi, un document d'information était joint pour m'aviser qu'ils avaient bien reçu ma demande et qu'elle était en cours de traitement.<br /><br />Finalement, j'ai reçu sa nouvelle <span style="font-weight: bold;">carte d'assurance maladie</span> à son <span style="font-weight: bold;">nom québécois</span>. Pour sa carte d'assurance maladie à son nom philippin, j'ai décidé de la garder et de la mettre avec ses autres souvenirs.<br /></div>Karinehttp://www.blogger.com/profile/11641144327059348221noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6532280693194557013.post-83641713896973011552010-01-17T19:57:00.019-05:002010-03-12T16:20:13.278-05:0039- Obtenir les prestations d'assurance parentale<div style="text-align: justify;"><br />En premier-lieu, j'ai demandé la <span style="font-weight: bold;">lettre de confirmation d'adoption</span> à notre organisme agréé, qui est exigé par le régime québécois d'assurance parentale (RQAP). J'ai envoyé par courriel, à l'adresse inscrite dans la lettre d'information reçu de notre organisme, notre <span style="font-weight: bold;">numéro de dossier</span> avec la société, la <span style="font-weight: bold;">date</span> à laquelle notre enfant nous a été <span style="font-weight: bold;">confié</span> aux <span style="font-weight: bold;">Philippines</span> et la <span style="font-weight: bold;">date</span> d'arrivée de notre garçon en <span style="font-weight: bold;">sol québécois</span>.<br /><br />Ensuite, j'ai <span style="font-weight: bold;">téléphoné</span> à un agent du <a href="http://www.rqap.gouv.qc.ca/"><span style="font-weight: bold;">RQAP</span></a> pour remplir une demande de prestations d'assurance parentale au nom philippin de notre enfant. Le nombre total de semaines de prestations d'adoption pouvait être pris par mon conjoint ou moi. Par ailleurs, ces semaines pouvaient être prises simultanément ou successivement par nous. Avant d'être en contact avec l'agent, j'avais rassemblé les renseignements suivants :<br /><ul><li>Les <span style="font-weight: bold;">numéros d'assurance sociale</span> de mon conjoint et moi.- Nos <span style="font-weight: bold;">dates de naissance</span>.</li><li>La <span style="font-weight: bold;">date d'arrivée</span> de notre <span style="font-weight: bold;">enfant</span> au <span style="font-weight: bold;">pays</span>.</li><li>La <span style="font-weight: bold;">date</span> de l'<span style="font-weight: bold;">arrivée</span> de notre <span style="font-weight: bold;">garçon</span> auprès de nous en vue de son <span style="font-weight: bold;">adoption</span>. C'est la date où notre enfant nous a été confié physiquement.</li><li>L'information relative à notre institution financière et à notre compte bancaire, pour bénéficier du <span style="font-weight: bold;">dépôt direct</span> de mes prestations.</li><li>La <span style="font-weight: bold;">date</span> de mon <span style="font-weight: bold;">dernier jour travaillé</span> (parent recevant les prestations)</li><li>Le <span style="font-weight: bold;">montant</span> de mon <span style="font-weight: bold;">salaire hebdomadaire brut</span> (parent recevant les prestations). Si j'avais un<span style="font-weight: bold;"> salaire régulier</span> au cours des <span style="font-weight: bold;">26 semaines</span> précédant la date de début des prestations.</li><li>Le <span style="font-weight: bold;">nombre</span> de <span style="font-weight: bold;">relevés d'emploi</span> que j'ai eu (parent recevant les prestations) pour les <span style="font-weight: bold;">52 semaines</span> précédant la date de début des prestations. Si j'avais un <span style="font-weight: bold;">salaire irrégulier</span> au cours des <span style="font-weight: bold;">26 semaines</span> précédant la date de début des prestations.</li><li>Les <span style="font-weight: bold;">dates</span> des <span style="font-weight: bold;">semaines civiles </span>(du dimanche au samedi) durant lesquelles je n'ai <span style="font-weight: bold;">ni travaillé ni été rémunéré</span> alors que j'avais un emploi (parent recevant les prestations).<br /></li></ul>Aussi, lors de ma conversation téléphonique, j'ai spécifié le <a href="http://www.rqap.gouv.qc.ca/includes/tableaux/tab_synthese_prestations.html"><span style="font-weight: bold;">régime</span></a> de prestations et l'agent m'a dit d'attendre de recevoir, par la poste, la demande remplie par lui.<br /><br />Pour ma part, j'avais choisi que mes <span style="font-weight: bold;">prestations</span> commencent dès notre <span style="font-weight: bold;">arrivée aux Philippines </span>et le <span style="font-weight: bold;">régime de base</span>; soit <span style="font-weight: bold;">12 semaines à 70 % </span>de mon revenu et <span style="font-weight: bold;">25 semaines à 55 %</span> de mon revenu pour un total de seulement<span style="font-weight: bold;"> 37 semaines</span>. Je trouve discriminatoire de ne pas avoir pu profiter des 50 semaines qu'une mère qui a donné naissance a le droit et de plus, mon conjoint n'avait pas droit aux 5 semaines de prestation de paternité. Nous avions, nous aussi, une nouvelle dynamique de famille, qui différente mais pas moins éprouvantes. J'ai eu besoin de mon conjoint pendant 5 semaines, qu'il a pris à ses frais (vacances non prises de l'année précédente et vacances de l'année en cours. Donc l'été suivant, nous avions que 3 jours de congé). Nous vivions un décalage horaire et notre enfant devait s'adapter (il ne faisait pas ses nuits même s'il avait 2 ans). J'étais épuisé à cause du décalalge horaire, parce que je ne dormais pas beaucoup et du fait que je vivais du stress à l'adaptation de notre enfant, ce que mon conjoint a aussi ressenti. À deux parents, nous pouvions nous relayer dans les tâches de parent et le sommeil. Je suis convaincu, que si mon conjoint n'avait pas pris la décision de demeurer 5 semaines avec moi, notre garçon ne se serait pas adapté si vite. Au bout d'un mois, il faisait ses nuits et semblait être à l'aise dans son milieu familial. Aussi, nous avons réussi à récupérer et à être rapidement en forme le jour et donc patient à l'aider à s'adapter. Il y a des regroupements qui sont dans le domaine de l'adoption qui font des pressions au gouvernement, mais le gouvernement semble ne pas vouloir les écouter. Dès que je suis au courant, qu'il y a des gens qui se mobilisent, il est évident que je vais les appuyer. Mon souhait est que tous les parents (adoptifs et biologiques) bénéficient des mêmes droits.<br /><br />Ensuite, nous avons reçu, par la poste de notre organisme agréé, une <span style="font-weight: bold;">lettre</span> qui confirme que nous avons effectué une <span style="font-weight: bold;">démarche d'adoption internationale</span> auprès de ceux-ci. Cette lettre était destinée au Régime québécois d'assurance parentale et contenait :<br /><ul><li>La <span style="font-weight: bold;">date</span> de la <span style="font-weight: bold;">proposition de l'enfant</span> et l'acceptation de celle-ci.</li><li>La <span style="font-weight: bold;">date</span> à laquelle l'enfant nous a été confié pour fins d'<span style="font-weight: bold;">adoption</span>.</li><li>Le <span style="font-weight: bold;">nom philippin</span> et la <span style="font-weight: bold;">date de naissance</span> de l'<span style="font-weight: bold;">enfant</span>.</li><li>La <span style="font-weight: bold;">date d'arrivée</span> du pays d'origine.</li><li>Le nom du <span style="font-weight: bold;">pays d'origine</span>.</li></ul>Puis, j'ai reçu la <span style="font-weight: bold;">demande</span> de <span style="font-weight: bold;">prestations</span> d'<span style="font-weight: bold;">assurance parentale</span> du Ministère de l'Emploi et de la Solidarité sociale du Québec. J'ai <span style="font-weight: bold;">vérifié</span> le formulaire que l'agent avait rempli pour moi, car s'il y avait des renseignements inexacts ou incomplets, je devais apporter les corrections nécessaires et apposer mes initiales aux endroits où j'aurais apporté des corrections. Ensuite, j'ai <span style="font-weight: bold;">signé </span>et<span style="font-weight: bold;"> daté</span> le formulaire. De plus, si j'avais eu des <span style="font-weight: bold;">revenus d'emploi</span> au cours des <span style="font-weight: bold;">52 semaines précédant la demande de prestations</span> (parent recevant les prestations), je devais joindre à mon formulaire mon ou mes relevés d'emploi. Si je ne pouvais les fournir tout de suite, je devais faire quand même parvenir mon formulaire pour éviter de retarder l'étude de mon dossier, obtenir de mon ou mes employeurs ces relevés d'emploi et leur faire parvenir au plus tard quatre semaines après la date de réception du formulaire. Par contre, si au cours de la dernière année, javais déjà fourni ces relevés d'emploi pour déposer une demande d'assurance-emploi, le Ministère de l'Emploi et de la Solidarité sociale se chargerait d'obtenir les renseignements nécesssaires. Après, j'ai joint au formulaire la <span style="font-weight: bold;">lettre</span> de notre <span style="font-weight: bold;">organisme agréé</span>, qui confirme que nous avons effectué une démarche d'adoption internationale auprès de leur société. Finalement, j'ai retourné le tout dès réception, car ils considèrent la date de réception du formulaire signé comme date de dépôt de notre demande. D'autre part, si je demandais que des prestations me soient versés pour une date antérieure à la date de dépôt de ma demande, je devais savoir qu'il ne peuve m'accorder plus de trois semaines de prestations antérieures à la date de réception du formulaire au Centre de service à la clientèle. Alors, je pouvais perdre des semaines de prestations si je tardais à leur retourner mon formulaire signé. De plus, le délai de traitement était de 2 semaines environ et les prestations débutaient dès le mois d'arrivée de l'enfant au Québec.<br /><br />Subséquemment, je suis allé sur le site Internet, avec <span style="font-weight: bold;">Internet Explorer</span> ou <span style="font-weight: bold;">Netscape</span>, du <a href="http://www.rqap.gouv.qc.ca/services_en_ligne/obtenir_identifiant.asp"><span style="font-weight: bold;">régime québécois d'assurance parentale (RQAP)</span></a> pour obtenir mon <span style="font-weight: bold;">identifiant clicsécur</span>, c'est-à-dire un code d'utilisateur et un mot de passe, et ainsi accéder à mon dossier en ligne. Cet identifiant unique me permettait d'accéder en toute sécurité à l'ensemble des services en ligne des ministères et des organismes participants du gouvernement du Québec. Ensuite, j'ai procédé aux étapes suivantes :<br /><ul><li>Cliquer sur <span style="font-weight: bold;">Obtenir mon identifiant</span>.</li><li>Cliquer sur <span style="font-weight: bold;">Je suis un nouvel utilisateur</span>.</li><li>Cliquer sur <span style="font-weight: bold;">Je débute maintenent</span>.</li><li>Cliquer sur <span style="font-weight: bold;">Continuer </span>et suivre les<span style="font-weight: bold;"> 5 étapes</span>.</li><li>Étape 1 : <span style="font-weight: bold;">Vérification de votre identité</span>. Après avoir entré les informations, Revenu Québec communiquera les renseignements suivants à ClicSÉQUR : Nom de famille, Prénom, Date de naissance et Numéro d'assurance sociale.<br /></li></ul><ol><li><span style="font-weight: bold;">Numéro d'assurance-sociale</span> à 9 chiffres.<br /></li><li><span style="font-weight: bold;">Code d'accès</span> à 6 chiffres fourni avec le formulaire ETI-601.</li><li><span style="font-weight: bold;">Numéro de cotisation</span> de la dernière déclaration de revenus à Revenu Québec.</li></ol><ul><li>Étape 2 : <span style="font-weight: bold;">Choix de votre identifiant et de vos options de sécurité</span>.</li></ul><ol><li>Choisir une <span style="font-weight: bold;">image personnelle</span>.</li><li>Choisir une <span style="font-weight: bold;">Phrase personnelle</span>.</li><li>Choisir des <span style="font-weight: bold;">Questions de sécurité</span>.</li><li>Choisir un <span style="font-weight: bold;">Code d'utilisateur</span>.</li><li>Choisir un <span style="font-weight: bold;">Mot de passe</span>.</li></ol><ul><li>Étape 3 : <span style="font-weight: bold;">Acceptation des conditions d'utilisation</span>.</li><li>Étape 4 : <span style="font-weight: bold;">Confirmation de votre enregistrement à ClicSÉQUR</span>. Ils m'ont donné un numéro de confirmation.</li><li>Étape 5 : <span style="font-weight: bold;">Inscription aux services</span>.</li></ul>Avant de recevoir la réponse à ma demande de prestations d'assurance parentale, j'ai reçu d'Emploi et Solidarité sociale du Québec mes <span style="font-weight: bold;">documents originaux</span> que j'avais fourni au Régime québécois d'assurance parentale (RQAP). Aussi, un document d'information était joint pour aviser qu'une <span style="font-weight: bold;">copie a été jointe à mon dossier</span> et qu'<span style="font-weight: bold;">un agent pourra en poursuivre l'étude</span>. De plus, il y avait apposé une étampe de date pour informer la <span style="font-weight: bold;">date d'expédition des documents</span>.<br /><br />Finalement, j'ai reçu la <span style="font-weight: bold;">réponse</span> à ma demande de prestations d'assurance parentale. Dans cet envoi, il y avait une <span style="font-weight: bold;">lettre de bienvenue</span> du ministre de l'Emploi et de la Solodarité sociale, une <span style="font-weight: bold;">lettre d'acceptation</span> de ma demande de prestations au Régime québécois d'assurance parentale, l'<span style="font-weight: bold;">état de calcul</span> de mes prestations d'assurance parentale hebdomadaire brute, selon le régime choisi et une <span style="font-weight: bold;">lettre</span> m'informant que je pouvais utiliser le <span style="font-weight: bold;">système de réponse vocale interactive</span> du Régime québécois d'assurance parentale.<br /><br />Pour ce qui est de l'état de calcul de mes prestations, s'il y avait un <span style="font-weight: bold;">changement</span> à ma <span style="font-weight: bold;">situtation</span>, je devais en informer sans délai le Ministère et s'il y avait une modification à ma situation, ils réévalueraient mon dossier et, s'il ya lieu, ils modifieraient le montant de mes prestations. Dans ce cas, je recevrais un nouvel avis de décision et un état de calcul qui m'informerait sur le versement de mes prestations. Également, j'avais le droit de demander une <span style="font-weight: bold;">révision</span> de la <span style="font-weight: bold;">décision rendue</span>. Pour ce faire, j'avais <span style="font-weight: bold;">90 jours</span> suivant la date de réception de mon avis. Je pouvais obtenir le <span style="font-weight: bold;">formulaire</span> de <span style="font-weight: bold;">demande de révision</span> par téléphone ou dans le site Web du Régime québécois d'assurance parentale.<br /><br />En ce qui concerne le système de réponse vocale interactive, il permet d'obtenir des <span style="font-weight: bold;">renseignements</span> sur notre dossier ou de faire certaines <span style="font-weight: bold;">modifications </span>à notre <span style="font-weight: bold;">dossier</span>. Pour ce faire, le Régime québécois d'assurance parentale m'a donné un <span style="font-weight: bold;">code d'identification</span> et un <span style="font-weight: bold;">mot de passe</span> temporaire. Si j'accédais au système de réponse vocale interactive, je devais utiliser le mot de passe temporaire qu'il m'avait attribué. Par la suite, je n'avais qu'à suivre les instructions du système de réponse vocale interactive pour crééer mon nouveau mot de passe. De plus, s'il m'arrivait d'oublier mon code d'identification ou mon mot de passe, je n'avais qu'à communiquer avec le Centre de service à la clientèle du Régime québécois d'assurance parentale par téléphone.<br /><br />Donc, j'ai reçu mes <span style="font-weight: bold;">prestations d'assurance parentale</span> aux <span style="font-weight: bold;">2 semaines</span> et elles ont débutées dès que ma demande a été acceptée. Le <span style="font-weight: bold;">premier versement</span> comprenait aussi le <span style="font-weight: bold;">rétroactif</span>.<br /></div>Karinehttp://www.blogger.com/profile/11641144327059348221noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6532280693194557013.post-50952063391488356672010-01-17T19:50:00.034-05:002010-07-11T12:34:17.419-04:0038- Obtenir les rapports-progrès<div style="text-align: justify;"><br />Tout d'abord, j'ai <span style="font-weight: bold;">téléphoné</span> au <span style="font-weight: bold;">travailleur social</span> responsable de notre dossier au <span style="font-weight: bold;">Centre jeunesse</span> de notre région, afin d'entamer le processus d'obtention du <span style="font-weight: bold;">premier rapport-progrès</span> et pour débuter les procédures pour l'obtention du <span style="font-weight: bold;">jugement d'adoption</span>.<br /><br />Ensuite, j'ai reçu la <span style="font-weight: bold;">lettre</span> du <span style="font-weight: bold;">Centre jeunesse</span> de notre région pour qu'un <span style="font-weight: bold;">professionnel</span> du Centre jeunesse effectue un <span style="font-weight: bold;">rapport-progrès</span> à la suite de notre adoption, car nous devons fournir aux autorités des Philippines, par le biais de notre organisme, trois rapports-progrès réalisé par le Directeur de la protection de la jeunesse. Ces rapport-progrès décrivent les réactions émotives de l'enfant face à son adoption, son état de santé, la qualité du processus d'adaptation et d'attachement avec ses nouveaux parents ainsi qu'avec le reste de sa famille, les attitudes parentales face aux petites et aux grandes difficultés de la vie, ainsi que les moyens pris pour y remédier. Aussi, les visites à domicile, nécessaire pour évaluer et pour rédiger le document, peuve aussi être une occasion d'écoute, de normalisation, de soutien, de conseils et parfois d'aide.<br /><br />Également, nous devions faire <span style="font-weight: bold;">3 chèques</span> post-datés à l'ordre du Centre jeunesse de notre région et la facturation comprenait les activités suivantes : l'<span style="font-weight: bold;">entrevue clinique</span>, la <span style="font-weight: bold;">production du rapport-progrès</span>, les <span style="font-weight: bold;">déplacements</span> et les <span style="font-weight: bold;">frais postaux</span>.<br /><br />Habituellement, la personne désignée communique avec nous pour prendre <span>rendez-vous</span><span style="font-weight: bold;">, </span>dès la réception du paiement, pour que le <span style="font-weight: bold;">rapport</span> soit prêt pour le <span style="font-weight: bold;">2e mois </span>aprè notre arrivée au pays. Cependant, pour notre premier rapport-progrès, il n'y avait personne de disponible et c'est la travailleuse sociale responsable de notre dossier qui l'a réalisé lors de notre rencontre d'information pour l'obtention du jugement d'adoption. Pour les 2 autres rapports, c'est moi qui ai contacté l'intervenante mandatée par le Centre Jeunesse, qui devait se faire pour le <span style="font-weight: bold;">2e rapport</span> à <span style="font-weight: bold;">4 mois</span> après notre arrivée et le <span style="font-weight: bold;">3e rapport</span> à <span style="font-weight: bold;">6 mois</span> après notre arrivée. À chaque fois, l'intervenante a averti son supérieur, qui a contacté la travailleuse sociale responsable aux rapports d'intégration, qui nous a, par la suite, contactés. Ces rapports progrès étaient essentiels à la finalisation de notre adoption et ont été envoyés aux autorités des Philippines. L'objectif légal d'un rapport-progrès est de s'assurer que l'enfant s'intègre normalement dans sa nouvelle famille. Il faut pouvoir assurer le juge autant que les autorités du pays d'origine que l'enfant a désormais toutes les conditions nécessaires pour assurer son bonheur, sa santé ainsi que le développement de son potentiel.<br /><br />Après, notre Centre jeunesse nous a fait parvenir deux exemplaires de notre<span> rapport d'intégration, dont une</span> copie du rapport devait être expédier à notre <span style="font-weight: bold;">organisme agréé</span> avec au moins <span style="font-weight: bold;">quatre photos</span> de notre fils avec nous. D'ailleurs, le <span style="font-weight: bold;">rapport</span> devait être <span style="font-weight: bold;">signé</span> par le <span style="font-weight: bold;">professionnel</span> qui a fait l'évaluation et devait être <span style="font-weight: bold;">entériné</span> par la personne désignée par le <span style="font-weight: bold;">Directeur de la protection de la jeunesse</span> de notre Centre jeunesse.<br /><br />Pour le <span style="font-weight: bold;">1er rapport-progrès</span>, celui-ci divulguait l'<span style="font-weight: bold;">intégration</span> de notre <span style="font-weight: bold;">enfant</span>, son <span style="font-weight: bold;">alimentation</span> et son <span style="font-weight: bold;">sommeil</span>, son <span style="font-weight: bold;">développement psychomoteur</span> et une conclusion sur notre <span style="font-weight: bold;">rôle parental</span>. Avant d'envoyer la copie à notre organisme, j'ai dû contacter la travailleuse sociale pour qu'elle refasse la première page du rapport, car j'ai constaté qu'il y avait une erreur dans le rapport d'intégration, soit la date de naissance de notre fils. Après, un <span style="font-weight: bold;">reçu</span> a été émis, par notre <span style="font-weight: bold;">Centre jeunesse</span>, une fois le chèque passé, pour le paiement des frais encourus concernant notre dossier d'adoption internationale.<br /><br />Pour le <span style="font-weight: bold;">2e et 3e rapport-progrès</span>, ceux-ci révélaient l'<span style="font-weight: bold;">intégration</span> de notre <span style="font-weight: bold;">enfant</span> depuis son arrivée, son <span style="font-weight: bold;">développement</span> (<span style="font-weight: bold;">alimentation, sommeil, croissance</span>) et une conclusion sur notre <span style="font-weight: bold;">rôle parental</span>, ainsi que l'annonce du jugement de placement en famille d'adoption, qui avait été prononcé avant la rencontre du 2e rapport d'intégration.<br /><br />Par la suite, notre société nous a fourni les services de <span style="font-weight: bold;">traduction</span> moyennant des frais, car notre organisme doit certifier l'intégralité de la traduction et l'a envoyé avec notre montage-photo aux autorités des Philippines. Puis, notre organisme, nous a envoyé, par la poste, une <span style="font-weight: bold;">copi</span><span style="font-weight: bold;">e</span> de la <span style="font-weight: bold;">traduction</span> avec la <span style="font-weight: bold;">facture</span>. Alors, nous leur avons envoyé un <span style="font-weight: bold;">chèque</span> avec notre numéro de dossier ainsi que le numéro de notre facture. Une fois le chèque passé, nous avons obtenu par la poste, notre <span style="font-weight: bold;">reçu</span> pour les frais de traduction.<br /><br />Finalement, Formons Une Famille nous a envoyé par la poste le document <span style="font-weight: bold;">«Consent to Adoption»</span> émis par l'Inter Country Adoption Board (ICAB) des Philippines. L'ICAB émet ce document après la réception des <span style="font-weight: bold;">trois rapports progrès</span> soumis à leur bureau suite à notre retour des Philippines avec notre enfant. Aussi, notre société nous a informé, dans cet envoi, que nous devions leur faire parvenir par la poste une copie de notre jugement d'adoption qu'ils feraient traduire et suivre aux Philippines. Par la suite, l'ICAB procéderait à la fermeture de notre dossier.<br /></div>Karinehttp://www.blogger.com/profile/11641144327059348221noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6532280693194557013.post-75595255064809428242010-01-17T18:10:00.012-05:002010-04-24T19:10:10.962-04:0037- Recevoir de l'information de notre organisme agréé pour les démarches suivant le retour de notre voyage<div style="text-align: justify;"><br />Tout d'abord, à notre retour, <span>j'ai</span><span style="font-weight: bold;"> téléphoné </span><span>à notre</span><span style="font-weight: bold;"> parent accompagnateur</span> pour l'informer du déroulement de notre voyage. Nous pouvions contacter notre personne ressource jusqu'à la finalisation complète des démarches, soit sa citoyenneté canadienne.<br /><br />Ensuite, notre organisme a transmis les documents relatifs à la décision du pays d'origine de nous confier notre enfant et un formulaire d'avis d'arrivée de notre garçon au <span style="font-weight: bold;">Secrétariat à l'Adoption Internationale (SAI)</span>.<br /><br />Par la suite, notre organisme agréé nous a envoyé des <span style="font-weight: bold;">lettres d'information</span>. En premier-lieu, il y avait une lettre de félicitations. Ensuite, un rappel de fournir aux autorités philippines, par le biais de notre organisme, trois rapports progrès à la suite de notre adoption. Cette lettre nous donnait les démarches pour l'obtention de ceux-ci. Finalement, un avis de confirmation d'adoption exigé par le régime québécois d'assurance parentale (RQAP).<br /><br />Puis, le <span style="font-weight: bold;">Secrétariat à l'adoption internationale </span><span>nous a transmis,</span><span style="font-weight: bold;"> </span><span>suite</span> à la réception des documents fournis par notre organisme et après avoir été analysé, <span>une lettre indiquant les démarches que nous devions entreprendre ainsi qu'un document, destiné à la Cour du Québec, </span>attestant de la connaissance et du suivi effectué par ceux-ci dans nos démarches d'adoption. J'ai transmis l'<span style="font-weight: bold;">original</span> de cette<span style="font-weight: bold;"> lettre</span> au <span style="font-weight: bold;">service secrétarial-contentieux de notre Centre jeunesse</span>, qui devait la joindre à la requête en adoption, qui devait être déposée à la Cour du Québec.<br /></div>Karinehttp://www.blogger.com/profile/11641144327059348221noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6532280693194557013.post-4282621124408074172010-01-17T14:13:00.014-05:002011-02-11T17:50:00.201-05:0036- Aller à la première évaluation médicale de notre enfant chez le Pédiatre spécialisé en adoption internationale<div style="TEXT-ALIGN: justify"><br />Le lundi 1er décembre, soit 2 jours après notre arrivée au Canada, nous sommes allés à la Clinique pédiatrique de notre région. Ce service permet à l'enfant de bénéficier d'une première évaluation médicale adaptée et pour les parents de recevoir toute l'information et le soutien nécessaires pour répondre adéquatement aux besoins de l'enfant. J'avais pris un <span style="FONT-WEIGHT: bold">rendez-vous</span> lorsque j'ai su notre date d'arrivée et j'ai pris un rendez-vous le plus proche de cette date, qui devait idéalement être dans les deux semaines suivant notre arrivée. La téléphoniste m'avait averti d'arriver une demi-heure à l'avance pour faire sa carte d'hôpital et faire des photocopies de documents. </div><div style="TEXT-ALIGN: justify"><br />Une fois arrivés à la <span style="FONT-WEIGHT: bold">Clinique pédiatrique</span>, nous sommes allés à la réception de l'hôpital pour faire l'inscription et faire sa <span style="FONT-WEIGHT: bold">carte d'hôpital</span> à son nom philippin. Vu que nous n'avions pas encore fait de demande pour une carte d'assurance-maladie, j'ai remis ma <span style="FONT-WEIGHT: bold">carte d'assurance-maladie</span> (carte de la mère). Ensuite, nous nous sommes dirigés à la réception de la clinique et avons remis les <span style="FONT-WEIGHT: bold">documents</span> ayant rapport avec son état de santé (<span style="FONT-WEIGHT: bold">Social case study report</span>; rapport remis lors de la proposition, <span style="FONT-WEIGHT: bold">Health and medical profile</span>; profil médical et de santé remis lors de la proposition, <span style="FONT-WEIGHT: bold">Adoption Examination report</span>; rapport médical fait avant d'avoir notre date de départ) pour que l'infirmière en fasse des photocopies. Ensuite, l'infirmière a mesuré la <span style="FONT-WEIGHT: bold">taille</span><span style="font-size:+0;"> et</span> le<span style="FONT-WEIGHT: bold"> périmètre cranien</span> et pris le <span style="FONT-WEIGHT: bold">poids</span> de notre enfant.<br /><br />Après, nous avons attendu dans la salle d'attente que la <span style="FONT-WEIGHT: bold">pédiatre</span> nous reçoive. La pédiatre l'a examiné et nous a posé des questions sur notre enfant. Nous avons pu répondre du mieux que l'on pouvait, car nous étions ensemble depuis seulement une semaine. La pédiatre nous a suggéré d'arrêter immédiatement le lait maternisé et de lui donner du lait de vache 3,25 % vu qu'il avait 26 mois. Aussi, nous lui avons demandé si nous devions continuer de donner les vitamines donnés par la famille d'accueil. La pédiatre nous réponda que si nous lui donnions les 4 groupes alimentaires, il n'était pas nécessaire de lui donner des vitamines. Elle l'examina en général et nous disa qu'il semblait en bonne santé, car ses courbes de croissance de et de poids étaient normales ainsi que ses signes vitaux. Elle nous prescriva des <span style="FONT-WEIGHT: bold">échantillons de selles</span> à remettre au C.L.S.C. près de notre domicile, vu que la Clinique pédiatrique était loin de notre domicile (Nous aurions dû partir avec la prescription, car le C.L.S.C nous l'a demandé. Par contre, ils ont quand même pris les échantillons de selles). Elle nous remis des contenants pour récolter les selles et nous avertissa que nous aurions un téléphone dès réception des résultats. Ce qui a été fait et nous informa qu'il n'y avait rien d'anormal. Aussi, elle nous prescriva une <span style="FONT-WEIGHT: bold">schédule de vaccinnation</span> qu'elle remettrerait au C.L.S.C. près de notre domicile et nous avertissa que nous étions pour avoir un téléphone de l'infirmière responsable de la vaccination des enfants. De plus, elle nous fit une prescription pour une <span style="FONT-WEIGHT: bold">prise de sang</span> que nous pouvions aller prendre dans l'hôpital immédiatement après le rendez-vous. Avant de partir, nous avons pris un autre rendez-vous avec la préposée à l'accueil pour le mois suivant. Le rendez-vous avait pour buts de donner tous les résultats et d'y apporter de la médication si nécessaire, de vérifier les courbes de croissance et de discuter de l'évolution général de notre enfant et d'y faire des améliorations si utile.<br /><br />Par la suite, nous nous sommes dirigés pour la <span style="FONT-WEIGHT: bold">prise de sang</span> de notre garçon. En attendant, le rendez-vous pour la prise de sang, nous sommes allés dîner à la cafétéria de l'hôpital avant de nous diriger vers la Pédiatrie de l'hôpital. Lorsqu'il a été le temps de la prise de sang, les infirmières ont remplis les tubes nécessaires et nous ont averti que nous pouvions prendre un toutou dans la salle d'attente pour le donner à notre fils. Aussi, elle nous ont donné un <span style="FONT-WEIGHT: bold">papier buvoir</span> pour y déposer de l'<span style="FONT-WEIGHT: bold">urine</span> et nous ont expliqué comment faire le test et l'envoyer par la poste. C'est le même test exigé par le gouvernement aux nouveaux nourrissons.<br /><br />Au <span style="FONT-WEIGHT: bold">deuxième rendez-vous</span> chez le pédiatre, le lundi 12 janvier, nous avons appris que tous les résultats étaient normaux et donc, il n'avait aucun problème de santé et son adaptation se déroulait très normalement et rapide. Son seul inconfort est qu'il a une peau très sensible et qu'il est affecté par les milieux secs. On doit lui mettre de la crème sur le corps et plusieurs fois par jour pour ses joues qui deviennent rouges et irritées. Nous devons lui mettre un humidificateur lorsqu'il a le rhume, car il a tendance à saigner du nez et tousser durant la nuit. Aussi, la pédiatre ne s'est pas contenté des résultats médicaux, elle nous a également observé, mon conjoint et moi ainsi, que notre fils et a constaté que notre garçon essayait de nous manipuler en pleurant durant l'examen. Ça m'a sécurisée, car ça ma confirmée ce que je supposais.<br /><br />Vu que la santé de notre garçon était correct, nous avons décidé de le faire voir par mon <span style="FONT-WEIGHT: bold">médecin de famille</span>. Alors, nous avons vu le pédiatre spécialisé en adoption internationale une dernière fois, 6 mois après le deuxième rendez-vous. La pédiatre a conclu qu'il était en bonne santé et que si le médecin de famille de notre garçon suspectait un problème quelconque, il avait juste à le référer à elle (pédiatre). Lors, de nos visites chez la médecin de famille, celle-ci nous a appris que notre garçon avait une tache mongolique sur les fesses (région lombo-sacrée). Elle me sorti un de ses livres et m'expliqua que c'est une tâche de taille variable, de couleur gris-bleu qui apparaît notamment chez les nourrissons à peau sombre (asiatiques) à la naissance ou plus tard et disparaît dans le courant de l'enfance. Moi aussi, je l'avais constaté en changeant ses couches, mais je croyais que c'était un bleu (bobo).<br /></div>Karinehttp://www.blogger.com/profile/11641144327059348221noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6532280693194557013.post-84126025485678291962009-10-17T21:05:00.034-04:002010-07-03T21:15:17.393-04:0035- Partir pour le Canada<div align="justify"></div><div align="justify"> </div><div align="justify"><br />Une fois levé, le <span style="font-weight: bold;">samedi matin 29 novembre</span>, mon beau-père appela à la réception de l'hôtel pour qu'il prépare notre facture et demanda un valet pour qu'il nous apporte un chariot pour nos bagages. Nous avions <span style="font-weight: bold;">rendez-vous</span> avec le chauffeur de la famille d'accueil vers <span style="font-weight: bold;">5h00</span>, car nous voulions être à l'<span style="font-weight: bold;">aéroport</span> pour <span style="font-weight: bold;">6h10</span> soit <span style="font-weight: bold;">3 heures avant</span> le départ de notre avion et nous voulions ne pas être en retard à cause du trafic de Manille. Aussi, la dame de la famille d'accueil ne voulait pas que notre garçon prenne un taxi.<br /><br /></div><div align="justify"></div><div align="justify"></div><div align="justify"> </div><div align="justify">Une fois arrivé à l'<a href="http://www.manila-airport.net/">aéroport international de Manille</a> dans le <span style="font-weight: bold;">Terminal 1</span>, nous avons dû passer par le <span style="font-weight: bold;">premier point de vérification</span>. Le préposé s'assurait que nous avions un passeport et un billet valide avant que nous puissions entrer par la porte. Ensuite, nous avons passé au <span style="font-weight: bold;">deuxième point de vérification</span>, qui à cette étape, consiste à entrer dans le terminal. Nous avons été tenus de passer, nous-même, tous nos bagages et nos effets par radiographie. Aussi, nous devions passer du bon côté le détecteur de métal, soit les femmes et les enfants d'un côté et les hommes de l'autre et enlever nos souliers. Par la suite, ils nous ont touché un peu partout pour s'assurer que nous avions rien d'illégal sur nous. Mon conjoint a eu une fouille plus sévère, il a dû enlever ses bas et ils étaient deux à vérifier qu'il n'avait rien d'illégal sur lui. J'ai trouvé cela impressionnant, mais je comprenais que la sécurité est très importante pour eux, vu qu'aux Philippines, ils ont un gros problème de criminalité. Une fois à l'intérieur, nous devions trouver le <span style="font-weight: bold;">comptoir de notre compagnie aérienne</span> pour enregistrer nos bagages en soute et prendre nos cartes d'embarquement. Une fois que nous les avons trouvé, nous leur avons montrer nos passeports pour qu'ils nous donnent nos billets en échange. Ils ont pris nos bagages, sauf pour nos bagages que nous voulions garder à bord de l'avion et ils nous ont donné nos cartes d'embarquement. Mon beau-père n'a pu garder sa couronne de Noël avec lui dans l'avion, même s'il leur disait qu'il avait peur de la faire abîmer dans la soute à baggage, car selon eux, il y avait des composantes interdites (led). Ensuite, nous avons passé dans le <span style="font-weight: bold;">département des taxes d'aéroport</span> pour payer la Taxe de départ. Dans ce lieu, nous devions payer 750 pesos pour chaque adulte et enfant de plus de 2 ans. Ils nous ont donné un autre billet à garder avec nos cartes d'embarquement, ce qui confirmait que nous avions payé la taxe de départ. Après, nous devions remplir nos cartes de départ et se mettre dans la longue ligne d'attente pour les douanes et attendre notre tour. Finalement, lorsque nous sommes arrivés à l'<span style="font-weight: bold;">agent d'immigration</span>, nous devions avoir en main les <span style="font-weight: bold;">cartes de départ remplis</span>, nos <span style="font-weight: bold;">passeports</span>, le <span style="font-weight: bold;">passeport philippin</span> de notre garçon avec le <span style="font-weight: bold;">sceau Philippin</span> présent à l'intérieur (CFO) et le <span style="font-weight: bold;">Visa d'immigrant</span> émis par l'Ambassade du Canada à Manille collé dans son passeport, l'original du <span style="font-weight: bold;">Travel Clearance for a Minor</span> que le douanier a gardé. Tout c'est très bien déroulé, aucune question supplémentaire. Ensuite, nous pouvions se rendre à la salle d'embarquement. Une préposée de l'aéroport nous a accosté pour nous offrir un déjeûner à 10$ US. Nous avons accepté et l'avons suivi jusqu'au <span style="font-weight: bold;">salon</span> réservé à ce <span style="font-weight: bold;">repas</span>. Elle nous a indiqué quels aliments étaient compris dans ce buffet (fruits, pains, muffins, bagels, jus, lait, café). Nous avons mangé et notre fils s'est endormi sur mon conjoint dans le canapé du salon. Finalement, nous nous sommes rendus dans la <span style="font-weight: bold;">salle d'embarquement</span> et avons attendu l'appel pour l'embarquement. J'ai trouvé difficile que mon fils ne voulait pas me prendre la main et j'étais obligé d'aller le changer de couches contre so gré, car les tables à langer sont seulement dans les salles de bain des femmes. Il voulait être avec son père ou mon beau-père et j'ai commencé à paniquer, car je croyais que l'attachement envers mois serait très difficile, vu qu'il me rejettait. Lorsqu'ils ont appelé la classe affaires, nous nous sommes préparés avec nos passeports et nos boarding pass, car nous savions que nous serions les prochains à embarquer dans le <a href="http://www.jal.co.jp/en/aircraft/conf/744.html"><span style="font-weight: bold;">Boeing 747</span></a> de<span style="font-weight: bold;"> </span><a href="http://www.jal.com/en/"><strong><span style="font-weight: bold;">Japan Airlines</span></strong></a>, vu que nous avions un enfant.<br /><br />Pour le vol <strong>Manille</strong><span style="font-weight: bold;">-Tokyo Narita</span>, nous avions les 4 sièges dans la même rangée et donc notre fils était assis entre nous deux. Les hôtesses de l'air ont pu constater rapidement que notre fils n'était pas chaud à l'idée de rester assis et surtout de s'attacher. Il y a une hôtesse de l'air qui a voulu calmer notre fils en lui donnant un toutou en forme de l'avion Japan Airlines et nous a dit que nous étions pas obligé de l'attacher tout de suite. Le toutou a plus ou moins fonctionné et nous voulions l'attaché tout de suite pour lui faire comprendre, le plus rapidement possible, qu'il y avait une règle à suivre. Une fois bien assis dans nos sièges, vers <span style="font-weight: bold;">9h10</span>, dans la <a href="http://www.jal.co.jp/en/inflight/inter/economy/y_seat/"><span style="font-weight: bold;">classe économique</span></a> et bien attaché, nous étions près pour le décollage de notre vol<strong></strong>. Lorsque nous avons monté en altitude, j'ai encore senti mes oreilles se boucher et j'ai dû encore bailler pour les aider à se déboucher. Pour mon fils, nous ne savons pas trop s'il pleurait pour ses oreilles ou s'il pleurait car il était attaché. En effet, le décollage et surtout l'atterrissage font mal aux oreilles des bébés. Les grands transporteurs sont pressurisés, mais il existe tout de même un petit jeu de pression entre la haute altitude et le sol (la pression dans la cabine est équivalente à celle qui existe à environ 2 500m d'altitude). Cette différence de pression, nous l'harmonisons comme adulte en avalant ou en baillant, c'est-à-dire en envoyant de l'air dans nos oreilles, ce qu'est incapable de faire un jeune enfant. Alors, nous avons laissé pleuré notre garçon, cela lui permettait d'équilibrer un peu son mal, si tel était le cas. Après avoir atteint notre altitude de croisière, les consignes de ceinture de sécurité ce sont éteintes, nous avons pu baisser notre tablette et notre siège et nous avons pu avoir accès à notre <a style="font-weight: bold;" href="http://www.jal.co.jp/en/inflight/inter/economy/y_enter/">écran individuel avec commande intégrée au siège</a> avec les écouteurs fournis. La <strong>durée de notre vol</strong> était <strong>d'environ 4h00</strong>, mais lors du décollage, le pilote de l'avion annonça au micro (anglais, japonnais et Tagalog) la température actuelle à Manille et Tokyo et l'estimation de la durée du vol avec les vents ressentis. Alors, pour passer le temps, j'ai encore visionné des films, des émissions de télévision et j'ai écouté de la musique. Nous avons mis un film pour enfant à notre fils sans les écouteurs qui a été efficace pendant quelques temps. Il nous a fait des crises tout au long du voyage et nous l'avons détaché à quelques reprises. Ça été notre premier test officiel en tant que parent. Nous l'avons échoué, mais en se disant que nous y arriverions avec de la persévérence. Il a cassé les oreilles des passagers, mais les passagers étaient compréhensifs ainsi que les hôtesses de l'air avec leur courtoisie et leur sourire présent à tout moment. Nous n'avons pas eu de commentaires négatifs, au contraire, ils nous souhaitaient bonne chance. Lorsque j'étais tanné de regarder mon écran individuel avec commande intégrée au siège, j'ai essayé de <span style="font-weight: bold;">dormir</span> avec l'oreiller et la couverture fourni dans l'avion. J'ai encore eu de la difficulté à me trouver une position dans mon siège pour dormir. Par contre, mon fils a réussi à dormir à quelques reprises entre ses crises. De plus, j'ai eu des <span style="font-weight: bold;">crampes</span> qui me faisaient me rendre fréquemment au toilette. Alors, j'ai dû prendre des pilules anti-diarrhée, que j'avais apporté dans mon bagage de cabine, ce qui m'a permis de me sentir mieux jusqu'à l'arrivée à l'aéroport de Montréal. Lors de notre vol, nous avons aussi ressenti un peu de turbulence, mais rien d'énervant. Pour le <a href="http://www.jal.co.jp/en/inflight/inter/economy/y_meal/"><span style="font-weight: bold;">repas compris</span></a>, ils ont servi : riz, légumes, choix de viande, salade, breuvage et vin, dessert. Notre fils a seulement mangé le riz et le dessert. Pour ce qui est du breuvage de notre garçon, nous avions préparé des bouteilles de lait maternisé (des bouteilles avec de l'eau et j'avais un contenant à compartiment où j'avais déjà calculé la quantité de lait maternisé dont il me restait qu'à verser dans le biberon rempli d'eau) et des bouteilles de jus . Par contre, il ne voulait boire son breuvage que dans un gobelet pour enfant que nous avions acheté au Canada. En ce qui concerne les <span style="font-weight: bold;">changements de couche</span>, je demandais à mon chum de m'aider. Je prenais mon garçon dans mes bras et mon chum transportait le sac à couche. Je rentrais dans la minuscule salle de bain de l'avion et mon chum me donnait l'essentiel pour changer de couche notre garçon et il m'attendait à l'extérieur avec le sac à couche. Évidemment, vu que c'était moi qui faisait le changement de couche, il me fit une crise. J'ai essayé de le calmer du mieux que je pouvais et une fois sorti et dans les bras de son papa, ça se replaçait jusqu'à ce qu'on le réattache. Aussi, vers la fin de notre vol, les hôtesses de l'air offraient un <span style="font-weight: bold;">formulaire pour l'immigration</span>. Nous n'en avons pas pris, car nous faisions seulement une escale à Tokyo. Finalement, lorsqu'il a été le temps d<span>'</span><span style="font-weight: bold;">atterrir </span>à<span style="font-weight: bold;"> Tokyo</span>, les consignes de ceinture de sécurité ce sont allumées, nous avons dû redresser notre tablette et notre siège et nos écrans individuels avec commande intégrée au siège n'étaient plus disponibles. J'ai encore senti que mes oreilles bouchaient et mon fils pleurait encore sans que nous sachions la cause de ses pleurs (douleur aux oreilles ou obstinage contre notre autorité). Le pilote de l'avion nous a informé (anglais, tagalog et japonnais) de la température actuelle à Tokyo Narita et de l'heure locale. Nous sommes <strong>arrivés samedi vers 14h10</strong> (heure locale de Tokyo), donc mon beau-père a avancé sa montre de 1 heure. Une fois atterri, nous nous sommes détachés, nous avons pris nos bagages de cabine dans le compartiment à bagages en haut de nos sièges et sommes sorti de l'avion.<br /><br />Une fois à l<a style="font-weight: bold;" href="http://www.narita-airport.jp/en/">'aéroport de Narita à Toky0</a> dans le Terminal 1, nous avons dû passer le <span style="font-weight: bold;">point de sécurité</span>. Ensuite, nous avons pris un <span style="font-weight: bold;">tramway</span> pour se diriger dans le terminal 2 et sommes allés chercher nos cartes d'embarquement pour notre vol Tokyo Narita-Vancouver au comptoir de notre compagnie aérienne (Air Canada). Vu que nous nous souvenions du lieu, ça été plus rapide. Nous avons encore remarqué la courtoisie et le sourire très présent des employées japonaises. Nous avons donné à la préposée tout nos passeports ainsi que nos billets électroniques et elle ne nous a pas posé de questions supplémentaires. Lorsque nous nous premenions dans le Terminal, je remarquai que mon fils me rejettait la main lorsque je la lui offrais et se dirigeait plutôt vers mon beau-père et mon conjoint. Je fis la remarque à mon beau-père et je lui ai dit que je préfèrerais qu'il refuse, car je croyais que ça nuirait à l'attachement de mon fils envers moi-même. Mon beau-père m'affirma que, selon lui, ça n'aurait aucune incidence et il me rappela encore ce que la dame de la famille d'accueil nous avait dit, soit qu'il était plus à l'aise avec les hommes. Une fois sorti du Terminal 2, nous avons pris un <a style="font-weight: bold;" href="http://www.narita-airport.jp/en/access/terminal/index.html">autobus (navette)</a> gratuit pour se rendre au Terminal 1. Durant ce trajet, je n'ai pas pu retenir mes larmes et j'ai craqué. Le décalge horaire et le stress de la semaine n'ayant pas aidé. J'ai essayé que mon fils ne me voit pas pleuré et mon conjoint ainsi que mon beau-père ont essayé de m'aider à dédramatiser les choses. Une fois mon stress évacué, j'ai essayé de voir les choses différemment et me concentrer sur le bien-être de mon fils sans rien espérer sur son lien d'attachement. Une fois arrivée au <span style="font-weight: bold;">Terminal 1</span>, nous avons dû repasser dans un autre <span style="font-weight: bold;">point de sécurité</span>. Vu que nous avions un total de <span style="font-weight: bold;">3h10 à attendre dans l'aéroport</span>, nous avons pu <span style="font-weight: bold;">relaxer</span>. Par contre, il a fallu rapidement trouvé de l'ibuprofène, que j'avais oublié de garder dans nos bagages de cabine, car j'avais un énorme mal de tête dû au stress des dernières heures. Une fois que mon ibuprofène a fait effet, enfin je crois que c'était cela car c'était écrit en japonais sur la boîte, j'ai été beaucoup mieux. Aussi, une chance que nous avions gardé un ballon dans nos bagages de cabine, car nous avons pu occuper notre fils. Nous lui avons, aussi, acheté une collation, ainsi que pour nous. Aussi, j'ai encore trouvé difficile d'aller changer la couche de mon fils contre so gré, car les tables à langer sont seulement dans les salles de bain des femmes. Il a évidemment refait une crise, mais je lui disais que je comprennais qu'il préfèrerait son père, mais que c'était moi et qu'il n'avait pas le choix. Aussi, je lui expliquai que j'étais sa maman et que moi aussi, je l'aimais et j'étais gentille. Finalement, une heure avant l'<span style="font-weight: bold;">heure de départ (17h20)</span>, nous nous sommes dirigés vers la <span style="font-weight: bold;">porte d'embarquement</span> inscrite sur nos boarding pass et nous avons attendu dans la salle. L'embarquement dans le <a href="http://www.aircanada.com/fr/about/fleet/77W.html"><strong>Boeing 777</strong></a><strong> d'Air Canada</strong>, c'est fait de la même façon qu'à Manille, soit après la classe affaire vu que nous avions un enfant et avec en main nos passeports et nos boarding pass.<br /><br />Pour le vol <strong>Tokyo Narita-Vancouver</strong>, nous n'avions pas les 4 sièges dans la même rangée ainsi que pour le vol Vancouver-Montréal. Alors, mon conjoint et moi sommes mis d'accord que pour ce vol, ce serait lui qui serait assis à côté de notre fils et pour l'autre vol ce serait moi. Une fois bien assis dans nos sièges , mon conjoint assis avec notre fils et mon beau-père et moi assis dans la rangée arrière, dans la <a href="http://www.aircanada.com/fr/travelinfo/onboard/comfort_intecono.html">classe économique</a> et bien attaché, nous étions près pour le décollage de notre vol <strong></strong> et encore cette fois-ci les passagers ont été compréhensifs face à notre fils et nous ont souhaité bonne chance. Lorsque nous avons monté en altitude, j'ai encore senti mes oreilles se boucher et j'ai dû encore bailler pour les aider à se déboucher. Après avoir atteint notre altitude de croisière, les consignes de ceinture de sécurité ce sont éteintes, nous avons pu baisser notre tablette et notre siège et nous avons pu avoir accès à notre <a href="http://www.aircanada.com/fr/travelinfo/onboard/entertainment/index.html">écran individuel à commande tactile</a> avec les écouteurs gratuits et que nous pouvions conserver. La <strong>durée de notre vol</strong> était <strong>d'environ 8h30</strong>, mais lors du décollage, le pilote de l'avion annonça au micro (anglais et japonnais) la température actuelle à Vancouver et Tokyo et l'estimation de la durée du vol avec les vents ressentis. Alors, pour passer le temps, j'ai encore visionné des films, des émissions de télévision et j'ai écouté de la musique. Lorsque j'étais tanné de regarder mon écran individuel à commande tactile, j'ai essayé de <span style="font-weight: bold;">dormir</span> avec l'oreiller et la couverture fourni dans l'avion. J'ai été capable de dormir un peu, car je savais que mon conjoint s'occupait de mon fils et j'étais vraiment épuisé. Notre fils a d'ailleurs dormi sur mon conjoint entre ses crises et lorsqu'il se réveillait, mon conjoint lui mettait un film mais sans les écouteurs. Lors de notre vol, nous avons aussi ressenti un peu de turbulence, mais rien d'énervant. Pour les <a href="http://www.aircanada.com/fr/travelinfo/onboard/dining/intl/hospitality/index.html">2 repas compris</a>, ils ont servi le premier repas (riz, patates, choix de viande, salade, breuvage et vin, dessert) dans les 3 premières heures de vol et le deuxième repas (riz, patates, choix de viande, salade, breuvage et vin, dessert) dans les 2 dernières heures. Notre fils a mangé le riz, les patates et le dessert. Pour ce qui est du breuvage de notre garçon, nous lui avons donné du lait maternisé et du jus dans son gobelet. Pour les <span style="font-weight: bold;">changements de couche</span>, nous avons utilisé la même technique que lors de notre vol Manille-Tokyo Narita. Pour les <span style="font-weight: bold;">crises de notre fils</span>, j'ai laissé mon conjoint les gérer, car c'est lui qui était à côté de notre garçon. Il a eu de la difficulté à les gérer et à quelques reprises l'a détaché pour le prendre sur lui. Ce qui n'a pas aidé, car notre fils savait qu'en pleurant il arriverait à ses fins. Mais je n'en voulais pas à mon conjoint, car j'aurais fait la même chose. Aussi, vers la fin de notre vol, les hôtesses de l'air offraient un <span style="font-weight: bold;">formulaire pour l'immigration</span>. Nous en avons pris, car nous rentions pour la première fois au Canada. Mon beau-père nous a conseillé d'inscrire 250$ au montant d'achat, même si c'était moins, pour éviter, le plus possible, de se faire fouiller inutilement. Finalement, lorsqu'il a été le temps d'<span style="font-weight: bold;">atterrir</span> à <span style="font-weight: bold;">Vancouver</span>, les consignes de ceinture de sécurité ce sont allumées, nous avons dû redresser notre tablette et notre siège et nos écrans individuels à commande tactile n'étaient plus disponibles. J'ai encore senti que mes oreilles bouchaient. Le pilote de l'avion nous a informé (anglais et japonnais) de la température actuelle à Vancouver et de l'heure locale. Nous sommes <strong>arrivés samedi vers 8h50</strong> (heure locale de Vancouver), donc mon beau-père a reculé sa montre de 17 heures. Une fois atterri, nous nous sommes détachés, nous avons pris nos bagages de cabine dans le compartiment à bagages en haut de nos sièges et sommes sorti de l'avion et mon garçon n'avait pas de manteau, mais il y avait peu de courant d'air frais.<br /><br />Une fois à <a style="font-weight: bold;" href="http://www.yvr.ca/fr/default.aspx">l'aéroport de Vancouver</a>, nous nous sommes dirigés vers les <span style="font-weight: bold;">douanes</span>. Les douaniers ont regardé nos <span style="font-weight: bold;">formulaires d'immigration</span>, nos <span style="font-weight: bold;">passeports</span> et ont procédé à la routine habituel pour l'<span style="font-weight: bold;">inspection</span> des bagages en cabine ainsi que sur nous. De plus, un douanier nous a informé de nous rendre immédiatement au bureau d'immigration, ce que nous savions déjà. Ensuite, nous avons récupéré nos <span style="font-weight: bold;">bagages </span>sur le carroussel correspondant à notre vol, puisque nous devons passer au douane à cet aéroport (contrairement à l'aller où nos bagages se rendent directement à la ville de destination). Une fois nos bagages réclamés, nous sommes allés au <span style="font-weight: bold;">bureau d'immigration du Canada</span> en nous présentant et avons attendu que quelques minutes avant d'être appelés. Le préposé nous a demandé des documents, tels le <span style="font-weight: bold;">passeport philippin avec le visa d'entrée</span>, le <span style="font-weight: bold;">Travel Authority</span>, le <span style="font-weight: bold;">Formulaire d'Engagement</span> (copie jaune) et le <span style="font-weight: bold;">Certificat de Sélection</span> de notre enfant reçus du Ministère de l'Immigration et des Communautés culturelles du Québec (MICC) et le <span style="font-weight: bold;">formulaire de Confirmation de résidence permanente</span> reçu lors de notre visite à l'ICAB. Le préposé a rempli le formulaire de Confirmation de Résidence permanente et mon conjoint a signé aux endroits appropriés. Après le préposé, l'a agrafé dans le passeport philippin de notre enfant. Le processus officiel d'octroi de la résidence permanente a été assez court, car il ne nous a pas posé de questions supplémentaires et nous n'avons pas eu à présenter des documents supplémentaires. Puis, le préposé a donné des documents d'information sur le Canada destinés aux immigrants et a dit «Welcome to Canada» a notre fils. J'ai l'impression, que de dire bienvenue au Canada, est une démarche officielle pour tous les immigrants. J'avais un petit sourire en coin, car je savais que ça ne servait à rien de le dire à mon fils, vu qu'il n'avait pas la conscience qu'il entrait dans un nouveau pays. Après être retourné au bureau d'immigration, car nous nous sommes rendus compte que nous avions oublié des documents, nous nous sommes dirigés vers un <span style="font-weight: bold;">commis de notre compagnie aérienne (Air Canada)</span> pour obtenir nos cartes d'embarquement pour notre vol <span style="font-weight: bold;">Vancouver-Montréal</span> et nos étiquettes à bagages en soute. Nous avons donné au préposé tout nos passeports ainsi que nos billets électroniques et il ne nous a pas posé de questions supplémentaires. Après nous nous sommes dirigés vers un <span style="font-weight: bold;">commis de notre compagnie aérienne au dépôt à bagages</span> pour lui remettre nos bagages à mettre en soute et pour qu'il complète les <a href="http://www.aircanada.com/fr/travelinfo/airport/baggage/checked.html">formalités requises</a>. Ensuite, nous nous sommes dirigés vers les <span style="font-weight: bold;">points de contrôle de sécurité</span> avec nos passeports en main. Nous avons déposé nos manteaux, notre monnaie, nos ceintures et nos bagages de cabine dans un bac et les liquides et crèmes transportés dans nos bagages de cabine dans un sac de plastique transparent pour être scanné et pour vérifier que nous n'avions rien d'interdit à transporter dans l'avion. Cette fois-ci, j'avais laissé les liquides et les crèmes dans nos bagages en soute. Finalement, après que les douaniers aient vérifiés nos bacs, nos passeports et que nous ayons passer à travers le détecteur de métal, nous avons pu reprendre nos choses et se diriger vers notre porte d'embarquement inscrite sur notre carte d'accès à bord (boarding pass). Aussi, mon fils a encore chigné, lorsqu'il a été le temps de changer sa couche, car les tables à langer sont seulement dans les salles de bain des femmes. Je lui ai encore dit que je l'aimais et je lui ai expliqué que je l'avais changé de couche les autres fois et qu'il a revu son papa à chaque fois et qu'il n' y avait aucune raison de pleurer. Une fois toutes les démarches finis, nous nous sommes dirigés vers la <span style="font-weight: bold;">porte d'embarquement</span> inscrite sur nos boarding pass et nous avons pu relaxer un peu dans la salle, car nous avions une <span style="font-weight: bold;">escale de 2 heures</span>. L'embarquement dans l'<a style="font-weight: bold;" href="http://www.aircanada.com/fr/about/fleet/a320-200xm.html"><strong>Air</strong></a><strong><a style="font-weight: bold;" href="http://www.aircanada.com/fr/about/fleet/a320-200xm.html">bus 320</a> d'Air Canada</strong> vers <span style="font-weight: bold;">10h20</span>, c'est fait de la même façon qu'à nos 2 autres embarquements, soit après la classe affaire vu que nous avions un enfant et avec en main nos passeports et nos boarding pass.<br /><br />Pour le vol <span style="font-weight: bold;">Vancouver-Montréal</span>, nous n'avions pas les 4 sièges dans la même rangée comme pour le vol Tokyo Narita-Vancouver. Alors, il était convenu dans le vol précédent que ce soit moi qui s'assirait à côté de notre fils et que mon conjoint s'assirait à l'arrière de nous avec son père. Mais, le passager qui était à côté de mon fils et moi a surpris notre conversation et a compris que nous étions de la même famille et à suggérer de changer de place avec mon conjoint. Nous avons accepté et l'avons remercié et il nous a souhaité bonne chance. Donc, nous étions assis de chaque côté de notre fils et avons convenu que nous détacherions notre garçon seulement pour aller le changer de couche. Nous étions décider à tenir notre bout, malgré les crises qu'il nous ferait. Mon beau-père a dit à mon conjoint, que lors du vol Tokyo Narita-Vancouver, il n'aurait pas détaché notre fils même s'il faisait une crise. Il nous expliqua que notre fils comprenait, suite au relachement de mon conjoint, que s'il faisait une crise, il aurait ce qu'il voudrait. Une fois bien assis dans nos sièges, notre fils assis entre nous deux et mon beau-père et le passager compréhensif assis dans la rangée arrière, dans la <a href="http://www.aircanada.com/fr/travelinfo/onboard/comfort_intecono.html">classe économique</a> et bien attaché, nous étions près pour le décollage de notre vol <strong style="font-weight: bold;">Vancouver</strong><span style="font-weight: bold;">-Montréal à 10h55</span>. Encore cette fois-ci les passagers ont été compréhensifs face à notre fils et nous ont souhaité bonne chance. Cependant, durant le vol, après quelques heures de diuscussion avec mon beau-père, le passager gentil s'est déplacé et s'est assis dans un siège libre un peu à l'écart de nous. Je ne sais pas si c'est parce qu'il était tanné d'entendre les crises de notre fils, mais il nous a souhaité une bonne fin de voyage très gentiment et nous a souhaité bonne chance, car il savait que nous nous étions obligé d'entendre les crises de notre fils tout au long du voyage. Lorsque nous avons monté en altitude, j'ai senti mes oreilles se boucher. Après avoir atteint notre altitude de croisière, les consignes de ceinture de sécurité ce sont éteintes, nous avons pu baisser notre tablette et notre siège et nous avons pu avoir accès à notre <a href="http://www.aircanada.com/fr/travelinfo/onboard/entertainment/index.html">écran individuel à commande tactile</a>. Par contre, il fallait acheter les écouteurs à peu de frais, mais cette fois-ci nous n'en avons pas acheté vu que nous avions gardé les écouteurs donnés sur les autres vols. La <strong>durée de notre vol</strong> était <strong>d'environ 4h55</strong>, mais lors du décollage, le pilote de l'avion annonça au micro (français et anglais) la température actuelle à Vancouver et Montréal et l'estimation de la durée du vol avec les vents ressentis. Alors, pour passer le temps, j'ai visionner des films, des émissions de télévision et j'ai écouté de la musique. Nous avons encore mis un film pour enfant qu' il a visionné sans écouteur. Lorsque j'étais tanné de regarder mon écran individuel à commande tactile, j'ai essayé de <span style="font-weight: bold;">dormir</span> avec mon manteau comme couverture. Je n'ai aps été capable de dormir, car les sièges en classe économique ne sont pas très confortables. Aussi, le bruit des moteurs, même s'ils ne sont pas extrêmement bruyants, m'empêchaient de dormir. Donc, je peux conclure que si je reprends l'avion, il va falloir que je me prépare mentalement à trouver le temps long dans l'avion. Par contre, mon fils a dormi à plusieurs reprises, après chaque crise, peut-être par fatigue ou par compréhension que les crises ne fonctionnaient plus à nous faire flancher. Aussi, lors de notre vol, nous avons ressenti un peu de <span style="font-weight: bold;">turbulence</span>, j'ai encore vu des gens ne pas s'attacher du tout et se coucher de tout leur long sur les sièges qui n'étaient pas occupés à côté d'eux. Il y avait aussi des gens qui laissaient traîner leur ceinture de sécurité dans le couloir, ce qui occasionnait du trouble aux hôtesses de l'air, lorsqu'elles transportaient leur charriot de nourriture et de breuvages qui passait de justesse dans le couloir. Pour la <span style="font-weight: bold;">nourriture</span> et le <span style="font-weight: bold;">breuvage</span>, il était possible de s'en procurer en déboursant un montant en dollar canadien ou américain. Pour ce qui est du breuvage de notre garçon, nous lui avons donné du lait maternisé et du jus dans son gobelet. Pour les <span style="font-weight: bold;">changements de couche</span>, nous avons utilisé la même technique que lors des 2 vols précédents. Finalement, lorsqu'il a été le temps d'<span style="font-weight: bold;">atterrir</span> à <span style="font-weight: bold;">Montréal</span>, les consignes de ceinture de sécurité ce sont allumées, nous avons dû redresser notre tablette et notre siège et nos écrans individuels à commande tactile n'étaient plus disponibles. J'ai senti à peine que mes oreilles bouchaient, je commençais à m'habituer. Mon fils s'est réveillé et n'a pas fait de crise, je lui fis la remarque et comment j'étais contente et lui ai suggéré de regarder les nombreuses lumières à traver le hublot. Je fis la même remarque à mon conjoint et lui fis aussi remarqué que c'était notre première réussite dans le domaine de la discipline. Effectivement, notre fils n'a plus fait de crises dans l'avion. Le pilote de l'avion nous a informé (français et anglais) de la température actuelle à Montréal et de l'heure locale. Nous sommes <strong>arrivés samedi vers 18h50</strong> (heure locale de Montréal), donc mon beau-père a avancé sa montre de trois heures. Une fois atterri, nous nous sommes détachés, nous avons pris nos bagages de cabine dans le compartiment à bagages en haut de nos sièges et sommes sorti de l'avion en mettant notre manteau seulement pour le transfert de l'avion jusqu'à ce qu'on soit dans l'aéroport (froid ressenti dans le couloir, vu la température en novembre), mais notre enfant n'en avait pas, ce qui ne l'a pas dérangé.<br /><br />Une fois dans <a href="http://www.admtl.com/passager/formalites/Accueil.aspx"><span style="font-weight: bold;">l'aéroport de Montréal</span></a>, nous avons pu nous diriger immédiatement vers les carroussels pour les bagages. Nous n'avons pas passé de point de sécurité, vu qu'à Vancouver nous l'avions fait. Le hall public des arrivées est près des carrousels à bagages, donc ma famille (ma soeur, mon père et sa conjointe) nous ont vite apperçus. Pour ce qui est de l'accueil avec notre enfant, nous avions averti famille et amis que nous ne voulions pas de surprise-party avec comité d'accueil. Nous avions un feeling que notre garçon ne se sentirait pas à l'aise avec pleins d'inconnus autour de lui. C'est pourquoi, nous avons demandé à nos familles immédiates seulement. Cependant, uniquement ma famille est venue, car elle reste près de l'aéroport. Nous n'avons pas regretté notre choix, car nous savions que nos familles seraient une grande source de soutien et ne seraient pas une énorme cause de stress. Je savais qu'ils réagiraient en fonction de notre garçon et ne provoquerait rien. Ils étaient compréhensifs à l'idée que l'arrivée à l'aéroport pouvait faire vivre beaucoup d'insécurité à notre enfant. Par conséquent, personne n'a pris notre garçon. Par contre, ma soeur lui a donné des bonbons, ce qu'il a apprécié et mon père et sa conjointe lui ont donné un toutou. Ensuite, nous avons demandé à ma soeur, le baggage que nous avions laissé chez-eux (vêtements d'hiver pour notre garçon) et l'avons habillé. Il ne s'est pas obstiné à mettre sa soute d'hiver et avons remarqué que ses bottes d'hiver étaient trop petites (il a des grands pieds). Alors, nous avons remis ses souliers. Ma soeur nous a remis les clés de la voiture à mon beau-père ainsi que le billet de stationnement. Nous commençions à avoir faim et nous avons pris la décision d'aller manger à un <span>Restaurant Scores</span> avec mon père et sa conjointe, car nous étions supposés aller coucher chez-eux après, car nous avions encore 3 heures 30 de route à faire avant d'arriver chez-nous. Ainsi, nous avons payé le billet de stationnement à la sortie et sommes dirigés vers le restaurant.<br /><br />Une fois, dans le <span style="font-weight: bold;">restaurant</span> notre garçon fit une crise qui dura tout le long du repas. Nous pensons que c'est la fatigue du voyage de retour qui en était la cause, car c'est la seule fois qu'il a fait une crise dans un restaurant et qu'il ne nous a pas écouté, depuis son arrivée au Canada. Alors, nous aurions dû utiliser un service à l'auto et manger chez mon père. Après le restaurant, nous décidions de retourner directement chez-nous, car mon beau-père nous en a fait la demande, vu qu'il était malade (réaction aux fruits de mer mangés au dîner du vemdredi) et qu'il aimait mieux être dans ses affaires.<br /><br />Tout le long du <span style="font-weight: bold;">trajet de retour à la maison</span>, notre fils a été un ange; assis et attaché dans son siège d'auto, il n'a pas pleuré une seule fois et c'est comme ça depuis ce temps-là. Alors, le fait de tenir notre bout pour qu'il s'attache dans l'avion nous a finalement été très bénéfique.<br /><br />Une fois arrivés à la <span style="font-weight: bold;">maison</span>, nous voulions qu'il se couche tout de suite dans son <span>lit</span>, mais il ne voulait pas et il se levait à chaque fois. Ainsi, nous avons utilisé la technique de ''Super Nanny'', qui consiste à l'avertir qu'il doit faire dodo et de le recoucher à chaque fois. Après environ 3 fois, nous l'avons averti qu'à l'avenir nous lui parlerons plus. Alors, on le prenait et on le couchait dans son lit sans parler et nous avons fait cela pendant 3 heures. Au bout de 3 heures, il a décidé se coucher. Alors, quand nous écoutons une émission de ''Super Nanny'' et qu'il est écrit 2 heures plus tard, nous savons maintenant que c'est vrai. Une fois endormi, nous nous sommes couchés, mon conjoint et moi, sur un matelas dans sa chambre, car nous ne voulions pas qu'il aye peur dans sa nouvelle chambre et lorsqu'il se réveillerait, il nous verrait près de lui.<br /></div><div align="justify"> </div><div align="justify"> </div><div align="justify"></div>Karinehttp://www.blogger.com/profile/11641144327059348221noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6532280693194557013.post-26852162892802995422009-08-18T20:55:00.037-04:002010-07-03T20:42:12.682-04:0034- Prendre en charge l'enfant<div style="text-align: justify;"><br />Habituellement, c'est la <span style="font-weight: bold;">travailleuse sociale responsable de notre dossier à l'ICAB</span>, qui détermine les étapes à suivre dans le processus de <span style="font-weight: bold;">prise en charge de l'enfant</span>. Dans notre cas, ce fut la famille d'accueil responsable de notre enfant depuis 2 ans, qui a déterminé la façon de faire. Aussi, aux Philippines, ils préparent très bien les enfants à l'arrivée des parents. La famille d'accueil, où vivait notre garçon, lui ont montré les photos que nous avions envoyé à l'ICAB et à chaque soir, avant de s'endormir, il embrassait notre photo 8x10 en disant ''good night daddy'' et ''good night mommy''. De plus, ils ont décidé de ne pas se faire appeler ''mommy'' et ''daddy'', mais plutôt ''parrain'' et ''marraine'' en mot Tagalog.<br /><br />Tout d'abord, c'est l'idée de la <span style="font-weight: bold;">famille d'accueil</span> de se rencontrer le dimanche et de prendre en charge notre fils seulement le lendemain. Nous avons appris que la famille d'accueil a dû insister fortement pour que le déroulement se fasse par une transition, car les travailleuse sociales responsable de notre enfant (ICAB et Parenting Foundation) n'étaient pas d'accord. Nous avons appris le dimanche en discutant avec la famille d'accueil, que finalement, nous prendrions en charge notre enfant seulement le mardi. Il voulait que le dimanche, serve seulement à apprendre à se connaître. Le lundi était notre première journée officielle à lui prodiguer les soins nécessaires dans son milieu, c'est-à-dire sans la présence du couple, mais avec l'aide de la nounou de notre enfant. Le mardi nous repartirions avec lui, le soir, mais en faisant la même routine du lundi. Nous étions d'accord, même si au départ, nous étions surpris, car habituellement, les parents repartent avec l'enfant après la première rencontre, qui peut durer que quelques heures. Après réflexions et après en avoir discuté avec mon beau-père, nous étions convaincu, nous aussi, que c'était la façon de faire dans son cas. Nous nous sommes dits, que c'est la famille d'accueil qui est le plus au courant de la façon dont réagi notre garçon face au situation et qu'après avoir vécu presque toute sa vie avec les mêmes personnes, il ne pouvait pas balayer 2 ans de bonheur en quelques heures.<br /><br />Pour ma part, j'ai trouvé difficile de le partager avec sa famille d'accueil. Surtout que certains spécialistes disent que notre engagement doit se faire dans les 24-72 heures. De le voir dans les bras de la dame de la famille d'accueil et de voir qu'elle partageait encore des moments intimes avec lui me rendait un peu jalouse. Mais, avec du recul, je crois que c'était la meilleure façon de faire. De toute façon, je pouvais lui laisser ces derniers moments de bonheur, car moi, j'allais les vivre le reste de ma vie. J'ai bien fait de laisser faire les choses, de ne pas penser à mes besoins, mais plutôt de me concentrer sur ce qui était bon pour notre enfant. Je serai éternellement reconnaissante envers la famille d'accueil, de s'être battu pour la transition, car je suis convaincu que c'est la transition qui a permis un attachement rapide de notre fils envers nous deux. Alors, notre séjour aux Philippines a servi à se familiariser et l'arrivée à la maison était le moment d'approfondir le lien d'attachement. Donc, selon moi, il ne faut pas toujours suivre ce que les spécialistes disent, mais plutôt se fier à son instinct et se dire que chaque enfant est unique et a une histoire personnelle propre à lui.<br /><br />Pour ce qui est de mon beau-père, qui jouait le rôle d'<span style="font-weight: bold;">accompagnateur</span>, même si nous voyagions tous les deux, mon conjoint et moi, a été une expérience que je recommencerais pour une 2e adoption. Par contre, la chose que je changerais est de ne pas prendre pour acquis tout ce que j'ai entendu et lu au sujet de l'adoption. Ce premier voyage d'adoption n'a pas été totalement heureux, car j'ai trop focalisé sur ce que les spécialistes disaient sur l'attachement et j'ai vécu des moments de stress et de tristesse, en pensant que mon fils s'attacherait difficilement à moi. Lors de notre séjour aux Philippines, il me rejetait fréquemment, lorsque je voulais m'occuper de lui ou le prendre par la main. La dame de la famille d'accueil voulait me sécuriser en me disant que c'était normal, car il avait côtoyé plus d'hommes que de femmes et il était plus attiré à aller vers les hommes. J'aurais dû me concentrer sur ce qu'elle a dit, vu qu'elle le connaît depuis qu'il a que quelques jours. Elle avait totalement raison, car depuis qu'il est avec nous, j'ai remarqué que lorsqu'il raconte un nouveau couple, tant de la famille que d'ami, il est plus à l'aise en premier avec l'homme. Avec ces informations, je n'aurais pas été triste, lorsque mon fils préférait prendre la main de mon beau-père au-lieu de la mienne pour marcher dans les aéroports et je ne l'aurais pas reprocher à mon beau-père. J'ai pu constater cette erreur de ma part, lorsque j'ai remarqué l'attachement rapide de mon fils face à moi, dès les premiers jours à la maison. Donc, même si certains spécialistes en adoption internationale ne pensent pas que c'est l'idéal, le fait que mon beau-père nous accompagne a servi de référence pour nous sécuriser, tant logistiquement avec son expérience de voyageur et émotivement avec son expérience de papa adoptif. Il n'avait pas de rôle clair, il faisait ce qui semblait être bien pour tout le monde. Lorsque le jour nous nous occupions de notre fils chez sa famille d'accueil, il a décidé de lui-même de rester à l'hôtel. Cependant, il nous retrouvait pour le souper avec la famille d'accueil.<br /><br /><span style="font-weight: bold;">Jour 1 (Dimanche le 23 novembre) : La rencontre</span><br /><br />Nous nous sommes levés tôt le matin, après une nuit plutôt courte, car nous avions <span style="font-weight: bold;">rendez-vous à 10h00</span> au hall d'entrée de notre hôtel avec la travailleuse sociale responsable de notre enfant et celle de l'ICAB. Une fois prêts, nous sommes allés prendre un brunch mon beau-père, mon mari et moi au restaurant de l'hôtel. Pour le brunch, il y avait énormément de choix. Une chance, à environ 25$ Canadien par personne. Donc, en constatant les prix élevés, nous décidions de ne plus remanger au restaurant de l'hôtel. Lorsque nous avons eu terminé de manger, nous nous sommes dirigés tous les trois (la famille d'accueil était au courant que mon beau-père nous accompagnait et l'a lui aussi invité) vers le hall d'entrée de l'hôtel. En attendant le rendez-vous, j'étais très nerveuse car je ne savais pas comment notre enfant réagirait à notre première rencontre, nous ne savions pas le nom des travailleuses sociales et à quoi elles ressemblaient. Alors, nous faisions les cents pas, mon conjoint et moi, en attendant que quelqu'un nous approche. Finalement, la travailleuse sociale de l'ICAB vint à notre rencontre avec que quelques minutes de retard, mais il fallait attendre l'autre travailleuse sociale avant de pouvoir partir. Lorsque celle-ci arriva, nous prions un taxi à partir de notre hôtel. Une chance que les philippines sont toutes petites et que le trajet n'était pas trop long, car nous étions 4 assis à l'arrière. Lors de notre parcours en taxi, il y a eu une jeune fille d'une dizaine d'année, qui cogna à ma fenêtre en me montrant des petites fleurs. Je me demandais, si je devais baisser la fenêtre. Mais, vu que j'ai de la difficulté à parler l'anglais, je ne savais pas quoi faire et répondre. La travailleuse sociale assise à côté de moi me fit signe de l'ignorer. Je compris que cette petite fille toute menue et mignonne vendait des fleurs. Ça m'attrista de voir cette très jeune fille travaillée et de voir que les travailleuses sociales ne pouvaient rien faire pour elle. Alors, j'ai vite constaté le problème de pauvreté à Manille.<br /><br />Une fois arrivé au hall d'entrée du condominium de la famille d'accueil, nous constations que la <span style="font-weight: bold;">messe</span> se déroulerait à cet endroit. Les travailleuses sociales nous firent rencontrer la dame de la famille d'accueil. Elle fut très sympathique et nous appris que nous allions participer à la messe. C'est mon mari et moi, qui amènerions les lampions au prêtre. Quelques minutes, après, le monsieur de la famille d'accueil arriva avec notre fils. Celui-ci se sentit gêné et ne voulait pas trop nous approcher. Il se cacha entre les jambes du monsieur. Mon beau-père filmait les événements et il a eu la brillante idée de prendre notre garçon dans ses bras et de lui montrer, dans la petite fenêtre de sa caméra, ce qu'il avait filmé. Notre fils apprécia se reconnaître et est devenu un peu moins gêné. Il s'est ensuite accoté la tête sur moi pendant que j'étais assise sur une chaise mais ne voulait pas trop que je le touche. À chaque fois, que je voulais lui flatter la tête, il me repoussait les mains. Je compris qu'il voulait m'approcher, mais à sa façon et à son rythme. Je décidai de ne pas forcer les choses et le laissai faire. Ensuite, la messe a commencé et nous étions les invités d'honneur. Vu que notre gars était connu de tout le monde dans le condominium, ça permettait aux gens de nous voir. Après la messe, nous avons poursuivi les rapprochements, en jouant à coucou. Il a par la suite appelé mon mari ''Daddy'' et on s'est amusé avec lui.<br /><br />Ensuite, nous nous sommes rendus à l'<span style="font-weight: bold;">appartement</span> <span style="font-weight: bold;">du couple</span> avec les travailleuses sociales et avons pu constater l'environnement où vivait notre fiston. Nous avons continué à nous amuser avec lui, ainsi que mon beau-père. Il répéta encore ''daddy'' et les travailleuses sociales ainsi que la famille d'accueil ont été surpris de constater la rapidité d'attachement avec mon mari. Les travailleuses sociales prirent quelques photos de nous avec notre fils et quittèrent, par la suite, en nous avertissant, que nous les reverrions, ici le mardi, pour signer des papiers.<br /><br />Après, nous sommes partis, la famille d'accueil, le chauffeur, la nounou, notre fils, mon beau-père, mon mari et moi, <span style="font-weight: bold;">dîner</span> dans un restaurant du <a href="http://www.smsupermalls.com/smsupermalls/index.php?p=633">SM Megamall</a>, car la famille d'accueil nous y avait invité. J'ai pu constater qu'ils n'ont pas la même vision de la sécurité des enfants aux Philippines. Notre fils était debout sur la banquette de l'auto et il se promenait sans problème. Aussi, j'ai remarqué le rôle de la nounou, qui était de s'assurer qu'il ne se fasse pas mal, mais qui le laissait faire. Nous avons pu observer qu'il courrait partout dans le restaurant avec la nounou qui suivait en arrière. Une fois épuisé, il s'est endormi sur la nounou. Après avoir mangé, nous avons fait quelques achats tous ensemble dans les boutiques du centre d'achat et la dame de la famille d'accueil nous a montré sa boutique et nous a présenté ses employés.<br /><br />Puis, nous sommes tous retournés à l'appartement de la famille d'accueil. Nous avons continué à s'apprivoiser et nous avons été invité à <span style="font-weight: bold;">souper</span> chez eux. C'est la cuisinière de la famille d'accueil qui a préparé le repas. Alors, avec tous ces employés qui travaillaient pour le couple (nounou, chauffeur, cuisinière), nous avons pu constater que notre fils a été élevé dans une famille très à l'aise financièrement. Finalement, le chauffeur est venu nous reconduire à notre hôtel, pas trop tard et sans notre fils, car nous voulions nous reposer. Nous ressentions de la fatigue dû au décalage horaire et au stress de la journée et nous savions que le lendemain, c'était nous, qui s'occuperaient de notre fils. Avant d'aller se coucher, mon beau-père est allé au centre d'affaire et à envoyer un courrier électronique (environ 5 $ canadien) à ma belle-mère pour lui raconter notre première journée aux Philippines.<br /><br /><span style="font-weight: bold;">Jour 2 (Lundi le 24 novembre) : La première journée à s'occuper de notre fils</span><br /><br />Le lundi matin nous nous sommes levés encore tôt, car le chauffeur de la famille d'accueil venait nous chercher vers <span style="font-weight: bold;">9h00</span> à l'hôtel avec notre garçon. Avant d'attendre notre <span style="font-weight: bold;">rendez-vous</span>, nous sommes allés déjeuner à un Starbucks Coffee près de notre hôtel où nous avons mangé sur une terrasse et cette fois-ci les prix n'étaient pas trop cher. Nous avons mangé à moins de 5,00$ canadien par personne. Nous sommes revenus à notre chambre d'hôtel et avons téléphoné à ma belle-mère pour lui parler de vive voix. Nous aurions dû laisser faire, même si nous n'avons pas parlé longtemps, car l'appel nous a coûté près de 60 $ canadien. Ensuite, nous avons pris un toutou et des jouets et nous sommes allés attendre notre rendez-vous, mon conjoint et moi. Mon beau-père n'est pas venu, il voulait nous laisser seul avec notre fils et il commençait à couvrir une grippe. Aussi, il nous a averti qu'il allait s'occuper de nous trouver une chambre plus grande, vu que nous étions pour prendre en charge officiellement notre fils le lendemain et nous avions constaté que notre fils déplaçait beaucoup d'air. Notre chambre aurait été trop petite pour 3 adultes et un garçon avec ce degré d'énergie. Alors, il nous appela chez la famille d'accueil pour nous dire le numéro de notre nouvelle chambre (suite) et il passa la journée à la piscine. Aussi, il retourna au centre d'affaire pour envoyer un autre courrier électronique (environ 5 $ canadien) à ma belle-mère et ce qu'il fit à tous les jours pour la sécuriser.<br /><br />Une fois le chauffeur arrivé avec notre fils, nous sommes entrés dans la mini-van et je lui ai donné son petit toutou. Rendu au condominium le chauffeur, nous a laissé à l'entrée et nous avons pris l'ascenseur. L'employé nous a reconnu et a pesé sur le bouton de l'étage de la famille d'accueil. Lorsque nous sommes entrés à l'<span style="font-weight: bold;">appartement</span>, il n'y avait que les employés présents. Nous avons donné le bain du matin à notre fils, changer ses couches, l'avons fait manger et donner les biberons avec l'aide de la nounou. Ensuite, nous avons joué avec lui.<br /><br />À l'heure du <span style="font-weight: bold;">dîner</span>, le couple est arrivé et ils nous ont dit que nous dînerions avec eux. Aussi, ils nous ont demandé comment avait été nos premières expériences de parent. La cuisinière fit un autre repas exquis. Le couple reparti en nous avertissant qu'à leur retour nous irions magasiner pour s'assurer d'avoir tout ce qu'il faut pour notre fils, car le lendemain était notre journée de prise en charge officielle.<br /><br />Ensuite, nous avons essayé de le coucher pour sa <span style="font-weight: bold;">sieste</span>, mais c'est la nounou qui a réussi en se couchant avec lui. Pendant sa sieste, nous avons écouté un film de la collection personnelle de la famille d'accueil.<br /><br />Vers la fin de l'après-midi, la dame de la famille d'accueil ainsi que son chauffeur, nous ont emmené au <span style="font-weight: bold;">SM Megamall</span>. Nous avons acheté une valise pour notre fils, car la famille d'accueil voulait qu'il parte avec des vêtements, des jouets, des toutous, des albums-photos (1 pour lui, pour des souvenirs avec sa famille d'accueil et un autre pour nous, pour pouvoir vivre ses 0-2 ans) et d'autres souvenirs. Il y en avait beaucoup, que ça n'aurait pas entré dans nos valises. Aussi, nous avons acheté des produits de soins pour notre fils, car la dame voulait s'assurer que nous ayons les mêmes qu'il utilisait avec eux. Une fois touts nos achats fins, la famille d'accueil appela mon beau-père à la chambre d'hôtel pour l'inviter, lui aussi, à souper avec eux. La cuisinière nous fit un autre excellent repas.<br /><br />Ensuite, la dame a eu une réunion avec d'autres femmes du condominium et il y a eu d'autres enfants avec leur nounou dans l'appartement. Aussi, le fils aîné de la dame vint nous rencontrer et il était venu, aussi, pour voir une dernière fois notre fils. Les autres enfants de la dame préféraient ne pas le revoir, c'étaient trop difficile pour eux. C'était un deuil à vivre pour eux, aussi , car ils l'avaient côtoyés durant 2 ans, soit depuis qu'il avait seulement quelques jours. Vers 7h30-8h00, je demandai au monsieur de la famille d'accueil s'il était le temps de lui donner son <span style="font-weight: bold;">bain</span> du soir. Il m'a répondu que non, vu qu'il allait encore s'amuser. Définitivement, il était rendu trop tard pour son bain et nous essayions, mon conjoint et moi, une fois son pyjama mis de le coucher. Vu que notre enfant dormait avec sa nounou, il ne voulait pas rester coucher et il semblait vouloir pleurer. Ce qui n'était guère attendu et réconfortant pour nous, qui était de nouveaux parents inexpérimentés. Notre culture occidentale (Super nanny et Dre Nadia) nous enseigne de ne pas se coucher avec un enfant, ce qui nous mettais mal-à-l'aise à cette situation et nous ne savions pas comment réagir. Une chance que mon beau-père était là, car il nous asuggéré de ne pas commencer la discipline tout de suite, car il y avait trop de personnes (nounou, famille d'accueil, nous) avec qui il pouvait attirer l'attention. Il nous expliqua, que lorsque ma belle-mère gardait des enfants et lorsque les parents de ceux-ci venaient les chercher, ils faisaient des choses qu'ils n'auraient pas fait, lorsque leur parents n'étaient pas là. Alors, avec ces conseils et après nos essais infructueux, nous décidions d'abandonner et avons laissé la nounou s'en occuper. Par contre, nous nous regardions, mon mari et moi, en se disant que rendu à la maison ça ne se passerait pas comme ça et que nous allions débuter la discipline. pour les coucher. Finalement, le chauffeur est venu nous reconduire à notre hôtel vers 11h00 et lorsque nous sommes partis, notre fils n'était pas encore couché. En arrivant à notre nouvelle suite, nous avons constaté que celle-ci serait très bien pour notre enfant de 2 ans qui déplaçait beaucoup d'air et nous avons remarqué que nous avions obtenu un petit lit d'appoint. Également, il n'y avait pas de balcon invitant à la défenestration.<br /><br /><span style="font-weight: bold;">Jour 3 (Mardi le 25 novembre) : La deuxième journée à s'occuper de notre fils</span><span style="font-weight: bold;"> et signature pour le transfert de charge de l'enfant<br /><br /></span>Le mardi matin nous nous sommes levés encore tôt, car le chauffeur de la famille d'accueil venait nous chercher vers <span style="font-weight: bold;">9h00</span> à l'hôtel avec notre garçon, car nous avions rendez-vous avec les travailleuses sociales du Parenting Foundation et de l'ICAB pour les signatures du transfert de charge. Avant d'attendre notre <span style="font-weight: bold;">rendez-vous</span>, nous sommes allés déjeuner à un petit restaurant à côté de l'hôtel. Nous avons mangé sur la terrasse à environ 5,00$ canadien par personne. Nous sommes revenus à notre chambre d'hôtel pour prendre les jouets pour notre enfant et nous sommes allés attendre notre rendez-vous, mon conjoint et moi. Mon beau-père n'allait pas encore très bien, il avait une grippe avec un mal de gorge qu'il attribuait à la pollution de Manille, et il préférait nous laisser seul avec notre fils durant la journée. Pendant que nous attendions une des travailleuses sociale à l'entrée de notre hôtel, mon beau-père apparut et nous avertissa qu'il avait reçu un appel à la chambre de la famille d'accueil pour nous aviser que notre fils venait tout juste de se lever, qu'il le ferait déjeûner et qu'il nous rappelerait lorsque le chauffeur partitait pour venir nous chercher. Alors, nous avons attendu la travailleuse sociale et lorsque celle-ci arriva, nous lui expliquions le retard et nous l'invitions à venir attendre avec nous à notre chambre. Finalement, nous recevions l'appel de la famille d'accueil et le chauffeur vint seul nous chercher pour nous ammener à l'appartement.<br /><br />Une fois sur les lieux, la dame de la famille d'accueil nous avisa que notre fils avait une grippe et qu'il faisait de la fièvre et que c'était la première fois de sa vie que ça lui arrivait. C'était sûrement dû à tout l'énervement des derniers jours. Aussi, elle nous avisa qu'elle préfèrerait le garder le temps qu'il guérisse, c'est-à-dire que nous ne repartirerions pas avec lui à la fin de la journée. Nous étions d'accord, car c'était notre premier enfant et ça nous aurait apporter un stress supplémentaire. De toute façon nous nous occuperions de lui à tous les jours chez la famille d'accueil et on savait que par la suite nous l'aurions pour le restant de notre vie. D'ailleurs, l'autre travailleuse sociale arriva et nous avons pu signer les <span style="font-weight: bold;">papiers de transfert de l'enfant de la famille d'accueil vers la famille adoptive</span>. Je donnai le chèque émis par notre organisme agréé pour les frais de garde de notre enfant à la travailleuse sociale de l'ICAB, car mon organisme agréé nous en avait avisé. De plus, la famille d'accueil avisa les travailleuses sociales de la façon de faire pour la transition et mon conjoint et moi les avisèrent de notre appui à cette méthode. Avant que les travailleuses sociales partent, le monsieur de la famille d'accueil a eu l'audace de leur dire que lui et sa conjointe avait eu raison pour la transition et qu'elles (les travailleuses sociales) avaient tort sur toute la ligne de vouloir empêcher la transition. Il défendait son point de vue avec la réaction de notre fils, comme quoi il n'avait jamais fait de crise et qu'il appellait mon mari ''daddy' depuis le dimanche. Avec les commentaires de la famille d'accueil ainsi que les nôtres, j'espère qu'il y aura de plus en plus de familles qui prendront en charge leur enfant avec une transition. Je suis convaincue que c'est la meilleure façon de faire, car nous restons pour les enfants des étrangers même s'ils nous appellent ''mommy'' et ''daddy''. Je suis persuadée que notre fils a acquéri une confiance en nous, lorsqu'il remarquait que nous avions une bonne entente avec les personnes avec qui il avait une totale confiance, c'est-à-dire sa famille d'accueil avec qui il vivait depuis 2 ans.<br /><br />Ensuite, nous lui avons donné son bain du matin et avons essayé de le faire manger. Aussi, nous avons encore dîné avec la famille d'accueil avec un autre merveilleux repas philippin que la cuisinière avait concocté. Pour le reste de la journée, nous faisions attention de ne pas trop excité notre garçon pour qu'il puisse avoir des forces et guérir le plus rapidement possible. Nous avons essayé de donner les biberons et de le faire manger, nous l'avons changé de couches et avons tenté de le coucher pour sa sieste. Pendant sa sieste, nous avons écouté un autre film dans la collection personnelle de la famille d'accueil. Près de l'heure du souper, la dame appela mon beau-père pour l'aviser que le chauffeur s'en venait le chercher pour qu'il puisse venir souper avec nous. Lorsqu'il arriva, nous lui annonçions que nous ne repartirions pas avec notre fils ce soir-là, car il était malade. Lui aussi, trouvait que c'était mieux d'attendre qu'il aille mieux avant de l'emmener à l'hôtel. Finalement, nous sommes partis après souper pour laisser notre fils tranquille dans ses affaires et pour qu'il se couche tôt et prenne des forces pour guérir le plus rapidement possible.<br /><br /><span style="font-weight: bold;">Jour 4 (Mercredi le 26 novembre) : La troisième journée à s'occuper de notre fils</span><br /><br />Le mercredi matin nous nous sommes levés encore tôt, car le chauffeur de la famille d'accueil venait nous chercher vers <span style="font-weight: bold;">9h00</span> à l'hôtel avec notre garçon. Avant d'attendre notre <span style="font-weight: bold;">rendez-vous</span>, nous sommes allés déjeuner au même resto-café à côté de notre hôtel. Nous sommes revenus à notre chambre d'hôtel pour prendre les jouets pour notre enfant et nous sommes allés attendre notre rendez-vous, mon conjoint et moi. Mon beau-père ne s'était pas encore remis de sa grippe et il avait décider nous laisser seul, le jour, avec notre fils.<br /><br />Une fois arrivée à l<span style="font-weight: bold;">'appartement de la famille d'accueil</span>, nous répétions les mêmes soins que les 2 autres jours, soit le bain du matin, le faire manger, donner les biberons et changer les couches. Le couple arriva pour le dîner et nous avons encore manger avec eux un repas préparé par la cusinière.<br /><br />Après le repas, le couple nous annonca qu'il préfèrerait garder notre enfant une dernière journée pour être sûr qu'il soit en forme pour prendre l'avion. Mon conjoint et moi étions d'accord. Alors, la dame de la famille d'accueil nous proposa de nous ammener au <span style="font-weight: bold;">SM Megamall</span> pour l'après-midi. Ça permettrait à notre fils de se reposer le plus possible. Donc, je me suis acheté des vêtements, car le taux de change permettait des économies. Aussi, nous avons finalisé les achats nécessaires pour notre fils et nous avons acheté des cadeaux de remerciement à chaque membre de la famille d'accueil, c'est-à-dire au monsieur, à la dame, à la nounou, à la cuisinière et au chauffeur. Lorsque nous nous sommes retrouvés à la fin de l'après-midi avec la dame et le chauffeur et que celui-ci a pris mes sacs d'achat, je ne savais quoi faire. Je n'avais jamais vécu comme une personne riche et c'était la première fois que quelqu'un portait mes emplettes. Comme je ne voulais offusquer personne j'ai, alors, joué le jeu.<br /><br />Après une après-midi de magasinage, nous sommes allés chercher mon beau-père, car le couple de la famille d'accueil, nous avait invité à aller <span style="font-weight: bold;">souper</span> sur une <span style="font-weight: bold;">terrasse d'un restaurant typiquement philippin</span>. Pendant que nous nous rendions au restaurant, le couple monta le son de la radio et nous avisa de l'écouter. Nous avons été stupéfait et ému d'entendre un message, en anglais, de bienvenue à notre famille. La famille d'accueil avait eu la délicatesse idée de contacter la station de radio pour nous envoyer un message personnalisée. Nous les avons remerçié de cette belle initiative. Ensuite, pendant le repas, il y a eu une jeune fille d'une dizaine d'années qui m'approcha avec des fleurs. Je fis comme si je ne la voyais pas, mais elle se faisait de plus en plus insistante. En voyant cela, la dame de la famille d'accueil l'avertissa de nous laisser tranquille. La dame nous expliqua qu'elle ne donnait jamais d'argent à ces jeunes filles, car de toute façon l'argent ne leur revenait pas. Elle préfrait aider les enfants pauvres en étant famille d'accueil bénévole. En sachant cela et en constatant que c'était la deuxième fois que je rencontrais ce genre de fille, je pu m'empêcher d'être triste et avoir de la pitié pour ces filles-là.<br /><br />Après le bon repas philippin, nous sommes allés chercher une <span style="font-weight: bold;">décoration de Noël illuminée </span>pour mon beau-père dans des kiosques situés sur le bord de la route. Nous avons pu constater que la dame de la famille d'accueil est une forte négociatrice. Elle finit par trouver une décoration à mon beau-père a un prix très abordable. Finalement, ils vinrent nous déposer à notre hôtel.<br /><br />Arrivés à l'hôtel, mon conjoint, mon beau-père et moi sommes allés au <a style="font-weight: bold;" href="http://www.smsupermarket.com/smsupermarket/index.php?p=569">SM Supermarket</a> pour acheter des collations et la sorte de lait maternisé utilisé par notre garçon, car nous savions que le lendemain, il y aurait de fortes chances que nous le prenions définitivement.<br /><br /><span style="font-weight: bold;">Jour 5 (Jeudi le 27 novembre) : Visite du Parenting Foundation et de l'ICAB et prise en charge officielle de notre garçon</span><br /><br />Le jeudi matin nous nous sommes levés encore tôt, car le chauffeur de la famille d'accueil venait nous chercher vers <span style="font-weight: bold;">9h00</span> à l'hôtel avec notre garçon. Nous avions rendez-vous avec la travailleuse sociale de notre garçon du Parenting Foundation, car nous devions y aller pour visiter la fondation et récupérer le <span style="font-weight: bold;">lifebook</span> et <span style="font-weight: bold;">signer des papiers à l'ICAB</span>. Avant d'attendre notre <span style="font-weight: bold;">rendez-vous</span>, nous sommes allés déjeuner au même resto-café à côté de notre hôtel. Ensuite, nous sommes allés attendre la travailleuse sociale, mon conjoint et moi, à l'entrée de l'hôtel. Une fois la travailleuse sociale et le chauffeur arrivé avec notre garçon, nous nous sommes dirigés vers le Parenting Foundation of the Philippines dans le quartier de <a href="http://www.muntinlupacity.gov.ph/v2/">Muntinlupa city</a>. Le chauffeur nous avertissa des consignes à suivre pour la médication de notre garçon, car il n'était pas complètement guéri.<br /><br />Une fois arrivé au <span style="font-weight: bold;">Parenting Foundation</span>, nous avons rencontré et parlé avec la directrice et d'autres travailleuses sociales pendant que la travailleuse sociale de notre fils terminait le <span style="font-weight: bold;">lifebook</span> de notre garçon. C'était la première fois durant tout le voyage, que je trouvais la salubrité des lieux ordinaires. Après que la travailleuse sociale nous remette le life book de notre fils, nous sommes allés <span style="font-weight: bold;">dîner</span> avec le chauffeur, la travailleuse sociale, notre fils, mon conjoint et moi au Max's Restaurant (un genre de rotisserie St-Hubert) à <a href="http://www.paranaquecity.com/index.html">Paranaque</a>, car nous n'avions pas assez de pesos philippin pour payer pour tout le monde et nous devions trouvé un restaurant acceptant les cartes de crédit. Par contre le repas n'a coûté qu'environ 30 $ canadien pour 4 adultes et 1 enfant. Aussi, nous aurions dû avoir des pesos philippins suffisants, car lorsque le chauffeur a fait le plein d'essence il nous a demandé de payer. Ensuite, nous sommes allés à l'<span style="font-weight: bold;">ICAB </span>pour signer les derniers papiers. À notre arrivée, il y avait une <span style="font-weight: bold;">affiche de bienvenue</span> avec nos noms en haut du banc de bois foncé. Nous avons <span style="font-weight: bold;">signé les papiers</span> sur ce banc et la travailleuse sociale de notre fils nous a remis le <span style="font-weight: bold;">formulaire de résidence permanente</span> à remettre aux douaniers à notre arrivée au Canada, les <span style="font-weight: bold;">reçus des traites bancaires</span>, que nous leur avions émis lors de notre acceptation de proposition et à garder pour nos impôts, le <span style="font-weight: bold;">formulaire Travel Clearance for a Minor</span> et sa photocopie et à remettre l'original aux douaniers de l'aéroport de Manille et la copie à garder dans nos papiers, le <span style="font-weight: bold;">passeport</span> de notre garçon avec le <span style="font-weight: bold;">Visa d'immigrant pour le Canada</span> et le <span style="font-weight: bold;">Visa d'émigrant des Philippines</span>, la <span style="font-weight: bold;">banderole</span> qui était affiché sur le mur, une petite <span style="font-weight: bold;">Jeepney</span> et un petit <span style="font-weight: bold;">drapeau des Philippines</span>. De plus, elle nous a fait visiter et rencontrer les employés, un peu vite fait, car notre garçon dormait dans les bras de mon conjoint. Finalement, le chauffeur nous a reconduit à notre hôtel avec tous les effets de notre garçon, car il restait définitivement avec nous.<br /><br />À l'heure du <span style="font-weight: bold;">souper</span>, nous sommes allés manger dans un Mc Donald's au SM Mega Mall. De retour à l'hôtel, nous lui avons fait prendre un <span style="font-weight: bold;">bain</span> pour la première fois à notre chambre d'hôtel. Il a fait une crise de caprice, car ça ne lui tentait pas de le prendre et il testait nos limites. Nous n'avons pas cédé à ses pleurs et nous lui avons donné son bain. Il a pleuré pendant une bonne partie de la <span>soirée</span>, car ça ne fonctionnait pas comme il le voulait. Pour l'aider à se calmer je le prenais dans mes bras et me promenais avec lui en lui chantant une chanson inventé de mon cru en anglais. Ça réussissait pour un moment et lorsque les pleurs recommençaient, je refaisais la même routine. Lorsque mon beau-père n'en pouvait plus des pleurs, il sortait et lorsqu'il revenait, la plupart du temps la crise était fini. L'heure du dodo n'a pas été facile mais nous avons réussi à le coucher vers 20h30. Je l'ai calmé dans mes bras et lorsqu'il a commencé à somnoler, je l'ai couché dans le lit et lui ai flatté le dos. Lorsqu'il semblait vouloir se réveiller, je lui flattais le dos et lui chantais ma chanson inventée en anglais. La nuit n'a pas été trop pire, mais j'étais contente du déroulement de la semaine, car le fait d'avoir eu des bonnes nuits de repos pour contrer le décalage horaire, nous a permis d'avoir une patience non-chancelante.<br /><br /><span style="font-weight: bold;">Jour 6 (Vendredi le 28 novembre) :</span> <strong>Visite à l'aquarium de Manille<br /><br /></strong></div><div style="text-align: justify;"><strong></strong> </div><div style="text-align: justify;"></div><div style="text-align: justify;">Le vendredi matin nous nous sommes levés encore tôt, car le chauffeur et le couple de la famille d'accueil venait nous chercher vers <strong>9h00</strong> à l'hôtel, car ils nous avaient inviter à aller <strong>visiter </strong><a href="http://oceanparkmanilabay.com/"><strong>l'aquarium de Manille</strong></a>. La dame de la famille d'accueil ne l'avait jamiais emmener, car elle se disait que ce serait un bon endroit à visiter pour lui avec ses nouveaux parents. Elle nous en avait parlé en début de semaine et nous étions d'accord avec cette idée. Avant de les attendre, nous sommes allés déjeuner au même resto-café à côté de notre hôtel, mais cette fois-ci notre garçon nous accompagnait. Ensuite, nous sommes allés les attendre, mon conjoint, mon beau-père, notre garçon et moi, à l'entrée de l'hôtel.<br /><br /></div><div style="text-align: justify;"> </div><div style="text-align: justify;">Une fois le couple de la famille d'accueil et le chauffeur arrivé, nous nous sommes dirigés vers <a href="http://www.manilaoceanpark.com/"><strong>l'aquarium de Manille</strong></a> près de la <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Baie_de_Manille">baie de Manille</a>. J'ai remarqué que les Philippins ne se fient pas aux consignes écrites, car il était inscrit de garder le silence pour ne pas déranger les animaux aquatiques et j'ai constaté le contraire. Il y avait tout un vacarme, que nous avions de la difficulté à s'entendre dans nos conversations. Notre fils s'est promené sur les épaules de mon conjoint et la dame de la famille d'accueil s'assurait qu'il ne restait pas trop longtemps au soleil. Une chance que j'avais emmené le tissu en coton que je lui avais mis dans le dos pour s'assurer que son t-shirt ne touche pas directement sa peau. J'ai pu constaté qu'il n'était pas le seul qui portait ce type de coton dans le dos. Les philippins ne veulent pas que leurs enfants ressentent l'humidité, c'est pourquoi ils leur font porter ce genre de tissu sur le dos des enfants et ils changent leur t-shirt plusieurs fois par jour. Je peux comprendre qu'aux Philippines, l'humidité est très présente et qu'ils ne veulent pas que leurs enfants aient des boutons dû à l'humidité. Donc on peut dire pays différent et moeurs différents. Personnellement, je crois qu'il est plus important de protéger nos enfants en les assisant dans des sièges d'auto lorsqu'ils se promènent en voiture que de s'acharner à vérifier si leur chandails sont humides (mouillé).<br /><br /></div><div style="text-align: justify;"></div><div style="text-align: justify;"> </div><div style="text-align: justify;">Ensuite, la famille d'accueil nous a invité à aller <strong>dîner</strong> près de la baie de Manille sur une aire de repas à l'extérieur sur les terrains du <a href="http://www.smmallofasia.com/moa/index.php?p=1097"><strong>SM Mall of Asia</strong></a>. Ils nous avaient invité à manger là, car ils savaient que mon beau-père aimaient les fruits de mer, mais ils ne savaient pas que mon conjoint et moi n'aimions pas ce type de nourritures. Alors, nous avons été à un autre kiosque pour commander de la viande (environ 10 $ canadien pour 2 adultes). La dame de la famille d'accueil vint à notre rencontre pour nous dire qu'elle nous avait commandé des fruits de mer, mais nous lui répondions que nous n'aimions pas ça et que nous préférerions mangé de la viande. Nous avons tous mangé ensemble et notre garçon ne voulait pas rester assis dans la chaise haute et lorsque débarqué se promenait partout. Nous ne voulions pas faire de discipline devant la famille d'accueil, car nous ne voulions pas les offusquer, vu qu'ils ont la mentalité de tout laisser faire si l'enfant le désire. Mais, nous nous disions qu'au Canada se serait différent et nous appréhendions déjà nos sorties au retaurant.<br /><br /></div><div style="text-align: justify;"></div><div style="text-align: justify;"> </div><div style="text-align: justify;">Une fois, le dîner terminé nous avons visité le <a href="http://www.smmallofasia.com/moa/index.php?p=1097"><strong>SM Mall of Asia</strong></a>, qui est le plus grand centre commercial de l'Asie. Nous y avons passé une partie de l'après-midi et la dame de la famille d'accueil nous a fait visiter sa boutique dans ce centre d'achat et nous a présenté ses employés. Nous avons acheté une crème glacée à notre fils et nous étions tout content, car c'était sa première avec nous. C'est ça être nouveaux parents, il y a sa première fois avec toute chose. Finalement, la famille d'accueil est venu nous reconduire à notre hôtel, mais nous avons demandé au couple de monter à la chambre d'hôtel. Nous leur avons remis leur cadeau de remerciement pour leur grande hospitalité et avons demandé de remettre les petits cadeaux à la cuisinière, à la nounou et au chauffeur de notre part. Nous avons demandé des nouvelles de la nounou, vu que c'est elle qui passait la majeure partie de son temps avec notre fils. La dame nous a répondu qu'elle était triste, mais qu'elle se réjouissait à savoir qu'il était dans une très bonne famille. Nous leur avons dit au revoir, sans que notre garçon soit vraiment conscient qu'il ne les reverrait plus. Donc, la transition a été très bénéfique pour notre garçon, car il n'a jamais senti que nous l'avions arraché de sa famille d'accueil. Ça été une très bonne idée de passer la journée avec eux, d'inverser les rôles, que ce soient eux qui sont venus à notre rencontre pendant que notre garçon était avec nous. Selon moi, ça fermait la boucle de la transition, car notre fils n'a rien vu de ce qui se passait. Donc, suite à leur départ, il n'a pas fait de crise, car il savait que c'était nous ses parents, il appelait mon conjoint ''daddy'' depuis notre première rencontre, il m'appelait ''mommy'' depuis le mercredi et il appelait mon beau-père ''papi'' depuis le jeudi.<br /><br /></div><div style="text-align: justify;"></div><div style="text-align: justify;"></div><div style="text-align: justify;"> </div><div style="text-align: justify;">Une fois l'heure du <strong>souper</strong> arrivée, nous avons fait venir notre repas (environ 25 $ canadien pour 2 adultes) <strong>à la chambre</strong> à partir du menu à la carte du restaurant de notre hôtel. Nous ne voulions pas nous coucher trop tard, car notre avion était à 9h10, mais nous voulions y être pour 6h10. De plus, nous avons appelé l'infirmière de l'hôtel qui était disponible sur 24 heures, car pour ce qui est du médecin de l'hôtel, il n'était plus disponible. Je m'inquiétais pour notre garçon, car je trouvais qu'il respirait bizarrement dû à sa grippe et il se touchait les oreilles et j'avais peur pour une otite. Je me disais que dans l'avion ce serait sûrement douloureux s'il faisait une otite. Pour ce qui est de l'otite, l'infirmière ne pouvait rien nous confirmer, car elle n'était pas médecin. Pour sa respiration que je trouvais étrange, elle suggéra de lui faire respirer de l'eau saline à l'aide d'un masque. Nous étions d'accord, mais ce ne fut pas facile, car il ne voulait pas se laisser faire, mais lorsqu'il sentit que ça lui faisait du bien, il se laissa faire. Elle nous suggéra d'aller voir un médecin dès notre arrivée au Canada. Nous avions justement un rendez-vous avec le pédiatre spécialisé en adoption internationale le lundi suivant. Finalement, nous avions pris une bonne décision de le laisser avec sa famille d'accueil pendant qu'il était malade, car j'étais stressée à savoir si sa condition était normale. C'était notre premier enfant et je n'avais aucune expérience et encore moins avec un enfant malade.</div>Karinehttp://www.blogger.com/profile/11641144327059348221noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6532280693194557013.post-49044971194037521442009-08-17T21:54:00.017-04:002010-07-03T20:35:25.208-04:0033- Séjourner à Manille<div style="text-align: justify;"><br />La durée de notre <span style="font-weight: bold;">séjour</span> était d'<span style="font-weight: bold;">une semaine</span> (départ de Montréal le 21 novembre 2008 et arrivée à Montréal le 29 novembre 2008). De plus, lors de notre séjour, nous avions un <span style="font-weight: bold;">décalage</span> <span style="font-weight: bold;">horaire</span> de <span style="font-weight: bold;">13 heures en avant</span>. Aussi, nous avons pu constater dès notre sortie de l'aéroport que le climat était tropical, très chaud et humide. Sur la plupart des îles, la <span style="font-weight: bold;">saison des pluies</span> coïncide avec la mousson d’été, qui dure de <span style="font-weight: bold;">mai à novembre</span> ; le vent souffle alors du sud-ouest. La <span style="font-weight: bold;">saison sèche</span> correspond à la mousson d’hiver, qui s’étend de <span style="font-weight: bold;">décembre à avril</span> lorsque le vent souffle du nord-est. De <span style="font-weight: bold;">juin à octobre</span>, l’archipel des Philippines est balayé par des <span style="font-weight: bold;">typhons</span> (cyclones tropicaux) qui peuvent causer d’immenses dégâts. Dans notre cas, nous étions dans la fin de la saison des pluies. Nous avons pu le constater avec la présence de certaines averses, qui me faisaient penser à nos averses du Québec pendant les périodes humides de l'été. Puis, pour tout le long de notre séjour, nous avons constaté que l'<span style="font-weight: bold;">Anglais</span> est partout dans Manille (aéroport, hôtels, restaurants, commerces, famille d'accueil, Parenting Foundation, ICAB ) et que le <span style="font-weight: bold;">Tagalog</span> est présent dans les familles, lorsque ceux-ci parlent entre eux. Alors, ça été très utile que mon conjoint soit presque bilingue et que mon beau-père le soit.<br /><br />Pour ce qui est de <span style="font-weight: bold;">prévenir la maladie</span> en voyage, il ne faut pas devenir fou, se comporter de manière extravagante et voir le mot «Maladie» partout. Premièrement, nous avions ammené de l'assainisseur à mains et nous ne l'avons pas utilisé. Nous avions un hôtel 5 étoiles à Manille et nous lavions nos mains avec l'eau du robinet et du savon. Aussi, nous n'avons pas fait bouillir l'eau du robinet et n'avons pas mis de solution iodée à 5% dans de l'eau de carafe, pour la même raison que notre hôtel était un 5 étoiles. Nous avons brossé nos dents avec l'eau du robinet de l'hôtel et n'avons eu aucun problème. Par contre, nous avons bu l'eau embouteillé fourni par l'hôtel. De plus, nous n'avons appliqué acune protection contre les insectes. De toute façon, nous n'avons pratiquement pas été à l'extérieur, car nous allions tous les jours au condominmium de la famille d'accueil. Par contre, mon beau-père s'est baigné dans la piscine extérieur de l'hôtel et a eu certaines piqûres de moustiques, mais n'a eu aucune conséquence grave. Il a eu des symptômes de grippe dont nous n'avons pas pu identifier la vrai cause, piqûre d'insectes ou air pollué.<br /><br />En ce qui concerne le <span style="font-weight: bold;">choc culturel</span>, nous en n'avons pas eu un gros à Manille, même si c'était notre premier voyage à l'international. Nous trouvions que Manille ressemblait à Montréal mais avec plus de gratte-ciels, plus de population, plus d'itinérants et plus de chiens errants. Il y avait beaucoup de <span style="font-weight: bold;">Fast-food</span>; tel Mc Donald's, Pizza Hut et Starbucks Coffee. Aussi, puisqu'ils sont <span style="font-weight: bold;">catholiques</span> et que nous avons voyagé 1 mois avant Noël, nous avons souvent vu des <span style="font-weight: bold;">décorations de Noël</span>. Cependant, nous avons trouvé bizarre d'entendre des chansons de Noël, que nous connaissions (d'ailleurs ils écoutent beaucoup de musique américaine, je reconnaissais très bien les chansons à la radio) en sandales et de voir des lumières de Noël sur des palmiers. Aussi, nous avons trouvé spéciale de voir des gens faire du Karaoké dans les épiceries et dans certains magasins à grande surface. Nous avons pu constater que ce type d'activité est très imprégné dans leur vie, car la famille d'accueil nous l'avait offert, mais mon conjoint a refusé, car il n'est pas très amateur de Karaoké. Par contre, ce qui nous a rendu le plus stupéfaits, c'est de voir qu'il n'y avait pas de lumières de signalisation et d'Arrêt Stop à certaines <span style="font-weight: bold;">intersections </span>très achalandées. Nous avons vu des ''Full Stop'', mais peu. Pour les intersections, les plus audacieux passaient en premier et ceux avec un klaxon montraient leur priorité. De toute façon, la dame de la famille d'accueil ne nous encourageait pas à conduire, nous-mêmes, une voiture de location, car la police est corrompue dans ce pays et nous risquions d'avoir de gros problèmes, vu que nous étions des touristes. De plus, pour essayer de contraindre la pollution, à chaque jour il y avait des numéros de plaque qui ne pouvaient pas circuler en exception des véhicules d'urgence. Cependant, pour les gens riches cette tactique ne fonctionne pas, car ils prennent leur autre voiture. Donc, nous avons été peu angoissé, car nous nous sommes retrouvés dans un certain cadre de référence connu, c'est-à-dire, qu'on sentait que l'on pouvait se fondre, d'une certaine façon, dans le décor. Aussi, vu qu'il n'y avait peu de différence culturelle, ça nous a permis de ne pas se sentir déstabilisé et nous a permis d'éviter de vivre des moments difficiles.<br /><br />D'autre part, nous avons constaté que les philippins ne connaissaient sûrement pas ''Super Nanny'' et ''Dre Nadia''. Nous avons remarqué dans les centres d'achat, à l'aquarium de Manille et dans l'avion, que les <span style="font-weight: bold;">enfants philippins</span> pouvaient faire ce qu'ils voulaient et qu'ils étaient très <span style="font-weight: bold;">énergiques</span>. Dans les centres d'achat, il était fréquent de voir un petit enfant philippin courir ou crier. À l'aquarium de Manille, il y avait un écriteau avec inscrit dessus de ''garder le silence'' pour ne pas troubler les animaux aquatiques et les gens ne le respectaient pas du tout. Il y avait tout un brouhaha de bruits avec le nombre impressionnant de visiteurs, qui essayaient de tout voir. Dans l'avion de retour (Manille-Tokyo), j'ai remarqué un petit garçon philippin, qui dérangeait l'homme assis derrière lui sans que sa mère ne dise un mot et l'homme faisait comme s'il ne le voyait pas. En conséquence, les <span style="font-weight: bold;">philippins</span> sont un peuple très <span style="font-weight: bold;">souriant</span> et <span style="font-weight: bold;">courtois</span>. À chaque fois que nous croisions un employé dans l'hôtel, à l'entrée ou à la sortie de l'hôtel, ceux-ci nous saluaient immédiatement avec politesse en mettant une emphase sur la femme (''Good morning mam''). Aussi, dans les centres d'achat, il y avait beaucoup de commis visibles et disponibles à nous servir. Je pourrais dire qu'il y avait presque un employé par rangée, mais clairement plus d'un employé par département. Dès qu'ils nous voyaient, ils nous saluaient poliment en mettant encore l'emphase sur la femme (''Good morning mam'').<br /><br />Définitivement, pour la <span style="font-weight: bold;">sécurité à Manille</span>, celle-ci était très bien organisée. À notre hôtel, elle était présente à l'entrée de la cour avec une <span style="font-weight: bold;">escouade canine</span> et à l'entrée du hall d'entrée avec des agents de sécurité avec un <span style="font-weight: bold;">détecteur d'explosif</span>. Aussi, il y avait des <span style="font-weight: bold;">agents de sécurité</span> dans la majorité des petits restaurants (présence sécurisante) près de notre hôtel et à l'entrée et à la sortie des grands centre d'achat (vérification des sacs-à main et autres). Dans les rues près de la résidence de la famille d'accueil, c'est une <span style="font-weight: bold;">zone sécurisée</span> avec un agent de sécurité qui actionne une barrière pour laisser passer seulement les gens autorisés. J'ai remarqué, que lorsque le chauffeur de la famille d'accueil quittait la zone sécurisée, il verrouillait les portes. Alors, je n'ai eu aucune crainte durant mon séjour. Lorsque nous nous promenions sans la famille d'accueil, je tenais la main de mon mari. Lorsque je mettais des jupes, je me faisais remarqué par certains, selon mon conjoint et mon beau-père, mais rien de grave. D'ailleurs, les employées de notre hôtel était habillée très sexy avec leur jupe longue échancrée jusqu'à la hanche.<br /><br />Pour ce qui est du taux de change, celui-ci est d'environ <span style="font-weight: bold;">40 pesos Philippin pour 1$ US </span>et il y a des <span style="font-weight: bold;">comptoirs d'échange</span> à l'<span style="font-weight: bold;">aéroport</span>, dans les <span style="font-weight: bold;">grands hôtels</span> et les <span style="font-weight: bold;">grands centre d'achat</span>. Aussi, les <span style="font-weight: bold;">cartes de crédit</span> sont acceptées presque partout (taux de change plus avantageux). Pour nous, nous n'avons eu aucun problème de paiement avec notre carte de crédit, car nous les avons appelé avant notre départ pour ne pas qu'il soit surpris et qu'il ne soupçonne pas de fraude. La seule fois où nous avons eu un problème de paiement, est lors de notre journée de magasinage du mercredi dans le magasin SM Department Store dans le <a href="http://en.wikipedia.org/wiki/SM_Megamall">SM Megamall</a> (un des plus grans centre d'achats d'Asie). Vu que ce magasin est sur plusieurs étages, nous payions nos articles à chaque département avec notre carte de crédit, mais nous avions fait plusieurs paiements en peu de temps. Alors, lors d'une transaction, le caissier nous a averti que notre carte ne voulait pas fonctionné et qu'elle inscrivait un message de communiquer avec eux. Le commis nous a répondu que notre carte ne fonctionnait pas, ça ne fait pas partie de leurs tâches de communiquer avec les compagnies de carte de crédit. Donc, nous avons laissé nos articles sur le comptoir et l'avons averti que nous n'avions pas assez de Pesos Philippin sur nous et que nous allions nous en procurer. Ce que nous avons fait, car il y avait un comptoir d'échange pas très loin dans ce magasin à plusieurs étages. Une fois, notre argent en main, nous sommes retournés payer nos articles. Le lendemain, nous avons réessayé notre carte de crédit et elle fonctionnait parfaitement. Alors, nous aurions dû payer après avoir trouvé tout ce que l'on voulait, ça nous aurait éviter cette péripétie. Pour les autres fois, nous nous étions procurés des pesos philippin à notre hôtel.<br /><br />Pour ce qui est de la <span style="font-weight: bold;">travailleuse sociale responsable de notre dossier à Manille</span>, habituellement, elle aurait dû nous contacter aux Philippines, car elle est avisée de notre arrivée par le bureau de Formons une Famille (nom de notre hôtel). Cependant, dans notre cas, nous savions déjà l'heure de la rencontre avec la travailleuse sociale, car notre personne-ressource, nous a appelé quelques jours avant notre départ pour nous informer du déroulement. Elle m'a appelé à la maison pour nous informer que la première rencontre se ferait le Dimanche 23 Novembre, car la famille d'accueil, nous avait invité à assister avec eux à la messe du dimanche et que nous retournerions le soir sans notre enfant pour le prendre définitivement le lundi. J'en ai informé mon conjoint et je lui ai demandé s'il était intéressé à assister à la messe du dimanche. Il m'a répondu par l'affirmative et j'en ai informé ma personne-ressource. Par la suite, la famille d'accueil en a été informée et notre personne-ressource nous a recontacté pour nous aviser que la travailleuse sociale responsable de notre enfant viendrait nous chercher à 10h00 dans le hall d'entrée de notre hôtel.<br /></div>Karinehttp://www.blogger.com/profile/11641144327059348221noreply@blogger.com2tag:blogger.com,1999:blog-6532280693194557013.post-28959368866247945392009-05-24T21:45:00.032-04:002010-01-16T15:59:34.776-05:0032- Partir pour les Philippines<div style="text-align: justify;"><br />Pour les <span style="font-weight: bold;">Philippines</span>, en principe, les <span style="font-weight: bold;">2 parents</span> doivent se rendre dans le pays. Si un seul des 2 peut y aller, ce doit être le parent identifié comme répondant, lors de la demande de parrainage à Immigration Canada. Dans notre cas, nous sommes allés tous les deux et en plus nous avons demandé à mon beau-père de nous accompagner. En premier-lieu, nous avions demandé à ma belle-mère et à mon beau-père de voyager avec nous, vu qu'ils étaient tous les deux à leur retraite. Par contre, ma belle-mère a décliné l'offre dû à ses problèmes d'oreille lorsqu'elle prend l'avion et ses engagements reliés à son école de danse. Nous voulions qu'ils nous accompagnent, car le père à mon conjoint a beaucoup voyagé pour son travail et nous n'avions aucune expérience en vol d'avion internationale. Aussi, je savais que je pouvais compter sur eux pour me rassurer dans l'avion, vu que c'était la première fois que je prenais l'avion. De plus, ils avaient l'expérience d'être parent et d'avoir adopté 3 enfants.<br /><br />Ma dernière journée de travail fut le lundi 17 novembre 2008. Ce qui m'a laissé mardi et mercredi pour finaliser les derniers préparatifs pour l'arrivée de notre garçon et pour préparer nos bagages. Cela nous a permis de ne pas trop être à la course et nous a évité bien du stress.<br /><br />Pour ce qui est de la <a style="font-weight: bold;" href="http://docs.google.com/Doc?docid=0AWrIKbWxbqSzZGQycjI1d18wZjN4c3M1OTY&hl=en">liste des bagages</a>, j'avais trouvé une liste plus exhaustive, mais vu que nous allions à Manille, il n'était pas nécessaire de stériliser l'eau et d'amener des antibiotiques. Les <span style="font-weight: bold;">bouteilles d'eau</span> étaient fourni à notre hôtel (nous nous sommes brossés les dents avec l'eau du robinet de l'hôtel sans problème), il y avait un <span style="font-weight: bold;">docteur</span> et une <span style="font-weight: bold;">infirmière</span> disponible pour les clients de notre hôtel et les <span style="font-weight: bold;">pharmacies</span> sont très accessibles à Manille. Mon beau-père a été malade toute la semaine (grippe) et j'avais oublié d'amener un sirop contre le mal de gorge et il s'en est procuré très facilement. Enfin, ce qui m'a été nécessaire dans l'avion c'est mon ibuprofène et mon anti-diarrhée. J'ai eu des crampes à l'aller et au retour, mais lors du voyage de retour, j'avais oublié de mettre mon ibuprofène dans mon bagage de cabine et j'ai eu tout un mal de tête. Mon conjoint m'a alors acheté de l'ibuprofène, enfin je crois que s'en était car c'était écrit en japonais sur la boîte, à l'aéroport de ToKyo à Narita. Il est important de prévenir les problèmes, mais il est possible de tout trouver à Manille ou dans les aéroports et vu que tout c'est bien déroulé, les documents apportés n'ont pas été nécessaires. Aussi, nous nous sommes procurés de l<span style="font-weight: bold;">'argent américain </span>à la Caisse de notre région, mais nous aurions pu laisser faire, car notre hôtel avait une navette de l'aéroport de Manille jusqu'à l'hôtel (chargé à notre chambre) et il y avait des guichets d'échange à l'hôtel et aux centres d'achat de Manille, qui étaient très près de notre hôtel. Pour ce qui est des items que j'avais choisi de ne pas apporter, car j'avais lu sur les Philippines que le pays était quelque peu dangereux et avec à l'occasion des enlèvements avec rançon, j'ai regretté de ne pas avoir emmener mon appareil-photo numérique et mon sac-à-main (je ne voulais pas exposé des objets de valeurs). J'avais demandé à mon beau-père d'amener sa <span style="font-weight: bold;">caméra-vidéo</span> pour filmer notre rencontre, mais j'aurais très bien pu prendre des <span style="font-weight: bold;">photos</span> en faisant attention et les agents de sécurité sont présents dans à peu près tous les magasins, restaurants et hôtels dans Manille. Pour mon <span style="font-weight: bold;">sac-à-main</span>, je n'ai pas trouvé intéressant de trainer le sac ventral sous mes vêtements avec l'humidité qu'il y avait. Finalement, j'aurais dû vérifier le site d'<a href="http://www.aircanada.com/fr/travelinfo/airport/baggage/index.html">Air Canada</a> pour mes bagages, car j'ai appris par mon beau-père que je n'avais le droit qu'à 100 ml de liquide ou de crème dans mes bagages de cabine. Alors, j'ai dû réorganiser mes valises quelques minutes avant de partir. De plus, j'aurais dû visiter le site d'<a href="http://www.catsa-acsta.gc.ca/francais/help_aide/faq/preparation_preparatifs.shtml">administration canadienne de la sûreté du transport canadien</a>, car j'aurais mis mes items liquides et en crème dans des sacs scellés pour ne pas qu'avec la pression dans la soute, ceux-ci fendent et se répandent dans mes bagages (ça nous est arrivé lors de notre retour au Canada).<br /><br />Notre vol de l'<span style="font-weight: bold;">aéroport de Montréal</span> était prévu pour le <span style="font-weight: bold;">vendredi 21 novembre à 7h50</span>, mais vu que nous vivons à environ 3h30-4h00 de l'aéroport de Montréal, nous avons décidé de coucher la veille de notre vol d'avion chez ma sœur qui est à environ 30 min-1 heure de l'aéroport. La dernière journée de travail de mon conjoint a été le mercredi 19 novembre. Donc, nous sommes partis le jeudi 20 novembre chez ma sœur et nous devions calculer dans l'horaire de jeudi un trajet d'environ 4h30 pour se rendre chez elle. Pour notre vol du vendredi, il fallait arriver 2 heures avant l'heure de départ prévue, selon l'expérience de mon beau-père, pour enregistrer nos bagages et prendre nos cartes d'accès à bord (boarding pass). Alors, nous nous sommes levés vers 4h00-4h30 am pour que mon beau-frère (ma sœur n'était pas disponible) vienne nous reconduire à l'aéroport avec le véhicule de mon beau-père (nous avions pris son véhicule, car il était plus spacieux que le nôtre pour mettre nos bagages) pour qu'il le reprenne et ne le laisse pas toute la semaine dans le stationnement de l'aéroport pour éviter un vol ou du vandalisme. Aussi, vu qu'il y avait de la neige au mois de novembre, nous aurions voulu que mon beau-frère garde nos bottes, tuques, foulard et manteau et qu'il nous les ramènent, lors de notre retour à l'aéroport de Montréal. Nous avons oublié ce détail et avons dû les mettre dans nos bagages en soute. Par contre, j'ai gardé mon manteau, mais j'ai enlevé la doublure.<br /><br /><div style="text-align: justify;">À partir du débarcadère de l'<a href="http://www.admtl.com/passager/EnBref.aspx"><span style="font-weight: bold;">aéroport de Montréal</span></a>, nous avons repéré la porte d'entrée de notre compagnie aérienne <a style="font-weight: bold;" href="http://www.aircanada.com/fr/home.html">Air Canada</a>. En entrant dans l'aéroport, nous avons consulté le panneau d'affichage pour trouver le comptoir de notre compagnie aérienne et nous avons regardé sur les écrans s'il y avait un changement à notre vol.<br /><br />Ensuite, nous avons utilisé les <span style="font-weight: bold;">bornes libre-service</span> pour obtenir nos cartes d'accès à bord (boarding pass) pour chacun des segments de notre vol (Montréal-Vancouver, Vancouver-Tokyo Narita) avec l'aide de nos billets électroniques émis par notre agence de voyage. Il faut suivre les instructions écrits à l'écran et les suivre jusqu'à la fin, car nous n'avions pas vu que nos étiquettes pour nos bagages en soute étaient disponible sur ceux-ci. Alors, après voir obtenu nos cartes d'embarquement, nous nous sommes dirigés vers un commis de notre compagnie aérienne où ils prennent les bagages en soute, car nous croyions qu'ils nous donneraient les étiquettes là-bas. Une fois rendu à notre tour, le commis nous avisa qu'il fallait les prendre aux bornes libre-service. Donc, nous sommes retournés aux bornes libre-service et avons demandé au représentant d'Air Canada qui supervisait les bornes et qui répondait aux questions comment faire pour récupérer nos étiquettes à bagages.<br /><br />Après avoir obtenu nos étiquettes pour nos bagages et les avoir collés sur nos bagages en soute, nous nous sommes redirigés vers un <span style="font-weight: bold;">commis de notre compagnie aérienne au dépôt à bagages</span> pour lui remettre nos bagages à mettre en soute et pour qu'il complète les <a href="http://www.aircanada.com/fr/travelinfo/airport/baggage/checked.html">formalités requises</a>.<br /><br />Ensuite, nous nous sommes dirigés vers les <span style="font-weight: bold;">points de contrôle de sécurité</span> avec notre passeport en main. Nous avons déposé nos manteaux, notre monnaie, nos ceintures et nos bagages de cabine dans un bac et les liquides et crèmes transportés dans nos bagages de cabine dans un sac de plastique transparent pour être scanné et pour vérifier que nous n'avions rien d'interdit à transporter dans l'avion. Si j'avais lu le <a href="http://www.catsa.gc.ca/francais/preparez_vos_bagages_intelligemment.html">processus de contrôle de l'Administration canadienne de la sûreté du transport aérien</a>, j'aurais su qu'il fallait mettre les liquides et les crèmes dans des sacs de plastique transparent, alors je les aurais tout simplement mis dans mes bagages de soute. Ça m'aurait éviter d'être mal-à-l'aise lorsque le douanier a examiné ma boîte de Canesten (en cas de vaginite) pour vérifier si la quantité était légale. J'avais l'impression qu'il exposait la boîte pour que tout le monde pense que j'avais une vaginite, qui n'était pas le cas. Je l'avais emmené, au-cas où avec le stress et l'eau des Philippines, je contracte une vaginite. Finalement, après que les douaniers aient vérifiés nos bacs, nos sacs de plastique transparent, nos passeports et que nous ayons passer à travers le détecteur de métal, nous avons pu reprendre nos choses et se diriger vers notre porte d'embarquement inscrite sur notre carte d'accès à bord (boarding pass).<br /><br />Avant de se diriger vers notre porte d'embarquement, nous avons déjeuné dans la <span style="font-weight: bold;">jetée internationale</span> chez Tim Hortons vers 7h10, car notre premier segment de vol ne comprenait pas de repas et nous n'avions pas encore déjeuner. Finalement, une chance que mon beau-père était là pour nous diriger. Nous avons pu économiser du temps (pas besoin de lire et d'analyser les panneaux d'affichage pour savoir où se diriger) et avoir le temps de déjeuner même s'il était inscrit sur notre billet que l'heure d'embarquement était 6h55.<br /><br />Après avoir mangé rapidement, nous nous sommes dirigés vers notre <span style="font-weight: bold;">porte d'embarquement</span> et nous nous sommes assis dans la salle attenant à notre porte d'embarquement. Nous avons attendu que le commis d'Air Canada fasse l'appel de l'embarquement pour notre vol dans l'<a href="http://www.aircanada.com/fr/about/fleet/a321-200xm.html">Airbus 321</a>. <strong>Vers 7h50</strong>, ils ont fait entré la classe Affaire suivi des familles avec enfant et le reste des voyageurs en 2 coups (les gens assis dans le fond de l'avion en premier). Alors, nous nous sommes dirigés vers le commis, qui avait un carton dont nos numéros de siège étaient inscrits dessus, avec nos passeports et nos cartes d'accès à bord (boarding pass) en main. Une fois nos passeports vérifiés et nos cartes d'accès à bord redonné, nous avons pu rechercher nos sièges respectifs et serrer nos bagages dans le compartiment à bagage en haut de nos sièges.<br /><br />Une fois bien assis dans nos sièges dans la <a href="http://www.aircanada.com/fr/travelinfo/onboard/comfort_intecono.html">classe économique</a> et bien attaché (mon beau-père m'a dit qu'il est préférable de rester attacher tout le long du voyage, même si la consigne de ceinture de sécurité n'est pas allumé. C'est pour éviter, lorsque nous dormons, de ne pas être attaché lorsque la consigne s'allume), nous étions près pour le décollage de notre vol <span style="font-weight: bold;">Montréal-Vancouver</span>. Lorsque nous avons monté en altitude, j'ai senti mes oreilles se boucher, mon beau-père m'a alors suggéré de bailler pour les aider à se déboucher. Après avoir atteint notre altitude de croisière, les consignes de ceinture de sécurité ce sont éteintes, nous avons pu baisser notre tablette et notre siège et nous avons pu avoir accès à notre <a href="http://www.aircanada.com/fr/travelinfo/onboard/entertainment/index.html">écran individuel à commande tactile</a>. Par contre, il fallait acheter les écouteurs à peu de frais. La <strong>durée de notre vol</strong> était <strong>d'environ 5h49</strong>, mais lors du décollage, le pilote de l'avion annonça au micro (français et anglais) la température actuelle à Montréal et Vancouver et l'estimation de la durée du vol avec les vents ressentis. Alors, pour passer le temps, j'ai visionné des films, des émissions de télévision et j'ai écouté de la musique. Lorsque j'étais tanné de regarder mon écran individuel à commande tactile, j'ai essayé de <span style="font-weight: bold;">dormir</span> avec l'oreiller cervical et le masque de repos prêtés par mes beaux-parents et mon manteau comme couverture. Je ne me sentais pas confortable avec l'oreiller cervical et j'avais de la difficulté à me trouver une position dans mon siège pour dormir. Les sièges en classe économique ne sont pas très confortables et j'ai eu des douleurs au coccyx, ce qui m'occasionnait des changements fréquents de position pour rechercher le confort qui ne durait pas très longtemps. Aussi, le bruit des moteurs, même s'ils ne sont pas extrêmement bruyants, m'empêchaient de dormir. De plus, j'ai eu des <span style="font-weight: bold;">crampes</span> qui me faisaient me rendre fréquemment au toilette. Mon beau-père m'a taquiné en me disant que j'étais en contraction. Alors, j'ai dû prendre des pilules anti-diarrhée, que j'avais apporté dans mon bagage de cabine, ce qui m'a permis de me sentir mieux jusqu'à l'arrivée à notre hôtel. Aussi, lors de notre vol, nous avons ressenti un peu de <span style="font-weight: bold;">turbulence</span>, mais mon beau-père me sécurisait à chaque fois, en me disant qu'il n'y avait rien là, qu'il avait vécu bien pire dans ces nombreux vols d'avion. J'ai même vu des gens ne pas s'attacher du tout et se coucher de tout leur long sur les sièges qui n'étaient pas occupés à côté d'eux. Il y avait aussi des gens qui laissaient traîner leur ceinture de sécurité dans le couloir, ce qui occasionnait du trouble aux hôtesses de l'air, lorsqu'elles transportaient leur charriot de nourriture et de breuvages qui passait de justesse dans le couloir. Pour la <span style="font-weight: bold;">nourriture</span> et le <span style="font-weight: bold;">breuvage</span>, il était possible de s'en procurer en déboursant un montant en dollar canadien ou américain. Finalement, lorsqu'il a été le temps d'<span style="font-weight: bold;">atterrir</span> à <span style="font-weight: bold;">Vancouver</span>, les consignes de ceinture de sécurité ce sont allumées, nous avons dû redresser notre tablette et notre siège et nos écrans individuels à commande tactile n'étaient plus disponibles. J'ai encore senti que mes oreilles bouchaient, mais avec une douleur un peu plus intense qu'au décollage. Le pilote de l'avion nous a informé (français et anglais) de la température actuelle à Vancouver et de l'heure locale. Nous sommes <strong>arrivés vendredi vers 10h39</strong> (heure locale de Vancouver), donc mon beau-père a reculé sa montre de trois heures. Une fois atterri, nous nous sommes détachés, nous avons pris nos bagages de cabine dans le compartiment à bagages en haut de nos sièges et sommes sorti de l'avion en ne mettant notre manteau seulement pour le transfert de l'avion jusqu'à ce qu'on soit dans l'aéroport (froid ressenti dans le couloir, vu la température en novembre).<br /><br /></div><div style="text-align: justify;"> </div><div style="text-align: justify;"></div><div style="text-align: justify;"><strong></strong></div><div style="text-align: justify;">Une fois entré dans <strong><a href="http://www.yvr.ca/fr_web/index.asp">l'aéroport de Vancouver</a></strong>, vu que nous avions déjà nos cartes d'embarquement pour le vol de correspondance à Tokyo, nous avons suivi les indications pour nous diriger, par le corridor des correspondances, vers la porte d'embarquement des départs internationaux appropriée. Il ne fallait pas quitter la zone de sécurité, sinon nous devrions, pour y revenir, nous soumettre au contrôle de sécurité. Vu que nous avions environ <span style="font-weight: bold;">2 heures</span> à attendre avant de prendre le prochain vol, nous avons appeler ma belle-mère (vers 13h45, heure du Québec) avec notre cellulaire pour lui dire que notre vol c'était bien passé et que la prochaine fois que nous la contacterions, nous serions à Manille. Ensuite, nous avons pris une <span style="font-weight: bold;">collation</span> au Starbucks de l'aéroport, même si dans notre prochain vol, nous avions 2 repas d'inclus, car pour nous, il était 14h00 (heure du Québec) et nous n'avions pas encore dîner. Après avoir mangé, nous nous sommes promenés dans les <span style="font-weight: bold;">boutiques de l'aéroport</span>. Lorsque nous avons vu les produits typiquement canadien (sirop d'érable et articles avec une image d'une feuille d'érable), nous nous sommes demandés si nous devrions en acheter pour la famille d'accueil. Nous avons décidé de laisser faire, car nous n'avions aucune idée de comment ce serait perçu par eux et nous ne connaissions pas trop les us et coutumes des Philippines. Avec la façon dont c'est déroulé notre semaine aux Philippines, nous avons regretté de ne pas leur en avoir acheté. Finalement, nous nous sommes dirigés vers la <span style="font-weight: bold;">porte d'embarquement</span> inscrite sur nos cartes d'accès à bord (boarding pass) et nous avons attendu dans la salle. L'embarquement, dans le <a href="http://www.aircanada.com/fr/about/fleet/77W.html"><strong>Boeing 777</strong></a><strong> d'Air Canada</strong>, était prévu pour 11h55 et le <strong>départ</strong> pour <strong>12h30</strong>. L'embarquement c'est fait de la même façon qu'à Montréal.<br /><br /></div><div style="text-align: justify;"> </div><div style="text-align: justify;"></div><div style="text-align: justify;">Une fois bien assis dans nos sièges dans la <a href="http://www.aircanada.com/fr/travelinfo/onboard/comfort_intecono.html">classe économique</a> et bien attaché, nous étions près pour le décollage de notre vol <strong>Vancouver-Tokyo Narita</strong>. Lorsque nous avons monté en altitude, j'ai encore senti mes oreilles se boucher et j'ai dû encore bailler pour les aider à se déboucher. Après avoir atteint notre altitude de croisière, les consignes de ceinture de sécurité ce sont éteintes, nous avons pu baisser notre tablette et notre siège et nous avons pu avoir accès à notre <a href="http://www.aircanada.com/fr/travelinfo/onboard/entertainment/index.html">écran individuel à commande tactile</a>. Cette fois-ci, les écouteurs étaient gratuits et nous pouvions les conserver. La <strong>durée de notre vol</strong> était <strong>d'environ 9h50</strong>, mais lors du décollage, le pilote de l'avion annonça au micro (anglais et japonnais) la température actuelle à Vancouver et Tokyo et l'estimation de la durée du vol avec les vents ressentis. Alors, pour passer le temps, j'ai encore visionné des films, des émissions de télévision et j'ai écouté de la musique. Lorsque j'étais tanné de regarder mon écran individuel à commande tactile, j'ai essayé de <span style="font-weight: bold;">dormir</span> avec l'oreiller et la couverture fourni dans l'avion et le masque de repos prêtés par mes beaux-parents. J'ai encore eu de la difficulté à me trouver une position dans mon siège pour dormir. Alors, je n'ai pas encore été capable de dormir. Lors de notre vol, nous avons aussi ressenti un peu de turbulence, mais rien d'énervant. Pour les <a href="http://www.aircanada.com/fr/travelinfo/onboard/dining/intl/hospitality/index.html">2 repas compris</a>, ils ont servi le premier repas (riz, patates, choix de viande, salade, breuvage et vin, dessert) dans les 3 premières heures de vol et le deuxième repas (riz, patates, choix de viande, salade, breuvage et vin, dessert) dans les 2 dernières heures. Par contre, je n'ai pas pris le deuxième repas, car je ne me sentais pas très bien et je n'avais pas tellement faim. Aussi, vers la fin de notre vol, les hôtesses de l'air offraient un formulaire pour l'immigration. Nous n'en avons pas pris, car nous ne faisions qu'une escale au Japon. Finalement, lorsqu'il a été le temps d'<span style="font-weight: bold;">atterrir</span> à <span style="font-weight: bold;">Tokyo</span>, les consignes de ceinture de sécurité ce sont allumées, nous avons dû redresser notre tablette et notre siège et nos écrans individuels à commande tactile n'étaient plus disponibles. J'ai encore senti que mes oreilles bouchaient, mais avec une douleur assez intense et qui m'a fait peur. Le pilote de l'avion nous a informé (anglais et japonnais) de la température actuelle à Tokyo et de l'heure locale. Nous sommes <strong>arrivés samedi vers 15h20</strong> (heure locale de Tokyo), donc mon beau-père a avancé sa montre de 17 heures. Une fois atterri, nous nous sommes détachés, nous avons pris nos bagages de cabine dans le compartiment à bagages en haut de nos sièges et sommes sorti de l'avion en ne mettant pas notre manteau.<br /><br />Une fois à l<a style="font-weight: bold;" href="http://www.narita-airport.jp/en/">'aéroport de Narita à Toky0</a> dans le <a href="http://www.narita-airport.jp/en/guide/index_t1.html"><span style="font-weight: bold;">Terminal 1</span></a> , nous avons remarqué qu'il y avait une feuille accrochée au mur avec des noms d'inscrits. Nous avons lu les noms et avons remarqué que nos noms étaient inscrits sur cette liste. Nous sommes, donc, restés près des employées de l'aéroport et avons attendu que tous les voyageurs soient réunis. Nous avons suivi les demoiselles, qui nous dirigeaient vers le <a style="font-weight: bold;" href="http://www.narita-airport.jp/en/guide/index_t2.html">Terminal 2</a>, pour pouvoir prendre notre avion vers les Philippines. Avant de sortir du <span style="font-weight: bold;">Terminal 1,</span> nous avons dû passer un <span style="font-weight: bold;">point de sécurité</span>, qui ressemble à celui de l'aéroport de Montréal, mais avec en plus une caméra infra-rouge pour vérifier si nous faisions de la fièvre. Une fois sorti du Terminal 1, nous avons pris un <a style="font-weight: bold;" href="http://www.narita-airport.jp/en/access/terminal/index.html">autobus (navette)</a> gratuit pour se rendre au Terminal 2. Une fois arrivée au <span style="font-weight: bold;">Terminal 2</span>, nous avons dû repasser dans un autre <span style="font-weight: bold;">point de sécurité</span>. Par la suite, mon beau-père a décidé de suivre les pancartes et nous avons pris un <span style="font-weight: bold;">tramway</span> pour se diriger dans le terminal 2. Une fois sorti de celui-ci, nous nous sommes renseignés pour savoir où prendre nos <span style="font-weight: bold;">boarding pass </span>pour notre vol Tokyo-Manille. Nous avons appris que c'était près de l'endroit où nous avions pris le tramway. Nous avons, donc, dû reprendre le tramway et retourner a l'endroit expliqué. Ce n'était pas grave, car nous avions le temps, vu que nous avion <span style="font-weight: bold;">3h00</span> à attendre et que notre vol était pour <span style="font-weight: bold;">18h20</span>. Une fois nos boarding pass en main, nous avons pu <span style="font-weight: bold;">relaxer</span> à l'aéroport. Il y avait un écran géant avec une diffusion d'un match de lutte sumo. Nous avons remarqué que la culture japonaise est très imprégné de ce sport et je me suis ennuyé des matchs des Canadiens de Montréal. Vers <span style="font-weight: bold;">17h50</span>, heure d'embarquement, nous nous sommes dirigés vers la <span style="font-weight: bold;">porte d'embarquement</span> inscrite sur nos boarding pass et nous avons attendu dans la salle. L'embarquement dans le <a href="http://www.jal.co.jp/en/aircraft/conf/744.html"><span style="font-weight: bold;">Boeing 747</span></a> de<span style="font-weight: bold;"> </span><a href="http://www.jal.com/en/"><strong><span style="font-weight: bold;">Japan Airlines</span></strong></a>, c'est fait de la même façon qu'à Montréal et Vancouver.<br /><br />Une fois bien assis dans nos sièges dans la <a href="http://www.jal.co.jp/en/inflight/inter/economy/y_seat/"><span style="font-weight: bold;">classe économique</span></a> et bien attaché, nous étions près pour le décollage de notre vol<span style="font-weight: bold;"> </span><strong>Tokyo-Manille</strong>. Lorsque nous avons monté en altitude, j'ai encore senti mes oreilles se boucher et j'ai dû encore bailler pour les aider à se déboucher. Après avoir atteint notre altitude de croisière, les consignes de ceinture de sécurité ce sont éteintes, nous avons pu baisser notre tablette et notre siège et nous avons pu avoir accès à notre <a style="font-weight: bold;" href="http://www.jal.co.jp/en/inflight/inter/economy/y_enter/">écran individuel avec commande intégrée au siège</a> avec les écouteurs fournis. La <strong>durée de notre vol</strong> était <strong>d'environ 4h55</strong>, mais lors du décollage, le pilote de l'avion annonça au micro (anglais, japonnais et Tagalog) la température actuelle à Tokyo et Manille et l'estimation de la durée du vol avec les vents ressentis. Alors, pour passer le temps, j'ai encore visionné des films, des émissions de télévision et j'ai écouté de la musique. Lorsque j'étais tanné de regarder mon écran individuel avec commande intégrée au siège, j'ai essayé de <span style="font-weight: bold;">dormir</span> avec l'oreiller et la couverture fourni dans l'avion et le masque de repos prêtés par mes beaux-parents. J'ai encore eu de la difficulté à me trouver une position dans mon siège pour dormir. Alors, je n'ai pas encore été capable de dormir même si ça faisait environ 24 heures que je n'avais pas dormi. Lors de notre vol, nous avons aussi ressenti un peu de turbulence, mais rien d'énervant. Pour le <a href="http://www.jal.co.jp/en/inflight/inter/economy/y_meal/"><span style="font-weight: bold;">repas compris</span></a>, ils ont servi le riz, légumes, choix de viande, salade, breuvage et vin, dessert). Aussi, vers la fin de notre vol, les hôtesses de l'air offraient un <span style="font-weight: bold;">formulaire pour l'immigration</span>. Nous en avons pris chacun un et l'avons rempli dans l'avion. Finalement, lorsqu'il a été le temps d<span style="font-weight: bold;">'atterrir </span>à<span style="font-weight: bold;"> Manille</span>, les consignes de ceinture de sécurité ce sont allumées, nous avons dû redresser notre tablette et notre siège et nos écrans individuels avec commande intégrée au siège n'étaient plus disponibles. J'ai encore senti que mes oreilles bouchaient. Le pilote de l'avion nous a informé (anglais, japonnais et Tagalog) de la température actuelle à Manille et de l'heure locale. Nous sommes <strong>arrivés samedi vers 22h15</strong> (heure locale de Manille), donc mon beau-père a reculé sa montre de 1 heure. Une fois atterri, nous nous sommes détachés, nous avons pris nos bagages de cabine dans le compartiment à bagages en haut de nos sièges et sommes sorti de l'avion en ne mettant pas notre manteau.<br /><br />Une fois arrivé à l'<a href="http://www.manila-airport.net/"><span style="font-weight: bold;">aéroport international de Manille</span></a> dans le <span style="font-weight: bold;">Terminal 1</span>, nous nous sommes dirigés vers les <span style="font-weight: bold;">guichets d'immigration</span> avec nos passeports et nos billets électroniques émis par notre agence de voyage en main. Le responsable de l'immigration a pu constater que nos passeports étaient valides pour plus de 6 mois et que nous avions un vol de départ. Alors, il nous a automatiquement autorisé à entrer jusqu'à 21 jours sans visa. Après, nous nous sommes dirigés vers les <span style="font-weight: bold;">carrousels de bagages</span>. Nous avons regardé au-dessus de chacun d'eux pour repérer les informations de vol et se rendre vers le bon carrousel. Une fois que nos bagages ont été récupérés, nous nous sommes rendus aux <span style="font-weight: bold;">douanes</span> avec notre formulaire d'immigration en main pour le présenter au fonctionnaire des douanes. Ce formulaire déclare nos bagages et la raison de notre visite aux Philippines. Après les douanes, nous avons été dans le hall d'arrivée. Mon beau-père nous a conseillé de rechercher la <span style="font-weight: bold;">navette</span> de notre hôtel (près de 80 $ canadien) pour se rendre à celui-ci. Alors, nous sommes sortis à l'extérieur et avons recherché le <a href="http://www.shangri-la.com/en/property/manila/edsashangrila">EDSA Shangri-la</a>. Lorsque nous les avons repérés, nous sommes entrés à l'intérieur de leur local et leur avons montré notre réservation. Ils ont alors pris en charge nos bagages, nous ont offerts des bouteilles d'eau et nous ont offert de s'asseoir sur leur fauteuil en attendant la navette. Lorsque la navette est arrivé, ils ce sont occupés d'embarquer nos bagages et nous nous sommes dirigés vers l'hôtel, qui est à 13 km de l'aéroport international de Manille et qui est dans <a href="http://www.mandaluyong.gov.ph/">Mandaluyong City</a>. Une fois arrivé dans l'<span style="font-weight: bold;">allée de l'hôtel</span>, nous avons remarqué, qu'il y avait un employé avec une pancarte STOP et une escouade canine K9. Le conducteur de la navette a ouvert le coffre de la valise et le monsieur a fait sentir nos bagages à son chien. Ensuite, arrivé à l'entrée de l'hôtel, nous avons débarqué de la navette, les valets ont pris nos bagages et nous nous sommes dirigés vers la <span style="font-weight: bold;">porte d'entrée </span>avec devant celle-ci des agents de sécurité, qui passaient un détecteur sur nous et nos bagages. Après avoir goûté à la sécurité du pays et constaté la beauté des décorations de Noël (crèche grandeur nature et immense arbre de Noël), nous sommes dirigés vers l<span style="font-weight: bold;">'accueil</span> avec notre réservation en main et avons récupéré les cartes magnétiques de notre chambre. Ensuite, nous sommes dirigés vers l'ascenseur et avons constaté qu'il y avait un préposé à l'ascenseur (il nous dirigeait vers un ascenseur disponible). Arrivés à notre <span style="font-weight: bold;">chambre</span> vers minuit (heure locale de Manille), mon conjoint a donné un pourboire au valet après que celui-ci ait déposé tous nos bagages. Nous avons défait quelques bagages, car nous nous levions tôt le lendemain matin. Notre première rencontre avec notre fils se faisait le dimanche 23 novembre. Alors, lorsque je me suis couchés, ça faisait environ 32 heures que je n'avais pas dormi.<br /></div><div style="text-align: justify;"></div><div style="text-align: justify;"></div></div>Karinehttp://www.blogger.com/profile/11641144327059348221noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6532280693194557013.post-90930695478691653972009-05-24T21:31:00.007-04:002010-01-16T15:17:54.593-05:0031- Modifier notre testament<div style="text-align: justify;"><br />Nous avons fait modifier notre <span style="font-weight: bold;">testament</span> chez notre notaire pour s'assurer que s'il nous arrivait quelque chose, notre enfant serait sans problème avec les <span style="font-weight: bold;">tuteurs</span> que nous avions choisi. Donc, si jamais il nous arrivait quelque chose avant que nous obtenions notre ordonnance de placement, c'est les tuteurs de notre testament qui deviendraient les parents. Évidemment, le tout ce concrétiserait avec une ordonnance de la cour.<br /></div>Karinehttp://www.blogger.com/profile/11641144327059348221noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6532280693194557013.post-48396059808902218872009-05-05T16:05:00.011-04:002010-01-16T15:16:52.225-05:0030- Réserver les billets d'avion et l'hôtel<div style="text-align: justify;"><br />Nous avons choisi une <span style="font-weight: bold;">agence de voyage</span> dans notre région, car l'agence, présentée par notre organisme, était un petit peu plus cher pour nos billets d'avion en classe économique. La seule exigence, que notre organisme nous a suggéré, était que l'itinéraire de notre voyage ne comprenait pas d'escale aux États-Unis. Notre itinéraire a été <span style="font-weight: bold;">Montréal - Vancouver</span>, <span style="font-weight: bold;">Vancouver - Tokyo Narita</span>, <span style="font-weight: bold;">Tokyo Narita - Manille</span>. Aussi, nous avons acheté le billet de retour de notre enfant, en même temps que nos billets aller-retour. De plus, mon beau-père, nous accompagnait aux Philippines, alors il a acheté, lui aussi, son billet aller-retour.<br /><br />Pour ce qui est de l'<span style="font-weight: bold;">hôtel</span>, nous avons choisi <a href="http://www.shangri-la.com/en/property/manila/edsashangrila">Edsa Shangri-La</a>, car c'était le seul <span>hôtel</span><span style="font-weight: bold;"> </span>disponible, selon notre agence de voyage, près de la famille d'accueil de notre enfant (Mandaluyong). De plus, ce fut très long avant que notre agente trouve un hôtel, elle a fait plusieurs appels. Aussi, notre agence de voyage ne nous conseillait pas de réserver un hôtel par Internet, car nous risquions, selon eux, qu'une fois arrivés aux Philippines de ne pas avoir notre chambre réservé. La plupart des couples choisissent leur hôtel par Internet, mais nous préférions ne prendre aucune chance.<br /><br />De plus, lors des achats de nos billets et de la réservation d'hôtel, l'agence de voyage nous a suggéré des <span style="font-weight: bold;">assurances-voyage</span>, que nous avons pris. Par contre, nous aurions dû laisser faire, car mon conjoint dans son assurance-collective avait une assurance-voyage. Cependant, pour l'assurance-voyage de notre enfant, ni l'agence de voyage et ni l'assurance-collective de mon conjoint ne pouvait le couvrir. Alors, mon conjoint a téléphoné à la compagnie d'assurance <a href="http://www.qc.croixbleue.ca/corporatif/contact/contactez-nous.fr.html">Croix Bleue</a> pour prendre une assurance-voyage à notre fils à ses 2 noms (philippin et québécois).<br /><br />Finalement, nous avons envoyé par <span style="font-weight: bold;">télécopieur</span> à notre organisme, l'<span style="font-weight: bold;">itinéraire de notre voyage</span> (en anglais) et la <span style="font-weight: bold;">confirmation de réservation de l'hôtel</span> (en anglais), car notre organisme l'a envoyé à l'ICAB. De plus, notre organisme a avisé l'Ambassade du Canada à Manille de nos dates de séjour. Aussi, notre organisme nous a envoyé par Xpresspost, un <span style="font-weight: bold;">chèque</span>, à l'ordre de l'organisme responsable de notre enfant. Nous devions remettre ce chèque à la <span style="font-weight: bold;">travailleuse sociale de l'ICAB</span>, que nous allions rencontrer, lors de notre séjour aux Philippines. Ce chèque était pour les frais de garde de l'enfant et projet d'entraide, que nous avions déjà payé à notre organisme, lors de l'envoi de notre acceptation du jumelage.<br /><br /></div>Karinehttp://www.blogger.com/profile/11641144327059348221noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6532280693194557013.post-61682769070428271012009-05-05T09:33:00.010-04:002011-02-11T17:35:03.003-05:0029- Téléphoner à la clinique pédiatrique<div style="TEXT-ALIGN: justify"><br />J'ai téléphoné à la <a style="FONT-WEIGHT: bold" href="http://www.quebecadoption.net/adoption/sante/pediatres.html">clinique pédiatrique</a> de notre région, spécialisée en adoption internationale, lorsque j'ai su notre date d'arrivée au Canada avec notre enfant. Nous sommes arrivés le samedi 29 novembre et j'ai pris un rendez-vous pour le lundi 1er décembre à son nom philippin. Il était important de prendre un rendez-vous, le plus vite possible, car notre enfant adopté pouvait être porteur de certaines infections comme <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Imp%C3%A9tigo">l'impétigo</a>, la <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Gale">gale</a>, le <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Teigne">Tinea capitis</a>, la <a href="http://www.santeguerir.fr/contenu.php?id_guerir=3950">dermatite du siège</a>, la <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/P%C3%A9diculose">pédiculose du cuir chevelu</a>, la <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Larva_migrans">Larva migrans</a>, les <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Rhume">rhumes</a>, la <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Tuberculose">tuberculose</a>, la <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Gastro-ent%C3%A9rite">gastro-entérite</a>, <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/H%C3%A9patite_A">l'hépatite A</a>, les infestations entériques (<a href="http://www.phac-aspc.gc.ca/publicat/ccdr-rmtc/01vol27/rm2709fb.html">Blastocytis hominis</a>, <a href="http://translate.google.ca/translate?hl=fr&sl=en&u=http://en.wikipedia.org/wiki/Dientamoeba_fragilis&ei=7lEAStjGCIeJtge6s5WTBw&sa=X&oi=translate&resnum=2&ct=result&prev=/search%3Fq%3DDientamoeba%2Bfragilis%26hl%3Dfr%26sa%3DG">Dientamoeba fragilis</a>, <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Entamoeba_histolytica">Entamoeba histolytica</a>, <a href="http://www.meanomadis.com/content/show_articles.asp?ID=169">Giardia Lambia</a>, <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Ascaris_lumbricoides">Ascaris lumbricoides</a>, <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Strongyloides_stercoralis">Strongyloïdes stercoralis</a>, <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Trichuris_trichiura">Trichuris trichura</a>, les <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Oxyure">oxyures</a>, <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Ankylostomose">l'Ankylostomose</a> et la <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Cysticercose">cysticercose</a>), <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Maladie_vectorielle">les infections vectorielles</a> (le paludisme), <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/H%C3%A9patite_B">l'hépatite B</a>,<a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/H%C3%A9patite_C"> l'hépatite C</a> et le <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Syndrome_d%27immunod%C3%A9ficience_acquise">VIH/SIDA</a> et ainsi, éviter les délais d'attente. Également, cette première évaluation en terre d'accueil permet soulager nos quelques inquiétudes de parents ou, au contraire, de mettre en relief des diagnostics passés sous silence. </div>Karinehttp://www.blogger.com/profile/11641144327059348221noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6532280693194557013.post-4744256607017959002009-05-04T22:12:00.009-04:002010-02-05T12:40:21.922-05:0028- Finalisation des procédures d'immigration<div style="text-align: justify;"><br />Une fois que notre <span style="font-weight: bold;">Certificat de Sélection</span> a été reçu à l<span style="font-weight: bold;">'Ambassade du Canada à Manille</span>, ils ont envoyé à mon conjoint une copie conforme<span style="font-weight: bold;"> </span>de la lettre envoyée par eux à l'ICAB pour notre enfant. Cette lettre révèlait que notre enfant devait passer un <span style="font-weight: bold;">examen médical</span> effectué par l'un des médecins désignés par l'Ambassade d'ici 2 mois à partir de la date de la lettre.<br /><br />Lorsque notre organisme a reçu le <span style="font-weight: bold;">rapport médical</span> de notre enfant, notre personne ressource a téléphoné à mon conjoint à son travail pour lui en informer. Lorsque nous sommes revenus du travail, mon conjoint m'a demandé de lire la feuille qui trainait sur le comptoir et lorsque j'ai commencé à la lire, j'ai tout de suite deviné que c'était le rapport médical. Mon conjoint m'a annoncé qu'il l'avait reçu par courrier électronique de notre personne ressource et que nous devrions partir aux Philippines d'ici quelques semaines. Le destin avait bien choisi la journée pour recevoir cette bonne nouvelle, car j'avais mon shower surprise en soirée. Suite à la lecture du rapport médical, nous devions confirmer notre approbation à notre organisme par courrier électronique. Évidemment, nous avons répondu par l'affirmative, car notre enfant était en parfaite santé.<br /><br />Lorsque le <span style="font-weight: bold;">passeport</span> de notre enfant et le <span style="font-weight: bold;">visa d'entrée au Canada</span> ont été émis par l'ambassade, notre personne ressource a téléphoné à mon conjoint à son travail, car je n'étais pas à la maison, pour lui annoncer que nous partions pour les Philippines le 21 novembre. Lorsque je suis revenu de mes commissions et que j'ai vu sur le téléphone que notre personne ressource avait appelé sans laisser de message, j'ai tout de suite appelé mon conjoint à son travail pour savoir si nous partions la semaine prochaine, car j'avais lu sur un forum de discussion que le couple qui avait eu leur rapport médical quelques jours avant nous partait le vendredi de la semaine suivante. Mon conjoint m'annonça que nous ne partirions pas avec eux, car notre date de départ était le vendredi dans deux semaines. Notre personne-ressource nous envoya par <span style="font-weight: bold;">courrier électronique</span> l<span style="font-weight: bold;">'itinéraire</span> proposé par l'agence de voyage suggéré par notre organisme. Dans le e-mail, il y avait les directives à suivre pour les réservations de billets d'avion et d'hôtel et d'un scénario de rencontre avec l'enfant. Avec ces informations, nous décidons de vérifier les prix avec les agences de voyage de notre région pour avoir le meilleur prix pour les billets d'avion.<br /><br /></div>Karinehttp://www.blogger.com/profile/11641144327059348221noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6532280693194557013.post-89384764907375924062009-04-20T21:20:00.010-04:002010-02-05T12:40:04.616-05:0027- Entamer les procédures auprès du Ministère de l'Immigration et des Communautés Culturelles du Québec (MICC)<div style="text-align: justify;"><br />Nous avons reçu la <span style="font-weight: bold;">lettre</span> de <span style="font-weight: bold;">Non-opposition</span> du <span style="font-weight: bold;">Secrétariat à l'Adoption Internationale (SAI)</span>, exigé par la loi et qui confirme aux autorités d'immigration (CIC et MICC) que le SAI ne connait pas de motifs pour s'opposer à l'adoption. Aussi, notre organisme nous avait envoyé la <span style="font-weight: bold;">lettre</span> de <span style="font-weight: bold;">Non-Opposition et Engagement de parrainage du SAI</span> et un <span style="font-weight: bold;">message important</span> qui divulgue les démarches à effectuer à la suite de l'arrivée de l'enfant au Québec. Tous ces documents ont été envoyés par notre organisme pour entamer nos procédures auprès du <span style="font-weight: bold;">Ministère de l'Immigration et des Communautés Culturelles du Québec (MICC)</span>.<br /><br />Par la suite, j'ai <span style="font-weight: bold;">téléphoné</span> au <span style="font-weight: bold;">Ministère de l'Immigration et des Communautés Culturelles du Québec </span><span>de notre région</span> pour faire notre demande auprès d'immigration Québec.<br /><br />Puis, mon conjoint a reçu par <span style="font-weight: bold;">Dicom</span> le <span style="font-weight: bold;">Guide du parrain - Catégorie du regroupement familial</span>, la <span style="font-weight: bold;">demande de Certificat de Sélection (A-0520-BF)</span>, le <span style="font-weight: bold;">formulaire Engagement - Catégorie du regroupement familial (A-0546-GF)</span> et le <span style="font-weight: bold;">formulaire Paiement par carte de crédit (A-0591-F)</span> du Ministère de l'Immigration et des Communautés Culturelles du Québec. Une fois que j'ai rempli les documents et que nous les avons signés, j'ai envoyé par <span style="font-weight: bold;">Xpresspost</span> (avec signature à la réception de l'envoi) une <span style="font-weight: bold;">copie</span> d'un <span style="font-weight: bold;">compte d'un service public</span> pour prouver une adresse de domicile au Québec, la <span style="font-weight: bold;">demande de Certificat de Sélection (A-0520-BF)</span> signée par le parrain, puisque notre demande vise une personne mineure. Aussi, je leur ai envoyé le <span style="font-weight: bold;">formulaire d'Engagement - Catégorie du regroupement familial (A-0546-GF)</span>, le <span style="font-weight: bold;">formulaire Paiement par carte de crédit (A-0591-F)</span> et la <span style="font-weight: bold;">lettre</span> de <span style="font-weight: bold;">Non-opposition du Secrétariat à l'Adoption Internationale</span>.<br /><br />Finalement, mon conjoint a reçu par <span style="font-weight: bold;">Dicom </span>l'approbation de notre <span style="font-weight: bold;">demande d'Engagement </span>du Ministère de l'Immigration et des Communautés Culturelles du Québec. Dans cet envoi, il y avait notre <span style="font-weight: bold;">formulaire d'Engagement - Catégorie du regroupement familial</span> (copie jaune ''garant'' et copie jaune ''candidat''), notre <span style="font-weight: bold;">Certificat de sélection</span>, notre <span style="font-weight: bold;">demande de Parrainage et Engagement </span>de Citoyenneté et Immigration Canada, une <span style="font-weight: bold;">copie</span> du <span style="font-weight: bold;">fax</span> du <span style="font-weight: bold;">Ministère de l'Immigration et des Communautés Culturelles du Québec</span> envoyé au BVC de Manille et notre <span style="font-weight: bold;">reçu</span> du <span style="font-weight: bold;">paiement par carte de crédit </span>pour les frais exigé pour l'étude de notre demande d'Engagement.<br /><br />Pour ce qui est de notre <span style="font-weight: bold;">Certificat de sélection</span>, le Ministère de l'immigration et des communautés culturelles du Québec a envoyé aux autorités fédérales de l'immigration, au BVC de Manille, une copie du celui-ci et à Citoyenneté et Immigration Canada. Donc, nous n'avons pas eu à leur envoyer ce document. Par contre, nous avons envoyé, à notre organisme par télécopieur, une copie de notre Certificat de Sélection du Québec.<br /></div>Karinehttp://www.blogger.com/profile/11641144327059348221noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6532280693194557013.post-30058259562821733742009-04-20T21:02:00.017-04:002010-02-07T12:30:08.088-05:0026- S'inscrire sur une liste d'attente à un Centre de la Petite Enfance<div style="text-align: justify;"><br />J'ai téléphoné au <a href="http://www.mfa.gouv.qc.ca/fr/ministere/services-outils/localisateur/Pages/index.aspx"><span style="font-weight: bold;">Centre de la Petite Enfance</span></a> de notre région, pour inscrire notre enfant (à son nom québécois) sur une liste d'attente. De plus, j'ai demandé qu'on nous envoie la <span style="font-weight: bold;">liste des responsables de service de garde en milieu familial</span> pour pouvoir les contacter et inscrire notre enfant sur des listes d'attente.</div>Karinehttp://www.blogger.com/profile/11641144327059348221noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6532280693194557013.post-37021861506813555542009-04-16T20:22:00.022-04:002010-07-04T09:14:08.263-04:0025- Recevoir une proposition d'enfant<a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="http://2.bp.blogspot.com/_Q43T1BcfB9o/SefXBXlDZLI/AAAAAAAAAAk/HdfDYCfGIsE/s1600-h/Proposition.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5325461502898169010" style="margin: 0pt 10px 10px 0pt; float: left; width: 210px; cursor: pointer; height: 320px;" alt="" src="http://2.bp.blogspot.com/_Q43T1BcfB9o/SefXBXlDZLI/AAAAAAAAAAk/HdfDYCfGIsE/s320/Proposition.jpg" border="0" /></a> <div style="text-align: justify;"><br />J'ai reçu un <span style="font-weight: bold;">téléphone</span> de notre personne ressource (ce qui équivalait, pour moi, à une échographie), le 11 août 2008<span style="font-weight: bold;">,</span> pour nous avertir que notre organisme avait reçu une <span style="font-weight: bold;">proposition</span> d'un petit garçon en santé et âgé de 20 mois (ce que je croyais avoir entendu dans tout l'énervement). L'appel c'est fait vers 14h30, je dînais à la maison et je m'apprêtais à retourner travailler vers 16h00. Aussi, elle m'a avertis qu'elle était pour m'envoyer sa <span style="font-weight: bold;">photo</span> par <span style="font-weight: bold;">courrier électronique</span>, après notre conversation et son <span style="font-weight: bold;">dossier complet</span> par <span style="font-weight: bold;">Xpresspost</span>. Donc, une fois la conversation finie, j'ai appelé mon conjoint à son travail pour lui annoncer la bonne nouvelle et je lui ai envoyé par Internet, la photo de notre fils, que j'ai, aussi, envoyé à mon travail. Alors, en retournant à mon travail, j'avais le gros sourire. Après les interrogations de mes collègues de travail, je me fis un plaisir de leur annoncer la bonne nouvelle dont ils me souhaitaient depuis quelques mois. Lorsque je leur ai montré la photo, ils m'ont tous dit qu'il le trouvait vraiment mignon et qu'il avait l'air espiègle. Pour ce qui est de mon conjoint, il mit la photo comme fond d'écran, ce qui permettait de le présenter, lui aussi, à ses collègues de travail. Le soir venu, je fis ma tournée de téléphones et de courriels pour les aviser de la bonne nouvelle.<br /><br />Pour ce qui est du dossier complet de notre enfant, celui-ci comprenait une <span style="font-weight: bold;">lettre</span> de <span style="font-weight: bold;">Inter-Country Adoption Board</span>, adressée à Société Formons Une Famille, informant d'une proposition d'enfant et de la description des frais suite à une acceptation de la proposition. Aussi, comme autres documents, il y avait un <span style="font-weight: bold;">Placement proposal </span>(proposition de l'enfant), un <span style="font-weight: bold;">Social case study report</span> (historique et histoire parentale), un <span style="font-weight: bold;">Health and medical profile</span> (bilan de santé), une <span style="font-weight: bold;">photo </span>de l'enfant et le formulaire <span style="font-weight: bold;">''Déclaration concernant l'état de santé''</span>. Donc, en feuilletant le dossier, j'ai constaté que j'avais mal compris son âge et que finalement, il avait 22 mois. Ma première réaction a été que je le trouvais un peu vieux, car il avait déjà son caractère, il parlerait sa langue maternelle et il aurait déjà un bon bout de vie de fait. J'avais fais quelques statistiques et j'avais remarqué que les jeunes couples avait souvent de jeunes enfants. Vu que nous avions 29 ans et 32 ans, je m'attendais à avoir un enfant qui se rapprochait du un an. Mais, plus les semaines passaient et plus je regardais sa photo, plus je sentais que c'était le mien et son âge ne me dérangeait plus.<br /><br />Finalement, nous devions signifier notre <span style="font-weight: bold;">acceptation du jumelage</span> avant la date limite (inscrite dans la lettre de notre organisme) par <a href="http://www.canadapost.ca/">Xpresspost</a> (avec signature) à notre organisme. Il fallait écrire une <span style="font-weight: bold;">lettre,</span> signée et datée, avec le nom de l'enfant et sa date de naissance. Il était important que cette lettre contienne une <span style="font-weight: bold;">demande de tests sanguins pour le VIH et l'hépatite B</span> et que la raison de notre demande soit expliquée (parce que cet enfant sera en contact avec d'autres enfants dans la famille... etc.). Aussi, il fallait envoyer les formulaire <span style="font-weight: bold;">''Déclaration concernant l'état de santé''</span> et <span style="font-weight: bold;">''Engagement sur les rapports d'évolution de l'enfant''</span> dument signés et datés. De plus, nous devions nous procurer deux <span style="font-weight: bold;">traites bancaire </span>pour les frais d'administration et les frais de préparation au voyage (qui proviennent obligatoirement de la Banque Toronto Dominion) au nom de Inter-Country Adoption Board et une autre <span style="font-weight: bold;">traite bancaire ou un chèque US</span> pour les frais de garde de l'enfant et le projet d'entraide au nom de Société Formons Une Famille. Pour ce qui est de la traite bancaire ou du chèque US à la Société Formons Une Famille, ceux-ci nous ont envoyé un<span style="font-weight: bold;"> reçu</span>. En dernier-lieu, je leur ai envoyé des <span style="font-weight: bold;">photographies récentes</span> de nous, de la maison et des membres de nos familles qui seraient significatifs pour notre enfant, car elles serviraient à la préparation de son adoption. Ces photos, que j'ai placé dans un petit album-photo de ''Trouvez Némo'', étaient : une photo de nous deux prise dans notre maison, une photo des parents à mon conjoint (son papi et sa mami), une photo de l'extérieur de notre maison, des photos de sa chambre, une photo de la salle-à-dîner, une photo du bureau et une photo du salon. Une fois que l'Inter Country Adoption Board a reçu notre acceptation de jumelage, ils ont envoyé à notre organisme et qui nous l'a remis, les documents relatifs au dossier d'adoption, soit le <span style="font-weight: bold;">Placement authority </span>(autorisation de placement), le <span style="font-weight: bold;">Deed of volountary commitment</span> (consentement des parents) et le <span style="font-weight: bold;">Certificate of live birth </span>(certificat de naissance).<br /><br />Aussi, quelques jours après que nous ayons reçu notre proposition d'enfant, j'avais un rendez-vous prévu chez mon <span style="font-weight: bold;">médecin</span>. Alors, j'en ai profité pour lui présenter le <span style="font-weight: bold;">Dossier</span> de notre enfant (informations d'identification, circonstances de placement, informations sur les antécédents de la mère et du père biologique, informations sur l'enfant, fonctionnement de l'enfant dans son quotidien, description de l'environnement de l'enfant, cessation des droits parentaux, évaluation et recommandation et profils de santé et médical). Elle remarqua qu'il avait eu un petit poids à la naissance, mais que tout était rentré dans l'ordre à partir de 6 mois. Sa septicémie, ne semblait pas trop la déranger vu que son développement physique c'était fait normalement. Elle remarqua, aussi, qu'il était développé au niveau mental. Alors, elle ne voyait pas de problèmes significatifs. J'ai apprécié qu'elle prenne de son temps pour regarder le dossier de notre garçon et ça m'a sécurisée de savoir qu'il semblait en bonne santé. </div>Karinehttp://www.blogger.com/profile/11641144327059348221noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6532280693194557013.post-61004213206238222009-04-16T09:14:00.014-04:002010-02-05T12:39:28.710-05:0024- Attendre un jumelage<div style="text-align: justify;"><br />Après que notre <span style="font-weight: bold;">Dossier</span> ait été <span style="font-weight: bold;">accepté</span> aux Philippines, nos noms ont été placés sur la <span style="font-weight: bold;">liste</span> des familles en attente de jumelage. Il était possible qu'une mise à jour de l'évaluation psychosociale nous soit demandé par les autorités Philippines, un an après que le Dossier soit traité par l'ICAB, s'il n'y avait pas encore eu une proposition d'enfant. Dans notre cas, nous avons attendu 17 mois avant d'avoir une proposition d'enfant et ils nous ont jamais demandé une mise à jour de notre évaluation psychosociale. Durant notre attente, nous savions que le délai était d'environ 18-24 mois. Par contre, nous connaissions la façon dont les enfants étaient jumelés et savions que nous ne pourrions jamais savoir à l'avance que notre tour arriverait. Aux Philippines, les <span style="font-weight: bold;">travailleurs sociaux</span> qui ont des enfants à proposer en adoption internationale (après avoir tenté de les placer localement ou régionalement aux Philippines), et dont le <span style="font-weight: bold;">Tribunal</span> du pays a émis un jugement définitif rompant tout lien de filiation, se présentent au <span style="font-weight: bold;">Bureau d'ICAB</span> pour consulter les dossiers en attente de jumelage. Ensuite, ils sont tenus de choisir <span style="font-weight: bold;">deux familles</span> en fonction des caractéristiques de l'enfant et de présenter leurs premier et deuxième choix au <span style="font-weight: bold;">Comité de Placement</span>. Puis, ce comité appuie la recommandation du travailleur social et soumet cette recommandation au <span style="font-weight: bold;">Board </span>pour approbation finale. Donc, ce n'est pas une liste d'attente avec un rang précis.<br /><br />Au bout de 15 mois, notre personne ressource nous a rejoint pour avoir des coordonnées pour nous joindre le plus rapidement possible, au-cas où nous recevions une proposition d'enfant. Elle, nous demanda, aussi, d'ouvrir un <span style="font-weight: bold;">compte US</span> dans une banque <span style="font-weight: bold;">Toronto Dominion</span>, car les Philippines exigeraient seulement des traites dans ces banques, pour les frais accompagnant la proposition d'un enfant.<br /><br />Durant cette longue attente, nous nous sommes occupés pour ne pas que le temps paraissent trop long. En réalité, ce n'est que moi qui s'est fait du soucis. Mon conjoint a des philosophies de vie, dont j'essayais, le plus possible, d'imiter. Une de ses philosophies était, qu'il ne faut pas perdre d'énergie sur quelque chose dont nous n'avons aucun pouvoir. Pour lui, ce qui a été difficile, ça n'a pas été l'attente du jumelage, mais plutôt le fait de se dévoiler lors du montage du Dossier et les frais qui s'y rattachaient.<br /><br />Alors, pour remplir mes temps libres, j'ai forcé mon conjoint a assisté à 2 <span style="font-weight: bold;">conférences </span><span>(attachement et trouble du sommeil)</span>. J'ai bien dit forcé, car mon conjoint ne voyait pas l'utilité d'assister à ces conférences. Étant, lui-même, adopté, ainsi que ses 2 sœurs, un de ses oncles et un de ses cousins, il ne comprenait pas ce qu'il fallait absolument savoir sur l'attachement et le sommeil. Moi, je croyais qu'un enfant adopté à l'internationale était différent. Aussi, j'ai acheté deux <span style="font-weight: bold;">livres</span> sur l'adoption ''L'enfant adopté dans le monde (en quinze chapitres et demi)'' et ''L'enfant qui a mal, l'enfant qui fait mal'', dont j'ai été la seule à les lire, car encore mon conjoint ne voyait pas ce qu'il pouvait nous apporter comme informations. Lorsque nous sommes arrivés au pays avec notre enfant, je n'ai pu que constater que mon conjoint avait raison, car notre enfant a contredit certaines théories apprises, lors de ces conférences et dans les livres. Pour être sûre d'être bien comprise, je précise que je ne veux pas dire de ne pas assister à ces conférences ou de ne pas acheter ces livres, mais bien d'y assister et de les acheter si vous en sentez le besoin et de ne pas prendre tout ce qu'ils disent à la lettre. Je crois, que les erreurs faient par les professionnels de la santé sont: de mettre tous les enfants dans le même panier, car en réalité chaque enfant est unique et de trop transposer sur les enfants, les problèmes vus dans leurs bureaux. Selon moi, il est faux de croire que la majorité des enfants adoptés ont des problèmes. Pour dire cela, je me base sur les 5 histoires d'adoption que je connais dans la famille de mon conjoint et l'adoption de mon fils. Pour plus de précision sur mon point de vue, je vais décrire les réactions de mon fils dans la section du voyage aux Philippines et de l'arrivée au Canada. Finalement, je ne regrette pas d'avoir assisté à ces conférences et d'avoir acheté ces livres, car ça m'a fait prendre conscience, que c'est nous les parents qui connaissons le plus notre enfant et qu'il faut faire confiance à ses instincts. Si nous sentons que nous avons tout fait pour notre enfant et que nous ressentons qu'il n'est pas heureux, là c'est le temps de demander de l'aide et d'appliquer ce que les professionnels de la santé recommandent.<br /><br />Comme deuxième activité pour faire passer le temps, je me suis inscrite sur 2 <span style="font-weight: bold;">forums de discussion</span> sur l'adoption aux Philippines (<a href="http://groups.yahoo.com/group/FUFPHILIPPINES/">FUFPhilippines</a> et <a href="http://fr.groups.yahoo.com/group/adoption_Philippines/?v=1&t=search&ch=web&pub=groups&sec=group&slk=1">Adoption Philippines</a>). Je n'étais pas présente dans les discussions sur ces forums, je préférais prendre des informations pour moi-même. Par contre, je n'ai pas réussi à avoir toutes les informations que je recherchais. Je suis du genre curieuse, je voulais tout savoir en détail sur ce qui allait m'arriver. C'est pourquoi, je pense que ce blog va être utile pour les personnes qui, comme moi, recherchent tous les petits détails d'une adoption. Vers la fin de notre attente, je me suis présentée sur un des forums de discussion et après avoir eu notre proposition, j'ai posé des questions. Cependant, je trouvais les réponses vagues, j'aurais aimé avoir plus de détails. J'ai remarqué, que les gens sur ce Forum, ne sont pas très explicites, peut-être par pudeur. Par la suite, j'étais présente pour raconter mon expérience personnelle et pour divulguer mon opinion su certains sujets, lorsque je le jugeais nécessaire.<br /><br />Aussi, nous avons commencé à acheter des <span style="font-weight: bold;">accessoires pour enfants</span> et à préparer la <span style="font-weight: bold;">chambre</span> de notre futur enfant. Tous les achats se faisaient en fonction que nous ne savions pas le sexe de l'enfant. D'ailleurs, tout au long des démarches pour l'adoption de notre enfant, je les comparais à une grossesse. La date d'acceptation équivalait à un test de grossesse positif. Le temps d'attente d'une proposition égalait à une grossesse, mais d'une gestation beaucoup plus longue. De plus, tout au long de cette attente (grossesse), je parlais à mon futur enfant, en touchant ma tête et non mon ventre. J'essayais de le visualiser dans ma tête et de lui parler, comme ferait une maman enceinte. Lorsque son lit est entré dans sa chambre et à chaque fois que je passais devant je me l'imaginais en train de dormir paisiblement. Aussi, à tous les 1er de chaque mois, nous fêtions notre x mois d'attente. Nous savions le nombre de mois exact que nous attendions et vers la fin, je le calculais, aussi, en jours. Donc, oui j'ai trouvé le temps péniblement long, mais je le vivais bien.<br /><br />De même, nous avons pris rendez-vous pour des <span style="font-weight: bold;">vaccins</span> à la <span style="font-weight: bold;">clinique du voyageur</span> au <a href="http://www.sante.qc.ca/f-index5.htm">CLSC</a> de notre région. La clinique du voyageur nous a informé sur la vaccination, qui demeure le meilleur moyen de prévention de plusieurs maladies infectieuses. Tout dépendait de la saison et de la région où nous allions voyagé, certains vaccins nous ont été suggérés pour un voyage en sécurité aux Philippines. Donc au mois d'avril 2008, nous avons reçu le <a style="font-weight: bold;" href="http://www.gsk.ca/french/docs-pdf/Boostix_PM_20080219_FR.pdf">Boostrix</a> contre la <span style="font-weight: bold;">Diphtérie</span>, le <span style="font-weight: bold;">tétanos</span> et la <span style="font-weight: bold;">coqueluche,</span> qui est un rappel du vaccin que nous avons eu durant notre jeunesse. Comme 2e injection, nous avons reçu <a style="font-weight: bold;" href="https://www.vaccineshoppecanada.com/secure/pdfs/ca/IMOVAX_Polio_F.pdf">Imovax Polio</a> contre la <span style="font-weight: bold;">poliomyélite</span>, qui est, lui aussi, un rappel du vaccin que nous avons eu durant notre jeunesse. Ensuite, j'ai reçu le vaccin <a style="font-weight: bold;" href="http://www.merckfrosst.com/assets/fr/pdf/products/ci/MMRII-0902-a_126334-CI-F.pdf">MMR-II</a><span style="font-weight: bold;"> </span>contre la <span style="font-weight: bold;">rougeole</span>, la <span style="font-weight: bold;">rubéole</span> et les <span style="font-weight: bold;">oreillons</span>, car l'infirmière trouvait que je n'avais pas assez reçu de dose, lors de ma jeunesse. Comme autre vaccin, nous avons reçu le <a style="font-weight: bold;" href="https://www.vaccineshoppecanada.com/secure/pdfs/ca/ViVAXIM_F.pdf">Vivaxim</a> contre la <span style="font-weight: bold;">fièvre typhoïde</span> et l'<span style="font-weight: bold;">hépatite A</span>. Comme dernière injection, nous avons reçu l'<a href="http://www.gsk.ca/french/docs-pdf/Engerix-B_PM_20080923_FR.pdf"><span style="font-weight: bold;">Engerix B</span></a> contre l'<span style="font-weight: bold;">hépatite B</span>. Alors, j'ai reçu 5 injections répartis sur mes 2 bras et 2 cuisses et mon conjoint 4. De plus, nous leur avons demandé des <span style="font-weight: bold;">reçus</span> pour les frais de vaccin/voyageurs, car notre assurance-collective ne les couvraient pas. Par la suite, au mois d'août 2008 (soit 4 mois plus tard), nous avons reçu un rappel de l'<span style="font-weight: bold;">Engerix B</span>. Finalement, au mois de septembre 2008, nous avons reçu une dernière injection du vaccin <a href="http://www.gsk.ca/french/docs-pdf/Twinrix_PM_20090916_FR.pdf"><span style="font-weight: bold;">Twinrix</span></a> contre l'<span style="font-weight: bold;">hépatite A</span> et l'<span style="font-weight: bold;">hépatite B</span>.<br /></div>Karinehttp://www.blogger.com/profile/11641144327059348221noreply@blogger.com0